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Voilà, cela faisait un bon moment que cela me travaillait. L'idée de partir à l'aventure, un peu plus loin que le périphérique parisien. Dans un endroit où les espaces sont vastes, l'air pur, les gens pas les uns sur les autres et où il fait bon rouler avec un grand «R» et un sourire sur le casque.
Les nuages ont disparu à l'entame de la dernière session de qualification. Avec un 1'39''015, le Sert et sa machine numéro 1 lance les hostilités. Le GMT 94 est à 2 dixièmes. La numéro 18 avec David Brière aux commandes réalise un beau 1'44''3 pointant à la 14e position.
Finalement, la pluie n'aura fait qu'inquiéter les teams-managers. En effet, les quelques grosses gouttent aperçu tout à l'heure ne sont plus qu'un mauvais souvenir sauf en fin de séance. Après 10 minutes dans la séance des 2e pilotes, c'est encore le GMT qui tient la tête de la troupe.
La première qualification vient de se terminer. Chaque premier pilote a donc tenté de réaliser le meilleur chrono possible. A ce petit jeu, c'est le GMT 94 qui a ouvert le bal avec un 1'39'015. A chaque tours, les chronos chutent. Dans le 5e tour, la Yamaha n° 94 réalise un 1'38''3.
Comme je vous l'annonçais dans cet article, cette année le Scarabéo se décline en 200 cm3, mais toutes les autres cylindrées partant du 50 jusqu'à 500 cm3 sont toujours présentes dans le catalogue. Alors qu'est-ce qui change? Petit tour d'horizon histoire de pouvoir bien choisir son modèle.
La 2nd séance d'essai libre vient de se terminer. La pluie n'a toujours pas fait son apparition mais les nuages reste menaçant. Il reste maintenant une bonne heure avant le début des premiers essais qualificatifs. Lors de cette 2nd séance, c'est encore la Yamaha N° 94 qui réalise le meilleur temps.
La première séance d'essai libre s'est conclu avant midi. Pour les sapeurs-pompiers, cette première séance officielle a plutôt été l'occasion de valider les modifications apportées hier suite aux quelques soucis rencontrés avec le shifter (système qui permet de monter les rapports sans embrayage).
La pratique du stunt est un art difficile et celui qui s'y exerce s'expose à de nombreux risques. Ainsi, dans ce milieu, il n'est pas rare de rencontrer certains passagers avides d'adrénaline et prêts à tout tenter pour peu qu'ils s'enivrent d'une émotion débordante.
Avant le début des essais libres prévu dans le programme des 24h du Mans, je suis allé à la rencontre de Gérard Jolivet. J'avais eu l'occasion de le rencontrer ici-même l'année passée alors qu'il exerçait pour la première fois en tant que Team Manager après 25 années passées à piloter.
L'Œil affûté de notre compère André vous a déjà fait parvenir quelques clichés de la S 1000 RR Superbike dans nos articles. Et dieu sait que quand BMW a décidé de ne rien laisser passer, nous pouvons gratter, pauvre miséreux que nous sommes, pour trouver des photos.
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