
Il n'y a qu'à se promener sur le site des auteurs de cet opus, pour comprendre que lorsqu'une machine tombe entre les mains des bourreaux du « No Limit Fighters » elle va passer un mauvais quart d'heure. Voire subir les derniers outrages, et ce n'est pas la réputation d'un blason qui va arrêter ces tourmenteurs.