
Souvenez-vous. Début 2009, General Motors, alors en très grandes difficultés, décidait de vendre sa filiale européenne : Opel. Après des discussions très avancées avec des repreneurs potentiels ainsi que les autorités allemandes, GM fait volte-face et décide conserver la marque au blitz, au prix d'une drastique coupe dans les effectifs, et de la fermeture d'une usine, celle d'Anvers en Belgique. Le but est de revenir à l'équilibre en 2011, et de dégager un milliard de bénéfice par an dès 2016. Aujourd'hui, le constat est tout autre.