Une association propose aux séniors un macaron "S" à coller à l'arrière de leur voiture. L'objectif ? "Que ces personnes âgées se sentent rassurées au volant et que les autres automobilistes les distinguent et fassent attention à eux". Quatre mille conducteurs ont déjà passé commande!
Le salon qui ouvre ses portes dans deux jours devrait consacrer une fois encore la bouffée délirante du prix des autos anciennes. Une hausse qui n’en fini plus et qui est principalement lié à la défiscalisation des voitures de plus de trente ans. Et si les plus rares sont aussi les plus intouchables, le phénomène touche aussi les petites autos populaires fabriquées à des mions d'exemplaires. Car tous les modèles de collection sont considérés comme des ouvres d’art. Pas vraiment à juste titre.
Il y a deux façons de mal dépolluer un diesel. La première consiste à truquer le moteur pour qu'il détecte le test et le réussisse. La seconde consiste à adopter une technologie bas de gamme qui ne fonctionne que dans les conditions thermiques du test. La première, celle de Volkswagen est illégale, la deuxième, celle de Renault, est légale.
C’est le match de ce mois de janvier : le CES de Las Vegas opposé au salon de Detroit. Un combat des anciens contre les modernes. Mais si le Consumer Electronic Show parle des voitures du futur, le raout de Motorcity, plus pragmatique, se contente de présenter les autos d’aujourd’hui. Des modèles de maintenant, comme le pick-up Ford F150, qui permettent à leurs géniteurs de se payer le développement de ceux de demain.
Le titre convoité de voiture de l’année sera décerné le 29 février prochain. Mais avec près de deux mois d’avance, et en procédant par élimination, nous sommes en mesure de livrer le gagnant du Goncourt de l’automobile 2016. Les premiums en lice ? Les jurés n'en voudront certainement pas. Ni les autos plombées par les scandales, ou les roadsters nostalgiques. Alors il n'en reste qu'une, and the winner is l’Opel Astra. Ou pas.
Scandale des NOX et triche au CO2 sont dans un bateau. Triche au CO2 tombe à l'eau. Qui reste-t-il dans le bateau ? Personne. Il faut se pincer pour y croire. Volkswagen vient d'inventer l'escamoteur de scandale !
En 1990, l'acheteur moyen d'une voiture neuve avait 45 ans et des poussières. Aujourd'hui, il en a 55, nous apprend le quotidien Les Echos. Question de moyens ? Pas seulement : les jeunes ne s'intéressent plus à l'automobile. Et réciproquement.
Avec l’arrivée prochaine d’épisodes neigeux, le débat sur l’obligation pour chaque automobiliste de monter des pneus hiver risque d’être relancé. Une mesure qui menace de peser sur le budget des plus modestes. Mais qui offre aux collectivités l’occasion de faire de belles économies de déneigement.
A force d'aligner les zéros sur la facture de l'affaire Volkswagen, on finit par perdre de vue sa réalité : une tricherie minable sans la moindre conséquence sanitaire et sans autre vrai coupable qu'un management imbécile qui distillait la peur.
Tout drame exige un coupable. Dans le cas d'une catastrophe routière, quand il n'y en a pas, on s'en prend aux infrastructures. Après l'accident d'autocar de Puisseguin, la petite route départementale D17 est une cible idéale pour quelques polémistes à courte vue compassionnelle et à longue vue politique.