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Associé à Fiat depuis des dizaines d'années via une participation au capital du constructeur de Turin, Ferrari a officiellement signé les papiers du divorce hier. Le constructeur de supercars prend en effet le large seul, et après son entrée en bourse à New York, c'est maintenant au tour de la bourse de Milan d'accueillir le cheval cabré.

Ferrari reste aujourd'hui un constructeur à part entière et est probablement celui qui a le plus conservé son identité au fil des décennies. Intact, donc, l'aura de Ferrari, mais il est tout de même bien regrettable, le passé du cavallino rampante !

Les campagnes de rappel touchent souvent plusieurs milliers de véhicules d'un coup, mais lorsqu'il s'agit de marques de prestige, le nombre d'autos touchées est bien moindre. Ferrari lance outre-Atlantique une campagne de rappel pour la California T à la suite de la découverte d'un risque d'incendie.

Accueillons pour la première fois dans notre rubrique « photo du jour » une création très récente de Maranello : la 488 GTB. L'auto succède à la 458 et apporte une grosse nouveauté, à savoir la suralimentation. Le V8 atmosphérique fait donc ses adieux, probablement définitivement.

Le conducteur de la supercar italienne a perdu le contrôle de son véhicule sur la voie périphérique A40 située à proximité de la capitale anglaise.

La Ferrari 250 GTO est probablement ce qui se fait de plus désirable dans le monde automobile, toutes époques et catégories confondues. Mais avec un prix de vente souvent au-delà des 20 millions d'euros et une production limitée à 36 exemplaires, il est presque impossible d'en voir rouler sur route ouverte. « Presque », puisque Petrolicious nous emmène sur route (fermée, dans le cas présent) à bord d'un exemplaire avec le pilote Derek Hill à son volant. Jouissif.

La Ferrari F12 Berlinetta est aujourd'hui l'un des objets les plus désirables du catalogue de Ferrari et la version que nous avons aujourd'hui en photo l'est encore plus dans cette livrée spéciale « Tour de France », en hommage à son aînée, la 250 GTO, engagée dans cette compétition dans les années 60.

Les contraintes environnementales auront prochainement raison des moteurs atmosphériques même au cœur des gammes Ferrari, ou le turbo sera bientôt incontournable. Dans ce contexte le V12 6,2l de la F12 apparaît encore plus fascinant.

Après l'énorme succès de la 250 GTO, Ferrari doit poursuivre l'aventure et décline en 1963 une version Grand Tourisme du prototype 250P qui courrait alors en compétition. Produite à seulement 32 exemplaires, la 250 LM au look particulier n'a pas eu la carrière de son aînée mais a quand même remporté une fois les 24 Heures du Mans en 1965, juste avant l'arrivée de la terrible GT40 l'année suivante...

En général, l'apport du label GTO sur une Ferrari fait exploser la cote en seconde main, et cela s'est vérifié avec les 250 et 288. Pour la 599, c'est une autre histoire puisque l'auto n'est peut-être pas aussi exclusive que ses aînées. Cela n'enlève évidemment rien à ses qualités.