Mitsubishi est venu à Genève avec un concept, qui deviendra à terme le futur SUV de la marque. Encore un SUV me direz-vous... Oui. Celui-là est électrique et ultra-connecté, avec son intelligence artificielle embarquée.
N’en déplaise à Volkswagen qui, dans sa comptabilité sur le nombre de véhicules vendus a malignement intégré ses camions, c’est bien le groupe Renault Nissan qui est le premier groupe automobile mondial. Ses 10,6 millions de véhicules particuliers et utilitaires légers vendus en 2017 sont là pour le prouver. Un résultat auquel participe le dernier arrivé dans la famille : Mitsubishi. Pour le plus haut représentant de la marque au diamant, cette arrivée au sein d’une alliance tenue d’une main ferme par Carlos Ghosn est non seulement un bienfait pour toutes les parties prenantes du groupe, mais aussi pour la France.
L'Outlander hybride rechargeable occupe le haut du classement des hybrides rechargeables en Europe. Le japonais a été un des tout premiers sur le marché, et cela permet aujourd'hui au constructeur nippon d'annoncer avoir dépassé les 100 000 hybrides rechargeables produits depuis le lancement du SUV.
Selon le PDG de Renault, l'Alliance a vendu 10,6 millions de véhicules en 2017. C'est moins que Volkswagen, mais le bilan du groupe allemand intègre des poids lourds.
Le salon de l'électronique et du high-tech, le CES, est un peu aussi le salon des grandes annonces pour le futur. L'alliance Renault Nissan Mitsubishi vient en effet de confirmer la création d'un fonds d'investissement qui prévoit d'injecter un milliard de dollars dans les cinq ans pour ce que Carlos Ghosn appelle "l'open innovation".
Carlos Ghosn n’est pas peu fier de représenter le premier groupe automobile mondial sous son auvent Renault-Nissan. Battre Volkswagen et Toyota sur ce terrain, ce n’est pas rien et cet ascendant a pu être pris grâce aux volumes apportés par Mitsubishi qui a intégré la famille franco japonaise au printemps 2016. Un diamant brut, comme son blason, qu’il va falloir polir. Et Carlos Ghosn a fixé la feuille de route…
Cette année 2017 aura écorné encore un peu plus les réputations les plus solidement ancrés dans l’inconscient collectif par des décennies de travail minutieux et de stratégie bien orientée. La « deutsche qualität » a disparu sous la fumée du diesel Volkswagen et voilà que le « made in Japan » se corrode à vitesse grand V au contact des errements d’une industrie nippone décidément loin d’être irréprochable. Dernière attaque en date, d'une série de scandales sur le contrôle de la qualité. Mitsubishi a expliqué pourquoi il en était arrivé là. Et ça tombe tout simplement sous le sens…
Les nouveautés ont été nombreuses cette année. Et à chaque essai, les journalistes de Caradisiac ont mis un point d'honneur à faire preuve de la plus parfaite objectivité. Mais cette fois, c'est avec liberté qu'ils nous livrent chacun leur essai préféré… et l'autre, celui qu'ils n'ont vraiment pas aimé.
C’est une nouvelle information qui ébranle un peu plus l’industrie japonaise. Réputée jusque-là pour la qualité de ses produits, elle voit son auréole brûler à cause d'une série de scandales sur le contrôle de cette qualité tant vantée, impliquant des fabricants de l’empire du soleil levant. Une succession de défaillances de contrôle et de gouvernance constatée dans plusieurs grandes sociétés telles que Kobe Steel, Nissan et Subaru. C’est maintenant au tour de Mitsubishi Materials d’avouer ses errements.
Essayé en juin dernier, le Mitsubishi Eclipse Cross débarque enfin à la commande. La marque japonaise en dévoile la grille tarifaire, qui débute à 24 990 €. Il faudra cependant compter uniquement avec le moteur essence de 163 ch, en deux ou quatre roues motrices.
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