
Alors que ses ventes de voitures électriques n'atteignent pas les niveaux prévus, le groupe allemand va mettre en place une série de mesures pour économiser plus de 10 milliards d'euros d'ici 2026. Les réductions d'effectifs en font hélas partie.
Alors que ses ventes de voitures électriques n'atteignent pas les niveaux prévus, le groupe allemand va mettre en place une série de mesures pour économiser plus de 10 milliards d'euros d'ici 2026. Les réductions d'effectifs en font hélas partie.
La marque Daihatsu du groupe Toyota, disparue du marché européen depuis 2013, est prise dans un scandale dont l'ampleur n'est pas sans rappeler le diesel gate de Volkswagen. On lui reproche d'avoir falsifié des tests de sécurité depuis 1989.
Si la hausse généralisée des cotisations d'assurance est inéluctable, il reste tout de même assez facile d'en adoucir les effets.
Ces deux voitures que tout oppose se disputent le titre de championne d’Europe des ventes.
L'Europe a finalement décidé de ne pas durcir les règles relatives à la pollution des voitures thermiques neuves, mais elle impose de nouvelles limites qui touchent même les autos électriques.
Le site de covoiturage Blablacar anticipe un week-end chargé pour le réveillon de Noël et souhaite mettre à disposition quelque 400 000 places. Les bus seront aussi plus nombreux pendant cette période.
Le mois de novembre se termine positivement avec une hausse de 6 % des transactions, et près de 450 000 autos ont changé de propriétaire. Ce sont surtout les modèles les plus récents qui alimentent le marché.
Stupeur en Allemagne : depuis lundi, l'État n'octroie plus aucun bonus pour l'achat d'une voiture électrique. En cause, une rigueur budgétaire inconnue chez nous, mais aussi une affaire qui met en lumière les difficultés des VE Outre-Rhin et partout dans le monde.
Le patron d'Alfa Romeo promet des "dizaines de millions de profits" pour la marque en 2023. Le groupe Stellantis aurait donc déjà réussi à la faire redevenir rentable après des années difficiles.
Depuis ce lundi, les automobilistes allemands désireux d’acquérir un véhicule électrique ne profitent plus de coup de pouce financier. Une décision qui risque de mettre à mal l’industrie automobile allemande.
Dans la rubrique Economie / Politique
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