Moto Guzzi étoffe sa gamme et ouvre à son Twin ancestral les horizons du XXIème siècle. Les déclinaisons contemporaines n'obèrent cependant pas une certaine approche basique de la moto, tout du moins pour ce qui est de la plastique. Preuve en est avec ce qui est annoncé comme le prochain custom de l'aigle.
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A domicile, au salon de Milan, Aprilia semble bien se livrer à un véritable feu d'artifice. Dans la lignée de ses sœurs de groupe Piaggio, la marque de Noale fait dans l'audacieux et le techniquement enthousiasmant, lançant une véritable offensive sur un marché qu'elle a décidé de prendre à son compte.
C'est aujourd'hui que la marque italienne présentera cette nouvelle moto au Salon de Milan. On la connaissait sous forme de prototype, mais apparemment Aprilia se serait décidé à la commercialiser. C'est dans sa transmission qu'une réelle avancée à été faite.
Mais quel curieux mélange que celui d'une marque de casque pour deux roues avec une des plus grandes marques de voiture et de F1. C'est pourtant ce qu'ont fait Newmax et Ferrari. Il y a donc deux modèles dans cette gamme : le Rosso et le Stile. Ils restent tout deux dans l'esprit de Ferrari.
Les productions Buell ont leur caractère, ce qui les rend sympathiques. Reste qu'elles semblent cependant s'enfermer esthétiquement dans leur style, et ce n'est pas cette énième variation sur un thème qui va contredire ce sentiment.
Les essais d'intersaison, sous l'égide de Pirelli, ont commencé en Superbike. Un cycle qui va amener le plateau de Valence à Doha puis à Phillip Island. De quoi marquer d'ores et déjà son territoire pour le prochain exercice. Mais ce sont les chronos qui ont déjà frappé les esprits.
Ressuscité en 2004, Moto Morini fait son bonhomme de chemin en cultivant son Twin sur des modèles bien séduisants. Et le blason italien compte bien se développer encore. C'est ainsi qu'après son Corsaro et son roadster, présentés au salon de Cologne, il lance son prototype MM3 à Milan.
La 1000R c'est bien, la 1000CC c'est beaucoup mieux. C'est aussi plus cher, c'est le fleuron du blason et pour confirmer, la machine adopte même les initiales du patron Claudio Castiglioni. On a déjà vu par ailleurs, que cette superlative respectait sa réputation par son prix de 100 000 euros et sa production limitée à 100.
Le side reste encore à l'heure actuelle un véhicule assez marginal. Déjà en premier lieu, sa conduite est tout à fait singulière, étant complètement dépendante du panier accroché à la moto. Alors en compétition, c'est un vrai travail d'équipe qui s'opère entre le pilote et son singe.
Pas beaucoup de changements techniques pour la F4 cette année. En effet, cette saison, la sportive Mv avait reçu énormément de modification. Comme sa sœur la brutale, la mv F4 reçoit cette année l'homologation Euro3. Pourquoi changer ce qui marche.