Trump qui dit non à l'accord de Paris, ce n'était pas vraiment un scoop. Le vrai scoop, il était dans Paris Match : on sait enfin pourquoi Diana est morte sous le tunnel de l'Alma.
Il n’a pas bouleversé l’histoire du cinéma, ni celle de l’art dramatique. Pourtant, la disparition du comédien Roger Moore, décédé la semaine passée, a très largement dépassé les rubriques nécrologiques des gazettes spécialisées. Car le dandy anglais emporte avec lui une période bénie, et après sa mort, ce n’est pas de deuil qu’il s’agit, mais de nostalgie.
La DS 7 à bord de laquelle notre nouveau président s'est fait introniser était équipée d'un moteur HDI. La même semaine un rapport confirmait à nouveau que les diesels français sont à la traine en matière de pollution. Que doit faire le nouveau gouvernement ?
Et à la fin, Emmanuel Macron a gagné. On peut s'en réjouir ou s'en accommoder, mais il ne faut pas oublier qu'un pan entier du pays l'a rejeté. Mais je ne veux pas faire de politique et me contenter de parler d'automobile, ce qui n'est pas une si petite partie du sujet.
Tollé chez les automobilistes. Depuis une semaine, ils s’insurgent contre un décret en préparation qui les priverait, très momentanément, de leur cher avertisseur de radar. Pour protester, plus de 140 000 d’entre eux ont déjà signé une pétition qui met en avant des prétextes fallacieux, sans oser reconnaître qu’un tel projet les oblige simplement à ne pas dépasser la vitesse autorisée, sur 20 petits km, pendant 24 petites heures. Une pétition d’égoïstes ?
Les candidats à la présidentielle, c'est comme les ralentisseurs : chacun veut le sien mais tout le monde trouve qu'il y en a trop et à la fin personne n'y peut rien. Sauf que les ralentisseurs, ça pourrit la vie plus sûrement que la politique.
Pour essayer de comprendre le "Renault gate", je me suis souvenu de l'époque où les modèles Renault étaient confrontés à des problèmes de fiabilité et où le SAV du constructeur se faisait tirer l'oreille pour donner satisfaction aux clients. Une politique de cost-killing qui est probablement à l'origine des problèmes liés aux systèmes de dépollution.
Et si, pour une fois, ce billet d’humeur était un billet de bonne humeur. Enfin presque. Et si, plutôt que de chercher la petite bête qui se cache sous le châssis des 100 000 voitures électriques immatriculées en France, on saluait l’exploit. Sans tomber dans l’admiration béate de certains commentateurs, mais en dénonçant quelques grosses ficelles généralement accolées à ces nouveaux engins.
Cela devrait interpeller le monde de l'auto. En février, la fréquentation du salon Rétromobile a une nouvelle fois augmenté de 8 % tandis que six mois plus tôt, celle du Mondial de l'automobile diminuait - une première - de 15 %.
Le rachat d’Opel par PSA a peut-être ouvert la voie à d’autres fusions ou absorptions dans le monde de l’automobile. Parce que certains constructeurs sont plus fragiles que d’autres. Parce qu’après deux années de bons bénéfices, certains disposent du cash suffisant pour en racheter d’autres. Et parce que l’avenir et les nouvelles mobilités plaident pour une concentration des marques.