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Les constructeurs et les équipementiers automobiles à travers le monde cherchent à rendre leurs véhicules à l'épreuve des virus pour rassurer les clients sur un marché fortement ébranlé par le Covid-19. Et les idées ne manquent pas.

Volkswagen s'est enfin sorti de l'action de groupe d'une défense de consommateurs, mais le groupe fait désormais face aux actions individuelles en justice, toujours dans le cadre du dieselgate. 

Les prix dans les stations sont repartis à la hausse. Mais les tarifs des carburants restent bien plus bas qu'au début de la crise.

Un nouveau sondage confirme l'intérêt de nombreux Français pour l'achat d'une nouvelle voiture. De bon augure pour le secteur, à quelques heures de la présentation du grand plan de relance par Emmanuel Macron.

L'année dernière, Volkswagen a lancé en Chine une sous-marque, nommée Jetta. Celle-ci connaît un très bon démarrage, ce qui pourrait pousser la marque à la proposer sur d'autres marchés.

Vendredi, les salariés de Dieppe seront fixés sur leur sort et les fans de l’A110 sauront si l’objet de leur dévotion aura droit de perdurer. Mais à l’heure des coupes sombres, il est fort à parier qu’Alpine ne passe à la trappe. Par manque d’image, d’avenir et de rentabilité.

Le gouvernement rêve de relocalisation mais Renault n'a pas l'intention d'en faire. Il va s'engager à produire ses nouvelles électriques en France… à la place d'autres modèles.

Ce mardi, on connaîtra enfin les contours précis du plan de relance prévu pour le secteur automobile. Le fait qu’il soit annoncé par Emmanuel Macron lui-même signifie que l’on peut s’attendre à du lourd.

Le tout premier véhicule hybride rechargeable de Renault, le Captur E-Tech, sera produit dans l'usine espagnole de Valladolid, où est déjà assemblé le Captur classique. La direction de l'usine a obtenu le certificat de la maison-mère, qui estime que l'unité d'assemblage a les outils et les capacités pour accueillir cette nouveauté attendue.

Dans trois jours, Nissan annoncera son grand plan de restructuration pour tenter de relancer la machine après plusieurs mois de pertes et des difficultés sur certains marchés, dont l'Europe. Nissan pourrait supprimer jusqu'à 20 000 postes dans le monde.