Après une décennie plutôt tourmentée, la firme coréenne semble avoir retrouvé la stabilité. En instance de rachat par le groupe indien Mahindra, Ssangyong compte bien relever la tête sur le vieux continent. Avec le Korando ?
Alexandre Bataille
Lui écrireA l'occasion de chaque salon, nous effectuons un classement des déceptions. Le Mondial de Paris 2010 n'est pas un grand cru pour les flops, mais nous avons tout de même trouvé quelques perles.
Lorsque Ford revisite son vaisseau amiral, c’est avec beaucoup de tact. En dépit d’un très léger restylage, la Mondeo fait le plein de technologie. Une montée en gamme appuyée par l’arrivée de nouvelles motorisations, toujours plus performantes.
La Bluecar de Bolloré n'est pas morte. Sur son stand, le constructeur français présentait sa 4ème génération de Bluecar. En compétition pour Autolib' et disponible à la vente courant 2011.
Après plus d'un mois d'attente, le voici enfin. Le concept Sesto Elemento. Une sorte de Gallardo ultra-light qui abat le 0 à 100 km/h en 2,5 secondes.
Jaguar, récente propriété de l'indien Tata, fête ses 75 ans en grande pompe au Mondial de Paris. Avec le spectaculaire concept électrique CX75, la firme de Conventry, prouve qu'elle compte toujours parmi le ghota européen.
Bien à l'abri des regards, sous le stand Nissan se cache la radicale Nissan GT-R 2011. Dans cette livrée baptisée « Spec-M », la reine du Nurburgring, voit ses ratios augmenter de façon conséquente.
DeZir est la vitrine esthétique de Renault pour les 10 prochaines années. Ce spectaculaire concept est le premier exercice de style du batave Laurens van den Acker, successeur de Patrick Le Quément à la tête du style Renault.
Renault a fait forte impression avec son Showcar ZOE. Future citadine 100% électrique. Le présent se matérialise sur 4,78 m et s'appelle Fluence ZE. Une berline tricorps tout électrique proposée à 21 300 €, mais sans les batteries !
Discrète et effacée, la Laguna restylée était bel et bien présente sur le stand Renault aux côtés de la Latitude. Ce facelift avancé, en raison d'un succès commercial contrasté, est à minima.