Grâce à un bon mois de juin, les transactions enregistrées sur le premier semestre sont finalement en hausse.
Disponible à la commande depuis aujourd’hui dans sa version de lancement, le nouveau SUV hybride japonais coûte plus cher en location qu’un BMW iX1 électrique.
Un défaut du système hybride a été repéré sur certains exemplaires assemblés entre 2019 et 2021.
Les ventes d’occasion ont enregistré une hausse de 3,4 % le mois dernier, mais la barre des 500 000 unités mensuelles est toujours loin.
L’auto des voisins
Il s'est offert l'auto de son enfance, du moins celle du voisin, dont la Toyota Celica le faisait rêver. Alors, à l'âge d'acheter sa première voiture, il s'est décidé pour la dernière génération du coupé japonais : une version de 2002 équipée du bloc 1.8 VVTI de 145 ch.
Avec la première génération de son SUV coupé C-HR, Toyota avait prouvé que l’on pouvait acheter l’une de ses voitures sur un coup de cœur. Alors, plutôt que de simplement capitaliser sur le succès de ce précurseur, le géant japonais a demandé à ses designers, mais également à ses ingénieurs, de pousser le bouchon encore plus loin.
Alors que les start-ups françaises de la voiture à hydrogène dévissent, Toyota pense pouvoir concevoir une voiture fonctionnant avec cette technologie à un prix raisonnable. Le constructeur promet même un produit prêt bien avant la fin de la décennie.
Le constructeur japonais croit en sa technologie de « fausse » boîte manuelle sur ses voitures électriques.
Avec une baisse de 3,4 % des transactions au mois de mai, le marché du VU de seconde main bascule, au cumul des 5 premiers mois de l’année, dans le rouge.
Le vénérable tout-terrain japonais n’est pas mort. Il va bientôt revenir dans une nouvelle mouture et restera sur le marché français.
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