
A Indianapolis, il va passer son Grand Oral de team manager en Grand Prix, un rôle dont il a toujours rêvé et qu'il a bien pensé accomplir avec sa marque fétiche Suzuki aux côtés d'un certain Ben Spies, depuis parti chez Yamaha.
A Indianapolis, il va passer son Grand Oral de team manager en Grand Prix, un rôle dont il a toujours rêvé et qu'il a bien pensé accomplir avec sa marque fétiche Suzuki aux côtés d'un certain Ben Spies, depuis parti chez Yamaha.
Le motocross est décidément un sport exigeant qui ne fait pas beaucoup de concessions. Les pilotes du Moto GP et, généralement, ceux du paddock de la Dorna, en raffolent au point d'y jouer leur saison en une récréation, se cherchant des crosses sur les bosses.
Roger Lee Hayden et Jason DiSalvo s'apprêtent à rejoindre leur compatriote Kenny Noyes sur la grille de départ du Moto 2 à l'occasion d'un Grand Prix de Etats-Unis, qui aura lieu, ce week-end, sur le légendaire site d'Indianapolis.
Commencer une aventure Moto GP au sein d'une équipe qui, elle-même, y débute, le tout avec le statut de client Ducati, n'était pas sans comporter quelques risques pour un Hector Barbera que l'on ne voyait pas à pareille fête.
Il aurait bien voulu en être dès cette saison, mais au sein du team Aspar, il n'y avait plus de place. Son redoublement en GP125 devait être synonyme de titre mondial, mais force est de constater que Bradley Smith ne sera sans doute pas celui qui ceindra la couronne dans une catégorie aux saisons à présent comptées.
Si certaines icônes sensibilisent leurs contemporains de 7 à 77 ans, Valentino Rossi fait quant à lui bien mieux puisqu'il fascine toujours, une fois le cap du siècle d'existence consommé. La preuve avec cette Dame Hilda Wright, ci-devant 102 ans bien sonnés.
Valentino Rossi, Mattia Pasini, Marco Simoncelli, Andrea Iannone, mais aussi Vittoriano Guareschi ou encore Aldo Drudi, il y avait décidément du beau monde dans cette virée entre italiens sur une piste de kart en nocturne. Une dégageante estivale qui a été relayée par GPOne et dont les clichés sont visibles ICI.
La décision de Valentino Rossi de quitter Yamaha pour Ducati suscite pas mal de commentaires dans le paddock du Moto GP et les anciennes gloires de la 500 ne sont pas les dernières à alimenter le débat. L'homme de Tavullia a-t-il eu raison de lâcher celle qui est devenue la meilleure moto du plateau sous son ère pour une autre conçue dans son Italie natale ?
Les pilotes du Moto 2 et, bientôt, du Moto 3, seront-ils en mesure, demain, d'évoluer à haut niveau parmi l'élite du Moto GP ? Les distances prises par les règlements de ces catégories avec la philosophie du prototype dans la conception des motos motivent cette interrogation qui en induit une autre : celle de la formation technique de ceux qui auront à les chevaucher.
Jerry Burgess, dont on ne sait encore rien de ses intentions pour 2011, a précisé sur le site MCN que l'union entre Rossi et Ducati n'avait rien de neutre. Frappé sous le sceau de l'italianité, ce nouveau couple sera sans nul doute plus passionnel que celui formé avec Yamaha, même si le pari avec la marque de Borgo Panigale a quelques fondements identiques avec celui tenté en son temps avec le blason d'Iwata.
SPONSORISE