Renault : une perte énorme de 8 milliards d'euros en 2020
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Sans surprise, le groupe Renault a essuyé une perte record en 2020. Mais le Losange voit des signes encourageants de reprise.
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Sans surprise, le groupe Renault a essuyé une perte record en 2020. Mais le Losange voit des signes encourageants de reprise.
Le rapport de la Commission d’enquête du Sénat en septembre et la publication d’une étude juridique en novembre ont redonné vie au débat sur les concessions autoroutières, privatisées en 2006. Pour l’heure, le gouvernement y oppose un silence assourdissant.
Les statistiques débusquées par Caradisiac confirment le rendement bien modeste des véhicules confiés au privé. La conception même de ce matériel, qui contrôle la vitesse dans le flot de la circulation, pourrait en être la raison. Difficile pour l'État de revenir en arrière, alors que le processus est d'ores et déjà lancé dans huit régions, et que huit marchés publics (15 millions d'euros par an de 2018 à 2024) ont donc été passés dans ce cadre.
Conséquence de leur sortie de l'Union européenne (UE), les Anglais ne recevront plus - du moins pendant un moment - les amendes issues du contrôle automatisé. Et vice versa pour les Français ! Compte tenu du reconfinement décidé outre-Manche, cela ne devrait guère avoir d'impact dans un premier temps.
Le géant sud-coréen signe un beau chèque de 921 millions de dollars (760 millions d'euros) pour l'acquisition de l'entreprise spécialiste des robots Boston Dynamics. Un achat qui fait sens alors que l'entité dévoile régulièrement des concepts de véhicules robotisés. Des innovations qui profiteront également aux autres départements du groupe.
Les hausses prévisionnelles, présentées ce vendredi, varient de 0,30 % à 0,65 % pour les réseaux les plus importants. Des hausses attendues pour le 1er février prochain que le Comité des usagers du réseau routier national n'accepte pas pour la première fois.
Surprise ! Les tarifs autoroutiers font à nouveau débat. Non parce qu'ils seraient trop élevés, mais simplement parce que leur augmentation annuelle ne reposerait sur aucun fondement juridique. Deux juristes épinglent plusieurs mécanismes utilisés dans les contrats de concession qui, selon eux, seraient au mieux discutables, au pire illégaux. Ils en concluent que leur résiliation anticipée doit être à nouveau, et cette fois sérieusement, étudiée.
La proposition de loi (PPL) « sécurité globale » dont les débats s'ouvrent ce mardi au Parlement fait grand bruit. La polémique - du moins pour l'instant - ne vise aucunement ce nouveau pouvoir donné aux municipalités d'implanter des dispositifs automatiques, qui reste pour l'heure bien flou. L'accès étendu aux fichiers, l'utilisation des drones, la captation d'images en tous genres et surtout l'article 24 de cette PPL qui entend interdire la diffusion de vidéos de policiers et gendarmes en action sur Internet cristallisent les mécontentements. Pour ce qui concerne la sécurité routière, voici les principaux points à retenir.
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Aucune statistique officielle ne filtre à leur sujet, si ce n'est la durée moyenne de leur utilisation quotidienne. Car il serait "encore prématuré" de dresser un bilan de ces radars mobiles confiés au privé, dont le processus a démarré en 2017 en Normandie. L'État continue en tout cas d'en acheter, un nouveau marché vient d'être lancé…
Mais d'où sort ce nouveau projet de donner aux municipalités la possibilité d'avoir la main sur l'implantation des dispositifs de contrôle automatisé sur leur territoire ? Pour l'heure, il reste bien difficile d'y voir clair, puisque le texte de loi qui devrait prévoir cette évolution au moment de sa discussion au Parlement d'ici une dizaine de jours n'en fait pour l'heure aucunement mention. Voici tout de même quelques pistes de compréhension, et l'avis du vice-président du Sénat, Vincent Delahaye, auteur d'un rapport sur l'implantation des radars en 2017.
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