L'officialisation du rachat d'Opel par le groupe français n'est plus qu'une question de jours. Carlos Tavares a expliqué sa volonté de créer un "champion européen de l'automobile" et indiqué que les marques seront complémentaires.
Bancales, originales, en trop dans leur gamme ou encore démodées par les incontournables SUV : elles ont été classées sans suite. Absentes des concessions depuis quelques mois voire quelques semaines, elles ont aussi quasiment quitté nos mémoires. Elles se rappellent toutefois à notre bon souvenir quand parfois on les croise dans la rue.
Nous parlons beaucoup d'Opel en ce moment dans le cadre du possible rachat par PSA mais la marque est aussi occupée par le salon de Genève avec la présentation de la nouvelle Insignia mais aussi d'un programme de personnalisation haut de gamme baptisée "Exclusive".
Tout se termine bien. Les différents protagonistes du rachat d’Opel par PSA n’y voient plus d’inconvénients. L’affaire devrait être bouclée rapidement et annoncée dans les prochains jours. Pourtant, la stratégie mise au point a été bousculée par des fuites. Et l’hostilité des autorités allemandes à l’annonce du rapprochement ressemble plus à une posture qu’à une véritable incrédulité. Retour sur les quelques jours durant lesquels Carlos Tavarès a éteint les incendies.
Au menu cette semaine : un cap symbolique chez Toyota, des constructeurs qui simplifient notre quotidien ou encore un logo de Tesla qui n'a été au goût d'un équipementier sportif.
Le candidat socialiste vient de publier sa déclaration de patrimoine. Au chapitre automobile, un seul véhicule est mentionné, une ancienne Corsa achetée 10 000 € il y a plus de dix ans.
PSA est aujourd'hui quasiment totalement absent du marché des électriques avec des produits trop marginalisés et hors du temps pour vraiment faire partie de ce segment. Une association avec Opel permettrait toutefois au groupe français de disposer des technologies du groupe General Motors et de les produire sous licence.
La presse allemande relaie sans exception la stupeur du côté du gouvernement allemand qui ne cache pas son agacement d'avoir été mis à l'écart du secret des négociations entre PSA et General Motors. Les employés d'Opel, qui pourrait être acquis par le groupe français, sont eux aussi dans l'expectative avec une grande inquiétude générale dans les rangs du constructeur à l'éclair.
Le Groupe PSA est en discussion pour acheter Opel à General Motors. Une information qui peut surprendre, quelques années à peine après un premier rapprochement raté. Quels seraient les avantages et les risques d'une telle opération pour le français ?
Voir une voiture prendre forme dans une usine dégage quelque chose de fascinant. Opel l'a bien compris. C'est pourquoi la firme au blitz publie en ligne une vidéo montrant les coulisses de la production de l'électrique Ampera-e.
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