En négociant en secret une fusion possible avec FCA (Fiat-Chrysler Automobiles), le nouveau P.-D.G. de Renault a changé son image. Le patron social réputé, et qui a transformé la maison Michelin en une entreprise où il fait (enfin) bon travailler, s’est révélé rusé et stratège.
C'est désormais inscrit dans la loi : à partir du 1er janvier 2040, il sera interdit de vendre en France toute voiture ou utilitaire léger à moteur thermique. Un projet réellement dingue.
L’année où elle fête ses 100 ans, la vénérable maison aux chevrons voit ses ventes progresser comme jamais. Et si Citroën avait découvert le filon de la réussite automobile : produire des confortables voitures pour les seniors, affublées d’un look décoiffant qui leur donnent l’illusion de l’éternelle jeunesse ?
En lisant le compte rendu d'un essai de la Twingo restylée, j'apprends qu'il pourrait s'agir de la dernière du nom. Que se passe-t-il chez Renault ?
Le consortium européen de la batterie a été acté la semaine passé. Mais ce futur géant destiné à enrayer le monopole asiatique sur le cœur des voitures électriques ne démarre-t-il pas après la bataille ? De nombreux éléments tendraient à le démontrer, même si, rien ne prédestinait l'Airbus des airs à la réussite qu’on lui connaît.
Lors de sa grande allocution de jeudi soir, le président n'a soufflé mot de la limitation à 80 km/h. Hier soir à la sortie du séminaire gouvernemental, toujours rien à ce propos. Veut-on laisser pourrir le dossier ?
Les constructeurs sont sceptiques quant à l’avenir des autos qui roulent toutes seules. PSA l’avoue et nombre d’autres sont tiraillés, comme Volkswagen qui pourrait bien déléguer les recherches en la matière à des entreprises chinoises. L’Empire du milieu serait-il en train de refaire le coup de la voiture électrique sur laquelle il détient désormais une mainmise planétaire ?
Grande absente du dernier salon de Genève le mois dernier, la voiture autonome ne semble plus si inéluctable, reportée à 2050 voire aux calendes grecques. Au-delà des doutes sur sa faisabilité, ce sont ses effets indésirables qui inquiètent experts et politiques.
Il est de bon ton d’accuser la justice japonaise de s’obstiner, de torturer et d’infliger les pires sévices (mentaux) à l’ex-PDG de l’Alliance. Mais non seulement la procédure, celle d’un pays démocratique, est respectée, mais l’homme a quelques bonnes raisons de se les voir infliger.
Donner de l'argent à des gens assez pauvres pour qu'ils échangent leurs vieilles voitures contre de plus récentes, ça se défend. Mais mettre ces vieilles voitures à la casse plutôt que les donner à de très pauvres, c'est idiot.