Une fois de plus, l'épisode de fortes chaleurs a entraîné une hausse du nombre de voitures en panne sur les routes françaises, boostant l'activité des sociétés d'assistance.
Entre Antibes et Nice, la limitation de vitesse pourrait être abaissée le 1er octobre. Mais ce n'est pas pour une question de sécurité routière.
L'épisode de pollution à l'ozone se poursuit. Des voitures seront bannies de la circulation à Lyon, Strasbourg, Annecy, en Ile-de-France et en Isère.
Aussi diffusée en France, cette pub montre un accident évité par le freinage d'urgence automatique. Un scénario qui selon les Anglais encouragerait la conduite dangereuse.
Sur deux portions, la limitation vient de passer de 130 à 140 km/h. Si le test est concluant, la mesure sera rapidement étendue.
Deux confirmations après la publication du bilan 2017 : l'autoroute représente une très faible partie de la mortalité routière et les accidents sur le réseau rapide sont avant tout causés par la fatigue.
Le nouveau système de mesure WLTP impose aux constructeurs une nouvelle homologation de toute leur gamme. Renault se dit "en ligne" avec son planning et pense que ses ventes ne seront pas perturbées.
Le préfet du Var a confirmé que les radars placés sur les routes désormais limitées à 80 km/h flashent deux fois plus depuis le 1er juillet.
Les requêtes déposées devant le Conseil d'État dans le but que celui-ci suspende "en urgence" l’exécution du décret du 15 juin 2018, par lequel la vitesse limite a été abaissée à 80 km/h sur le réseau secondaire, ont toutes échoué. La mesure reste donc en vigueur en attendant que la plus haute juridiction de l'ordre administratif se prononce sur sa légalité (pas avant la fin 2018 a priori).
Pénurie de bitume, investissements trop faibles, l'état des routes en France n'est pas bon et il ne devrait pas aller en s'arrangeant. Selon un audit commandé par le ministère des Transports, près de 17 % des routes non concédées en France présentent un taux de dégradation important.
Rechercher par sous-rubrique dans Economie / Politique