Une nouvelle vente aux enchères vous attend ce dimanche 17 mars à partir de 14 heures 30 au numéro 5 de la rue Royal à Fontainebleau (77). En premier lieu, voyons quelques lots ayant un intérêt pour notre passion. Coté littérature, il y a tout d'abord les treize premières années de "La France Automobile", soit de 1896 à 1908.
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Caisseux du Nord, « naufragés » d'une route étonnamment enneigée et verglacée en hiver, alors que l'on nous avait pourtant juré que le réchauffement climatique était en marche, voici qu'une enseigne motarde vient à votre secours pour vous sortir de la panade.
Avant de partager, du côté de Rome, le gâteau, voici le drapeau d'anniversaire qu'il faudra sans aucun doute arborer au moment de défiler dans la cité papale actuellement en plein boulot. Alors que l'on attend une fumée banche du Vatican, signe de Pape, on n'espérera aucune fumée grise au moment de la célébration mécanique, puisqu'il s'agirait là de soupape.
Bantzenheim, petite ville située à une vingtaine de kilomètres de Mulhouse, accueillera prochainement une collection de près d'une centaine de motos anciennes, dans une grange de 750 m2 entièrement aménagée pour servir d'écrin à une partie de notre patrimoine motocycliste.
Un gros twin, des belles de Playboy, tout ça pour une brochure mais aussi pour récolter des fonds pour une association de soutien aux familles des soldats qui défendent la patrie, les ingrédients sont connus et ont été servis, à l'occasion, par Harley-Davidson.
« En 2011, peu de temps après le rachat d'Indian Motorcycle par Polaris Industry, un groupe d'ingénieurs et de designers se sont rendus dans l'Iowa (un état au Nord des Etats-Unis) pour avoir la chance de rouler avec des anciennes Indian, une partie venant tout droit d'une collection privée.
Il s'appelle Thunder Stroke 111 et il est tout simplement, avec ses un peu plus de 1 800cc, le plus gros twin que l'Amérique n'a jamais enfanté. Cette pièce d'orfèvrerie, c'est le moteur promis à la nouvelle génération d'Indian Chiefs, et c'est aussi la démonstration galvanisante que l'enseigne Polaris ne s'est pas tourné les pouces durant deux ans.
La vidéo d'annonce qui avait éveillé notre sens de l'observation au moment où Daytona tremble des twins des customs aussi divers que variés nous avait prévenu. Yamaha, ou Star pour ce genre d'opus de l'autre côté de l'Atlantique, n'avait pas l'intention de jeter dans l'arène une moto statutaire, à la cylindrée gargantuesque et aux formes pantagruéliques.
Nous avons eu Tom Cruise roulant cheveux au vent avec une Triumph dans les rue de Londres, nous avons découvert un Keanu Reeves amoureux de la Diavel et impliqué sur le marché de la moto avec sa propre marque et puis indirectement, nous avons profité du charme incandescent d'une Megane Fox qui a presque effacé une 848 pour une pub au sujet d'une enseigne de sac.
Avec le recul, on ne remerciera jamais assez Yamaha d'avoir eu au siècle dernier une fiévreuse décennie qui a lancé sur le marché de la moto des modèles dont la philosophie perdure. Même si ce sont d'autres blasons qui se l'ont appropriée.