Rare dans cette couleur, la Ferrari Dino a été commercialisée entre 1969 et 1973. Hommage au fils d’Enzo Ferrari, elle fut mal aimée pendant des années, mais le temps et le succès des anciennes ont fait monter sa cote de manière spectaculaire ces dernières années.
L'entreprise américaine Electric GT a converti une Ferrari 308 GTS ravagée par un incendie en voiture électrique. Autre élément étonnant de cette transformation : les 415 chevaux de sa mécanique survoltée sont envoyés au sol via une transmission d'origine Porsche. Le package hérissera le poil des puristes de la marque italienne.
Voilà une Ferrari bien peu commune que nous croisons peu dans la section photo du jour. La 400i est l'une des dernières pièces de la série des 2+2 chez Ferrari, en démarrant de la 365 GT4 2+2. Le look atypique en tricorps étonne pour une Ferrari, mais ce modèle a tout de même connu le succès avec plus de 1300 exemplaires écoulés.
Cette photo du jour est consacrée à une sportive originale, la Ferrari 412 dont les lignes ne peuvent pas laisser indifférent. Commercialisée à la même période que la Mondial, dans les années 80, elle utilise des codes stylistiques relativement proches.
Posséder une Ferrari neuve est déjà un luxe, mais il faut aussi pouvoir avoir le temps d'en profiter sur la piste ou bien sur route ouverte lorsque l'on a déjà les moyens financiers. Pour ceux qui voulaient concilier Ferrari et "vie quotidienne", le cheval cabré proposait dans les années 60 ses premières "2+2". La 330 en fait partie.
Le salon qui ouvre ses portes dans deux jours devrait consacrer une fois encore la bouffée délirante du prix des autos anciennes. Une hausse qui n’en fini plus et qui est principalement lié à la défiscalisation des voitures de plus de trente ans. Et si les plus rares sont aussi les plus intouchables, le phénomène touche aussi les petites autos populaires fabriquées à des mions d'exemplaires. Car tous les modèles de collection sont considérés comme des ouvres d’art. Pas vraiment à juste titre.
La photo que nous vous proposons aujourd'hui fait la part belle à une italienne racée, la Ferrari 365 GTC/4 qui se caractérise par son style typique des années 70.
Ferrari reste aujourd'hui un constructeur à part entière et est probablement celui qui a le plus conservé son identité au fil des décennies. Intact, donc, l'aura de Ferrari, mais il est tout de même bien regrettable, le passé du cavallino rampante !
La Ferrari 250 GTO est probablement ce qui se fait de plus désirable dans le monde automobile, toutes époques et catégories confondues. Mais avec un prix de vente souvent au-delà des 20 millions d'euros et une production limitée à 36 exemplaires, il est presque impossible d'en voir rouler sur route ouverte. « Presque », puisque Petrolicious nous emmène sur route (fermée, dans le cas présent) à bord d'un exemplaire avec le pilote Derek Hill à son volant. Jouissif.
Après l'énorme succès de la 250 GTO, Ferrari doit poursuivre l'aventure et décline en 1963 une version Grand Tourisme du prototype 250P qui courrait alors en compétition. Produite à seulement 32 exemplaires, la 250 LM au look particulier n'a pas eu la carrière de son aînée mais a quand même remporté une fois les 24 Heures du Mans en 1965, juste avant l'arrivée de la terrible GT40 l'année suivante...
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