Depuis hier, le monde enduriste est tourné vers le Chili ou se déroule les ISDE 2018. La Fédération Française de moto renouvelle cette année encore l'expérience des vidéos insides pour suivre les ISDE. Cette année, à Vina del Mar c'est Estelle Vuillemin et Olivier Prothais qui sont au coeur de l'action pour vous résumer chaque jour les meilleurs moments de ces 93ème ISDE.
Sete Gibernau a arrêté la compétition en Grand Prix il y a dix ans. Mais en 2019, il remettra à nouveau cuir et casque. C’est la magie de la MotoE qui fait ainsi revenir l’Espagnol à la compétition. Un bon coup pour le team Pons, mais pour quels résultats ? La nouvelle catégorie dévolue à la moto électrique aura, en tout cas, une moyenne d’âge particulièrement élevée…
En 2019, le monde des Grands Prix se branchera sur ce nouveau courant qui veut faire de la moto électrique la machine de demain. Pour se mettre au jus d’une électrification des gammes qui ne fait que commencer, il a mis sur pied une catégorie MotoE qui fera ses grands débuts sur la piste lors de tests à Jerez du 23 au 25 novembre. Une moto unique, l’Energica, et des teams déjà en place dans le milieu feront la grille de départ. Et les pilotes ? Les anciens vont reprendre du service. Ainsi Randy De Puniet !
La France défendra son titre lors des prochains ISDE qui se dérouleront à Vina del Mar (Chili). Plus de 400 pilotes regroupés en 25 nations se retrouveront sur les bords du Pacifique. Début des hostilités lundi.
En remportant en Malaisie une brillante 70e victoire en carrière, Marc Marquez a offert dans le même temps le titre constructeur à Honda. Ce succès représente un 24e trophée record pour la première marque mondiale et son septième au cours des huit dernières années.
L’an passé, Andrea Dovizioso avait fini le championnat comme dauphin de Marc Marquez. En 2018, ce scenario se répète, mais avec moins de saveur. Car l’officiel Honda est Champion du Monde avec un écart plus conséquent tandis que le pilote d’usine Ducati était sous la menace de Rossi jusqu’à quatre tours de l’arrivée du Grand Prix de Malaisie. Moment où le Doctor a chuté. Alors même si la GP18 a marqué une étape dans l’évolution de la Desmosedici, il reste encore du travail ç faire chez les rouges…
Parti de la septième place à la suite d’une sanction qui l’a privé d’un départ en pole position, Marc Marquez s’attendait à lutter contre la Ducati de Dovizioso dans ce Grand Prix de Malaisie. Mais c’est Valentino Rossi qui lui a donné une belle réplique. Le Champion du Monde en a bavé pour rester à son contact. Les deux hommes étaient à la limite et c’est le pilote Yamaha qui a craqué en premier. À quatre tours du but. Ce qui nous a privés d’un final à sensations…
Ce Grand Prix de Malaisie aurait pu être retentissant dans l’histoire de la famille Rossi. Un frère Luca Marini victorieux pour la première fois en Moto2, un titre décroché par Bagnaia dans la même catégorie au sein du team VR46, il ne restait plus que la victoire du patron pour parfaire me tableau. Il s’en est fallu de quatre tours du tracé de Sepang…
Johann Zarco est monté sur le podium du Grand Prix de Malaisie, comme il l’avait l’an passé. Les Yamaha vont mieux, la sienne y compris, mais en fin de course, elle manque encore de quelque chose. Le Français l’a constaté en étant impuissant face à la Suzuki en fin de parcours. Mais pour son avant dernière course sous les couleurs d’Iwata avant de rejoindre KTM, il a fait le job.
Dans ce rendez-vous en Malaisie, on attendait Dovizioso et sa Ducati qui avaient raflé la mise lors des deux précédentes visites à Sepang. Mais il n’a en rien été. Le couple rouge a été aux abonnés absents tandis que l’on a vu un Rossi résister à Marquez jusqu’au quatrième tour avant le baisser du drapeau à damiers. Le moment où l’officiel Yamaha est parti à la faute sous la pression de son homologue de chez Honda. Rins est second et Zarco troisième.
SPONSORISE
