On ne sait pas encore quel scénario va lier ce quintet de choc autour de la moto, mais le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a attiré la curiosité du côté du Paul Ricard.

L'horloger Lotus est un des partenaires de celui qui s'annonce comme le prochain phénomène des Grands Prix, Marc Marquez. Un pilote qui a écrasé de son style, de son panache et de son influence un dernier championnat de Moto 2 conclu par un titre qui se souffre pas la contestation.

Il est celui qui a le mieux classé une CRT à l'issue d'un Grand Prix. Jamais, en effet, ce type de machine, que l'on a seulement découverte cette année, rappelons-le, ne s'était en effet portée à la cinquième place d'une course de l'élite.

On n'a de cesse de nous le dire, ces fêtes de Noël seront plus particulièrement placées sous le signe de la tablette numérique. Un accessoire aux airs de fossoyeur d'une édition papiers qui, cependant, promet de se réinventer pour absorber le choc.

Les montants et les subtilités du dispositif sont encore à préciser, mais l'essentiel est acquis. Après que le constructeur Harley-Davidson lui ait gentiment montré la sortie, Erik Buell continue de se refaire une santé et s'apprête, cette fois véritablement, à se constituer un réseau pour écouler ce qui est pour le moment sa seule moto : l'élitiste sportive EBR 1190RS.

Avec trois disciplines majeures des sports-mécaniques se partageant la planète sur une partie de l'année, il est certes difficile d'éviter de se marcher sur les pieds, au moment d'échafauder son calendrier. Et encore, on ne compte là que le Moto GP, le Superbike et la sacro-sainte Formule 1.

L'enfourcher, se saisir de ses extrémités afin de bien se caler pour profiter, au mieux, de ses vibrations en regardant l'horizon l'oeil pétillant. . . C'est bien ça faire. . . de la moto. Vous pensiez à autre chose ? C'est vrai que la confusion est possible.

Les anciens tauliers de Ducati n'ont pas laissé longtemps dans leur bas de laine les quelques 860 millions d'euros encaissés après la vente du blason de Borgo Panigale au groupe VAG. On apprend ainsi qu'Investindustrial vient d'entrer pour 37,5% dans le capital du constructeur préféré de James Bond, Aston Martin.

Tout vient à point pour qui sait attendre. Sylvain Guintoli a démontré, durant cette intersaison du Superbike, tout le bien fondé de l'adage, en prenant place, dans les ultimes instants d'un marché des transferts mitonné à feu doux, la place de l'Empereur parti jouir d'une retraite bien méritée.

Tiens ! Voilà une sportive qui se toilette et qui fait plus de 250cc. Une denrée somme toute rare ces derniers temps au vu des ultimes productions qui ont joué les vedettes dans les salons, et qui ont tout d'une grande pour mieux s'en aller s'imposer sur les marchés émergents.