
Bien sûr, la remarque est à prendre au deuxième degré. Valentino Rossi rencontre des difficultés à maitriser sa Ducati mais pour autant insiste qu'il veut se faire aux gênes de Borgo Panigale et éviter de se retrouver avec un clone d'Iwata.
Bien sûr, la remarque est à prendre au deuxième degré. Valentino Rossi rencontre des difficultés à maitriser sa Ducati mais pour autant insiste qu'il veut se faire aux gênes de Borgo Panigale et éviter de se retrouver avec un clone d'Iwata.
Jerez de la Frontera a peut être du plomb dans l'aile mais l'Espagne a toujours foi en la moto. Une démonstration de ce véritable amour a été symboliquement apportée par la famille royale elle-même qui a honoré, en tant que sportif national de l'année, un Jorge Lorenzo auréolé de son titre mondial en Moto GP.
Ce n'est pas encore aujourd'hui que BMW annoncera son implication côté piste en Moto GP, mais Carmelo Ezpeleta est ravi d'avoir prolongé le bail que le lie aux Munichois en ce qui concerne la fourniture des véhicules utiles à l'organisation de ses meetings.
Le père de la GP11 qui est papa tout court depuis quelques jours, a dû quitter sa descendance précipitamment pour retrouver à Jerez son rejeton du Moto GP. Les derniers tests de Sepang l'ont démontré, le dernier opus de Borgo Panigale pour l'élite n'est pas du goût de ses servants, au premier chef d'entre eux un Valentino Rossi iconique qu'il ne s'agit pas de décevoir et de cantonner dans la seconde partie du top 10.
La rumeur nous était venue des Etat-Unis mais l'écho arrive cette fois directement d'Italie. Oui, le missile de Noale va élargir sa proposition concernant le diabolique et libidineux système APRC en ne le réservant plus exclusivement à la seule version Factory.
On le sait, la conjoncture économique est pour le moins morose ce qui déprime le marché de la moto tandis que le monde de la compétition est touché de plein fouet par cette grisaille ambiante. Et celle-ci se répand jusqu'aux plus hautes sphères des paddocks.
Les premiers test du Moto GP à Sepang ont convaincu les observateurs sur le fait que les Honda seront, cette saison, les épouvantails de la catégorie reine de la vitesse moto. Bousculant les records, apparemment intouchables et d'une facilité qui ravit leurs preux chevaliers, le fier destrier frappé du blason ailé semble promis à une chevauchée fantastique.
Son patron Ronald Ten Kate ne s'y est pas trompé: « Revenir de la dernière place à la septième sur un tracé comme Phillip Island est quelque chose de fort. Et cela démontre un état d'esprit que nous apprécions. » Florian Marino, qui découvrait le sélectif tracé australien tout comme la catégorie Supersport a marqué les esprits.
C'est avec une main sérieusement amochée et la facture d'une vertèbre que Fabien Foret a disputé sa course de Supersport à Phillip Island. La faute à une lourde chute lors de la séance de réchauffement qui a bien failli occasionner un forfait: « Lorsque j'ai vu mes doigts après la chute, j'ai bien cru que mon week-end s'arrêtait là » déclare le pilote Ten Kate.
Il n'a pas vraiment décollé de la dernière partie du classement durant tout ce premier week-end du mondial Superbike à Phillip Island, mais il n'est pas mécontent pour autant de sa prestation au guidon de la Ducati Supersonic.
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