Lexus élargit sa gamme de SUV par le bas, en présentant le compact UX. Évidemment hybride, il n'a pas de concurrents sur son segment, eux qui sont uniquement disponibles en motorisations thermiques. Un avantage décisif ? Peut-être, car l'UX est par ailleurs pétri de qualités. Malheureusement, un détail pourrait venir tout gâcher.
Jusqu’à présent, seuls les Américains avaient accès à d’imposantes Lexus capables d’embarquer plus de cinq personnes. Aujourd’hui, l’Europe y a droit (environ 30 % des clients de gros SUV), avec l’arrivée de ce RX450h L. Mais ce mastodonte doté d’une technologie hybride "à l’ancienne" risque bien de rester rare sur nos routes étriquées.
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Lexus renouvelle son fleuron dans un marché bien plus dense qu’à ses débuts. Le RX 450 H, seule version qui sera importée en Europe, monte en gamme et confirme le réel savoir-faire du japonais en matière d’hybridation. Il est aussi et surtout le seul à faire confiance à un système full-hybride.
Grâce à son nouveau SUV, Lexus veut en finir avec son image de constructeur consensuel. Le résultat est spectaculaire mais ce plumage est-il suffisant pour séduire la clientèle ?
Après le RX 400h en 2005, premier SUV-crossover hybride de luxe au monde, Lexus renouvelle en 2009 son tout-chemin “propre”, alors que les autres constructeurs “premium” n’ont pas encore lancé leur première génération de véhicules hybrides. De notre premier essai du RX 450h, il ressort que ses futurs rivaux auront bien du mal à l’égaler dans plusieurs domaines, dont celui de la consommation.
Sur la base du SUV de luxe RX 300, Lexus a greffé la technologie hybride de la Toyota Prius. Un V6 à essence et deux moteurs électriques permettent au RX 400h de taquiner des V8 en accélérations tout en réduisant sa consommation à celle d’un Diesel. La panacée pour concilier plaisir et environnement ?
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