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Voici le Yangwang U8, le grand SUV du constructeur chinois BYD. Non-content d’être imposant et luxueux, il est capable de flotter et d’avancer dans l’eau comme une voiture amphibie, et de faire demi-tour sur place tel un char !

Pas encore célèbre chez nous, le constructeur chinois BYD est en train de devenir l’une des plus grosses marques automobiles du monde. Il n’en reste plus que quatre devant lui.

La marque chinoise présente une berline dont les caractéristiques techniques et la plastique sont convaincantes. Mais cela suffira-t-il pour faire vaciller la Tesla Model 3 ? Réponse à partir de la fin d’année lorsque cette Seal sera commercialisée.

BYD a choisi l’Allemagne pour présenter son nouveau SUV électrique. Il compte semer la zizanie auprès du BMW iX3, du MG Marvel R, mais surtout du Tesla Model Y.

Avec la Dolphin, la marque chinoise BYD s’attaque au segment très disputé des berlines compactes. À l’image de la MG4, elle vient défier la Renault Mégane E-Tech et la Volkswagen ID.3, et nous concocte une version moins puissante, et donc moins chère.

C'est la fête à l'auto pendant une semaine dans la capitale bavaroise. Mais derrière les paillettes, l'ambiance est plus morose, conséquence des soucis à venir pour l'industrie européenne, coincée entre le pouvoir d'achat des consommateurs en berne, l'offensive chinoise sur le vieux continent et le désamour dont  nos constructeurs sont victimes sur place.

En plus de son SUV Seal U qui compte bien devenir une star du marché européen, le constructeur chinois BYD présentera aussi le premier modèle de sa nouvelle marque de « luxe » Denza au salon de Munich 2023.

Si, en France, l'actualité économique s'est quelque peu assoupie au cours de l'été, ce n'est pas le cas en Chine ou le PDG de BYD entend bien déclarer la guerre à l'industrie automobile occidentale. Wang Chuanfu veut rallier les autres marques locales pour partir en croisade. Est-il un Tartarin de Pékin ou un rusé sioux ? Explications.

Pour le patron du constructeur BYD, le temps est venu de battre les marques automobiles européennes et américaines. Mais les termes et le ton qu’il a choisi en disent long sur la motivation des Chinois de prendre le meilleur sur les constructeurs étrangers.

C’est le coupable idéal, surtout pour les constructeurs européens. Si, pour eux, l’Empire du milieu n’a qu’une idée en tête : les détrôner pour imposer leurs voitures électriques chez nous, c'est de la faute à Bruxelles. Et si nos propres marques étaient en partie responsables de cette prévisible invasion commerciale ?