La photo que nous vous proposons aujourd'hui est consacrée à l'ancien vaisseau amiral de la marque BMW, la Série 8 dans une teinte bien peu courante.
Aujourd'hui l'un des plus beaux fleurons de l'automobile sportive française, la Renault 5 Turbo 2. Un engin dont la rusticité et la bestialité font toujours office de référence.
Il y a peu de temps, j’ai failli acheter une Elise exactement comme celle-ci. La petite puce anglaise, qui peut paraître gentille, voire douce de l’extérieur, cache en fait très bien son jeu. Malgré sa modeste puissance, elle peut totalement vous retourner la tête. C’est l’un de mes meilleurs souvenirs sur piste.
Dans le petit monde de la voiture minimaliste et ultra sportive, vous avez des noms comme Lotus, Caterham, Donkervoort ou encore KTM. Il ne faut cependant pas oublier une cousine plus ou moins éloignée de la Lotus 7 : la Westfield FW300. Un engin qui se démarque surtout de ses concurrentes par la mécanique qui se trouve sous le long capot.
Chez TVR, on souffle le chaud et le froid depuis déjà un paquet d'années. La marque anglaise est en pleine période de résurrection après un passé pas forcément facile, mais c'est un peu le lot de bon nombre de petites marques anglaises. Cela n'enlève en tout cas rien aux qualités des autos badgées TVR, comme cette démonstrative Sagaris.
Avec l'Alpine A110, la Venturi 400 GT est probablement la sportive française la plus passionnante de l'histoire. Véritable supercars elle disposait de tous les éléments pour concurrencer les sportives les plus extrêmes de la planète, à l'exception d'un certain déficit d'image.
Certaines voitures défraient la chronique et sont complètement hors du temps, à l'image de la MG Xpower SV-R. Pas très raffinée, elle n'en demeure pas moins un vrai collector avec de véritables arguments sous le capot.
Lorsque l'on pioche dans l'historique sportif des gammes Renault, on se rend compte à quel point ce constructeur est animé par la passion. Les Spider Renault que nous vous présentons aujourd'hui en sont une belle illustration.
Ce week-end, je vais vous rabâcher l’éternel discours du « c’était mieux avant » concernant les autos sportives. C’était mieux avant quand les boîtes manuelles demandaient une force de bûcheron canadien pour être maniées à la perfection. C’était mieux avant quand les moteurs atmosphériques hurlaient à la mort à l’approche de la zone rouge. C’était mieux avant quand on transpirait après 30 minutes d’attaque. Quel est notre sujet d’étude ? L’éternelle, la parfaite Ferrari F355 Berlinetta.
Voilà un shooting bien inhabituel pour notre dernier jour de la semaine. Alors que notre photographe attitré Eddy Clio est plutôt un habitué des photos de supercar dans les rues de Paris, voilà que cette fois, il tombe sur un engin un peu particulier stationné dans les allées de la capitale. Une véritable auto de course engagée en championnat du monde d'endurance : la Lola B12.
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