Des informations en provenance d’Italie semblent confirmer le virage chinois pris par De Tomaso.
Le fabricant de motos Ducati, qui appartient actuellement à la holding italienne Investindustrial, pourrait bien être vendu à un constructeur automobile allemand.
On sait la marque Maybach condamnée à une nouvelle disparition. Alors que le groupe allemand Daimler (notamment propriétaire de la marque Mercedes) l’avait relancée il y a quelques années, les investissements n’auront pas suffi pour convaincre suffisamment de clients face à des marques aussi renommées et établies que Rolls Royce ou Bentley.
L'équipe Lotus F1 Team est propriété exclusive de Genii Capital. Lotus Group qui sponsorise l'équipe cherchant actuellement un repreneur, Gérard Lopez, patron de Genii Capital s'est dit intéressé par la reprise du constructeur anglais en pleine renaissance. Selon les conditions, évidemment …
Deux hauts responsables de PSA Peugeot Citroën et Renault étaient entendus par la commission de l'économie pour parler de l'état actuel du secteur automobile en France, voici ce qu'il s'y est dit.
Cela sent le roussi depuis plusieurs mois entre BMW et Prodrive, qui engage des Mini en WRC et vend des exemplaires (nombreux) à qui en veut bien.
Le début de la production de la Peugeot 208 a débuté vendredi en grandes pompes dans l'usine de Poissy devant le ministre de l'Industrie Eric Besson et en présence des grands pontes de PSA. L'occasion d'apprendre qu'elle est aussi fabriquée en Slovaquie 700 euros moins cher qu'en France.
JLR (Jaguar-Land Rover) est aujourd'hui propriété de l'indien Tata. Chez Land Rover, la succession du mythique Defender est en cours avec la présentation de 2 concept-cars ces derniers mois. Dernière info en date : il sera construit en Inde.
Ce soir, reprenons notre sérieux et notre souffle. Je vous propose de relier ce Minuit chicanes du jour (eh oui, il est déjà 22h) à deux Midi Pile que j’ai eu l’insigne honneur de commettre cette semaine ; celui de mardi et celui de ce midi.
Le WRC a ses problèmes mais la F1 également. Ainsi, alors que la France doit décider si oui ou non elle veut le retour de la F1 sur son sol, l'Espagne compte ses sous et commence à réfléchir à ne pas organiser ses Grand Prix. Valence veut rediscuter les tarifs et Barcelone se dit qu'il vaut peut-être mieux annuler.
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