La voiture connectée peut faire rêver, mais elle représente une cible de choix pour les hackers en tous genre. Le risque est tel que l'Association des constructeurs automobiles européens s'en émeut publiquement ce jeudi.
La Grande Motte est la première ville de France à avoir accueilli le radar piéton, qui vise à inciter les automobilistes à ralentir à l'approche d'un passage clouté. Le premier bilan tiré de cette expérience est positif selon les autorités. Mais il en coûtera tout de même 30 000 € l'unité pour les communes.
Demain le long ruban noir sur lequel vous roulerez ne sera plus ce simple bitume sans autre intérêt que d’assurer un support décent à votre automobile. On ne le sait pas forcément, mais la route, au sens premier du terme, évolue et se transforme comme toute chose dans notre environnement. Elle en est même à finaliser sa cinquième génération qui promet d’être technologiquement digne d’intérêt…
Depuis le 1er janvier 2018, il ne fait pas bon stationner dans les rues de Paris. On peut en effet s’y faire verbaliser alors que l’on est dans son bon droit tandis que la moindre seconde en sus signifie une amende à payer. Et pas qu’un peu : jusqu’à 50 euros ! Le résultat d’une politique qui a donné à deux sociétés privées la mission du contrôle du stationnement payant et de la verbalisation, et dont les employés sont poussés à faire des résultats pour faire entrer de l’argent dans les caisses de la Mairie de Paris…
En 2016, il y a eu pas moins de 27 018 656 contraventions au Code de la Route dressées sur le territoire national. Un record absolu puisque le dernier bilan le plus important remontait à 2012 avec 26,3 millions d’infractions sanctionnées. Une inflation que l’on doit à des radars plus nombreux et performants tandis que le stationnement à Paris aide aussi à ce résultat historique. D’autres infractions, relevant du comportement, ont été en revanche moins relevées, alors que le gouvernement en a récemment aggravé les sanctions…
Apparemment, ils n'y croient pas vraiment. Malgré tout, les sénateurs semblent décidés à peser de tout leur poids pour essayer de faire changer d'avis le gouvernement sur le 80 km/h. Auditionné ce mercredi matin, au Palais du Luxembourg, le délégué à la Sécurité routière a subi la bronca de ces élus. Caradisiac y était. En voici le compte rendu…
Un nouveau sondage confirme le rejet par les Français de la future limitation de vitesse.
Il en a été ainsi décidé. Pour sauver des vies, il faudra multiplier les chances de retirer les permis et cette opportunité sera un abaissement de 10 km/h sur les 400 000 km de routes secondaires de notre verte contrée. Un 80 km/h au lieu de 90 km/h qui deviendra donc obligatoire le 1er juillet prochain. Soit au moment des transhumances estivales, ce qui permettra, à coup sûr, aux radars de tout poil de faire mouche, puisqu’il y aura plus de monde en circulation. Dont acte. Mais l’arrivée du 80 km/h a aussi des conséquences collatérales qui méritent que l’on s’y attarde…
Le manque de transparence sur l'expérimentation qui a précédé la décision de généraliser le 80 km/h sur 400 000 kilomètres du réseau secondaire reste apparemment en travers de la gorge des sénateurs. Ces derniers ont donc décidé d'interpeller de nouveau le Premier ministre sur le sujet, et d'organiser une audition du délégué à la Sécurité routière le 24 janvier.
Récemment, une ribambelle de lois autophobes ont vu le jour, sous couvert de bien-pensance écologique et sécuritaire (l’automobiliste est bien sûr l’unique responsable de la fonte de l’Antarctique et de la modification des jet-streams). Une des dernières en date, et qui fait énormément de vagues, est le passage à 90 à 80 km/h de la limitation de vitesse sur le réseau secondaire.
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