Le prochain championnat de Formula E accueillera certains grands noms de l'automobile, preuve de l'attrait grandissant de la discipline. Et si nous avions Ferrari, en plus de BMW, Jaguar ou encore Renault ? Le patron du groupe Fiat, propriétaire de Ferrari, veut voir le cheval cabré avec une monoplace à batteries.
Sa victoire était écrite. Jusqu'à 3 minutes de la fin de cette 84e édition des 24h du Mans, Toyota devait l'emporter. Mais c'est sans compter sur une panne qui a réduit les espoirs japonais à néant. Porsche l'emporte au finish pour la deuxième année consécutive. Dans les autres catégories, les favoris ont été au rendez-vous. Alpine l'a remporté en LMP2 et Ford a fété dignement son retour dans la Sarthe àprès cinquante d'absence avec une victoire de sa nouvelle GT en GTE Pro.
Avant les barnums des grandes écuries plantés au bord de la piste, Porsche, Ford, Aston Martin et les autres, préparaient leurs autos de courses dans les petits garages du coin, dans les cours des hôtels de la région, et même dans des salles de bals. Pour valider leurs derniers règlages, pas question d'attendre des séances d'essais inexistantes. Les bolides roulaient sur des routes ouvertes, en pleine circulation et plus le plus grand bonheur des badauds. Visite guidée des coulisses du Mans d’avant.
Une nouvelle part d'histoire va peut-être s'inscrire ce week-end pour Ford. Pour les 50 ans de la victoire des Ford GT40 sur le circuit de la Sarthe, le constructeur revient en effet au 24 Heures du Mans avec un nouveau véhicule de course, et toujours l'ambition de remporter la victoire dans sa catégorie. Nous avons suivi l'équipe dans sa préparation.
Si vous aimez le Rallye et les belles mécaniques, voilà des vidéos très impressionnantes à ne surtout pas rater ! Une Ferrari 360 Challenge à l'attaque d'une spéciale, emmenée d'une main de maître.
Le Grand Prix de Bahreïn s'annonçait serré puisqu'aux essais Lewis Hamilton (Mercedes) avait certes signé une nouvelle pole mais quelques dixièmes seulement devant Vettel (Ferrari) déjà vainqueur lors de la deuxième course de l'année. Si l'Allemand n'a pas réussi une grosse course, il a été parfaitement relayé par son équipier Kimi Räikkönen qui arrache la deuxième place entre les deux Mercedes.
La première séance d'essai d'intersaison de F1 débute demain sur le circuit de Jerez. Toutes les équipes n'ont pas encore dévoilé leur monoplace mais ces dernières heures quatre d'entre elles l'ont fait. Ainsi, après McLaren et Mercedes, Sauber et enfin Ferrari ont dévoilé les formes et les couleurs de leur « outil » 2015. Si les nez s'affinent, les concepts se rapprochent. Découvrez ces monoplaces à la suite.
Si la Scuderia Ferrari a beaucoup limogé en fin d'année dernière, elle a également recruté de très bons ingénieurs piqués à la concurrence. Un nom est à ajouter à la liste déjà longue d'arrivées, il s'agit de Jock Clear qui débarque de chez Mercedes où il officiait comme ingénieur de course de Lewis Hamilton, le champion du monde 2014.
Sébastien Vettel qui avait demandé à Red Bull l'autorisation de participer aux essais de fin de saison à Abou Dhabi avec sa future équipe Ferrari ne l'a jamais obtenue. Peu importe, il s'est tout de même promené dans le stand de la Scuderia durant ces essais avant de se retrouver à Fiorano, 3 jours après la fin officielle de son contrat pour un premier roulage en rouge. On peut s'étonner de cette chronologie car ce n'est qu'aujourd'hui qu'il est allé à Milton Keynes faire ses adieux à sa désormais ex-équipe.
Chez Ferrari, on a visiblement décidé que 2014 devait être soldé, épuré, rasé afin de repartir sur de nouvelles bases. Di Montezemolo poussé au départ, Alonso en partance, c'est maintenant au tour de Marco Mattiacci le patron de la Scuderia d'être prié d'aller voir ailleurs pour laisser sa place à Maurizio Arrivabene, un ancien de Philip Morris très impliqué dans les affaires commerciales de la F1.
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