A la fin du mois de mai, Patrick nous proposait des photos d’une Ferrari 458 développée pour la compétition qui avait tout l’air d’être la future version Challenge.
Une panne m’a empêché de finir de couvrir en direct cette passionnante 78è édition des 24 Heures du Mans.
L'Audi n°9 a gagné les 24h du Mans mais dans les premières heures de course, son périple aurait pu s'arrêter. En rentrant aux stands pour un de ses premiers ravitaillements, la R15+ a fauché un cameraman d'Eurosport.
A 0h12, une image de Pescarolo Judd en perdition apparaît sur les écrans. En fait, la n°24 vient de heurter la Ford GT n°60 qui était en tête de sa catégorie LMGT1.
François Sicard, team manager, déclarait à l’instant que la Pescarolo Judd n°24 du OAK Racing tournait « comme une horloge ».
Après Philippe Leloup chez Oreca, passons au OAK Racing, avec son homologue, François Sicard.
Il est 13h pile. Philippe Leloup, team manager d’Oreca, est disponible jusqu’à 13h10. Hop, c’est parti.
Ce matin, à l’issue du warm-up qui se disputait entre 9h et 9h45, c’est l’Audi n°7, pilotée par Allan McNish qui a réalisé le meilleur, en 3’51’’401, avec plus d’une seconde d’avance sur la première Peugeot, la n°1.
Comme toujours, le Grand-Prix du Canada est réputé comme étant l'un des plus atypiques du championnat. Certains pilotes le détestent, mais cette année, avec son retour au calendrier, il ne fait plus du tout l'unanimité !
En plus de suivre la course des deux Pescarolo-Judd de l’écurie OAK Racing, nous aurons un œil intéressé tout le week-end sur l’écurie Oreca, laquelle engage à la fois une Peugeot 908 HDi FAP (n°4) et son propre proto, baptisé Oreca 01
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