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Alors que le groupe tablait sur un contrôle de 80% de sa chaîne de valeur des voitures électriques en 2030, Renault serait en avance sur cet objectif.

Et si la Renaulution commençait à porter ses fruits ? Un peu plus de deux ans après l’arrivée de Luca de Meo aux commandes de Renault, l’entreprise, certes encore fragile, multiplie les signaux positifs.

Annoncée il y a quelques semaines, l’entrée en Bourse du constructeur allemand Porsche sera effective le jeudi 29 septembre prochain. Le prix indicatif de l’action se situera entre 76,50 € et 82,50 €. Une introduction qui devrait permettre au groupe Volkswagen de lever jusqu’à 9,4 milliards €.

Quelques jours après les annonces du gouvernement Biden concernant les nouvelles réglementations pour les subventions des véhicules électriques, Tesla a annoncé suspendre son grand projet de construction d’une usine de batteries en Allemagne.

Bonne nouvelle pour l’industrie automobile, le marché auto européen est reparti à la hausse en août. Une augmentation de 4,4 % pour les ventes de voitures neuves qui met fin à treize mois de baisse consécutifs.

Opel vient de confirmer la suppression future de 1000 postes en Allemagne au sein de trois sites différents.

Réputée pour ses voitures à prix serrés, Dacia compte étendre son succès sur le marché des constructeurs généralistes. La marque du groupe Renault a présenté ses projets et sa stratégie de montée en gamme. Alors finis les petits prix ?

Largement remaniée et modernisée, l’usine Stellantis de Sochaux est aujourd’hui à la pointe de la technologie. Un fleuron industriel sur un site historiquement lié à l’automobile qui produira dans les prochaines années les véhicules électriques de Stellantis.

À contre-courant de l'intégralité des autres pays d'Europe occidentale (du moins ceux dans lesquels des voitures sont fabriquées), la France est le seul où la production automobile est en progression sur le premier semestre 2022. Une performance certes, mais elle n'est pas mirobolante pour autant, et doit beaucoup à... Toyota !

Hyundai ne veut pas lâcher les moteurs à pistons pour l'instant. Mais le constructeur coréen hésite à développer de nouvelles générations de moteurs thermiques.