Voici venu le moment de notre revue de presse hebdomadaire. Tous les articles de ce jour sont dus à nos confrères de La Tribune.
Après nous être intéressé au genre de l’automobile, après nous être demandé comment l’automobile aurait pu s’appeler si elle ne s’était pas appelée automobile, continuons de nous interroger.
Mon collègue Pierre avait déjà évoqué le sujet, le Sénat devait ce mois-ci examiner une proposition de loi visant à rendre obligatoire une visite médicale pour les conducteurs de 70 ans et plus. À l'unanimité, cette proposition a été rejetée, et renvoyée en commission.
Le Centre International de rencontre pour la jeunesse à Oswiecim-Auschwitz, situé près de l'ancien camp d'extermination nazi en Pologne a reçu aujourd'hui un don d'un million d'euros de la part du constructeur allemand.
Hormis les Camaro et les Corvette, les Chevrolet européennes sont pour la plupart originaires de Corée, un pays où traditionnellement, les revendications sociales et salariales se déroulent dans un climat assez tendu. L'annonce par les responsables de General Motors que la prochaine Aveo ne sera pas produite sur place fait probablement partie du bras de fer qui s'engage entre syndicats et direction.
Le puissant syndicat allemand IG Metall demandait un accord sur une augmentation de salaire pour les employés de Volkswagen. Après des négociations engagées avec la direction du groupe, ils ont obtenu deux augmentations successives.
Le site de PSA Peugeot Citroën de La Janais, situé à proximité de Rennes, est-il voué au même destin que celui de la C6 dont la production fut stoppée il y a quelques mois ?
Hier, le Comité Central d'Entreprise concernant le sort de l'usine PSA d'Aulnay-sous-bois et les suppressions d'emplois du site de Rennes a validé le plan de restructuration qui aboutira à la fermeture du site et au reclassement d'une partie du personnel. Il est à noter que 5 des 6 syndicats ont voté pour ce plan annoncé il y a 9 mois en arrière.
Rien ne va plus en Roumanie pour le groupe Renault et sa marque low cost Dacia. En effet, vous le savez peut-être, les ouvriers de l'usine de Mioveni ont fait récemment grève pour demander une augmentation de salaire de 25 %. En réponse, la direction de Dacia a menacé de délocaliser au Maroc si les employés se remettaient en grève.
Aujourd'hui, plus de 5000 salariés de l'usine Dacia de Mioveni ont subitement cessé le travail pour débuter une grève spontanée en réaction aux négociations salariales qui ont lieu actuellement et qui ne se déroulent pas conformément à leurs demandes.
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