Par Anonyme
Preuve que Dacia grignotte le losange à petit feu. Pour chaque Duster vendu, c'est un Koléos invendu. Mais on s'en fiche, l'argent des deux va dans le même tiroir-caisse.
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Par Anonyme
Preuve que Dacia grignotte le losange à petit feu. Pour chaque Duster vendu, c'est un Koléos invendu. Mais on s'en fiche, l'argent des deux va dans le même tiroir-caisse.
Par §tec550GK
Seuls 8% des acquéreurs d'une Dacia avaient une Renault avant. Donc, logiquement, 92% ne roulaient pas en Renault/Dacia avant...
De plus, le Duster et le Koleos ne sont pas dans la même catégorie.
Par Anonyme
Pour le consommateur moyen, celui qui passe pas sa vie sur les sites autos et qui n'en a pas plus à carrer que ça de l'automobile en général, un Duster ou un Koléos c'est la même chose. Un mini SUV ou mini 4X4.
Le client voit la différence de prix et à des chances de prendre le moins cher. Il y a surement un paquet de gens qui comptaient acheter un Koléos et qui ont prit le Duster à la place (pour X raisons).
Par Anonyme
une pelle à merde prérouillé voilà ce que c'est ....
Par Anonyme
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c'est exactement le contraire pour certain,
qui veut un 4x4 pour pas trop cher en montagne,
mais aussi pour ceux qui veulent un suv jolie et pas cher en 4x2 ailleur.
Par Anonyme
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un countryman, un X1!
je pense que la plupart des possesseur de duster, savent même pas que ces modèles existe.
Par §jtc820gh
14h07 et 14h12 vous pouvez développer un peu vos commentaires.....
Par abasc
Le Duster est une auto achetée par les gens voulant un SUV pas cher, quitte à rogner sur des éléments primordiaux telle la sécurité.
C'est dommage, surtout que les occasions récentes constituent de bien meilleurs choix, avec une sécurité nettement meilleure.
Par abasc
En réponse à Anonyme
Pour le consommateur moyen, celui qui passe pas sa vie sur les sites autos et qui n'en a pas plus à carrer que ça de l'automobile en général, un Duster ou un Koléos c'est la même chose. Un mini SUV ou mini 4X4.
Le client voit la différence de prix et à des chances de prendre le moins cher. Il y a surement un paquet de gens qui comptaient acheter un Koléos et qui ont prit le Duster à la place (pour X raisons).
Par contre, le Koleos se situe nettement au dessus en catégorie ... bien qu'il soit tout aussi moche.
Par papaschulls
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Sa sent le frustré
Tu serais pas un de ces commerciaux licenciés car incapable de vendre l'un des 3 attrape-nigauds cités ( le Qashqai ayant légitimité ) .
Par abasc
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"Un 4x4 pas trop cher pour la montagne !?" : Pour moi, le seul cas où le Duster est (enfin, surtout "était", car maintenant avec le malus...) une affaire correcte : le montagnard qui ne rentre pas dans une Panda 4x4 et qui ne veut pas dépenser trop (surtout en essence).
Par Anonyme
Duster:
-Mécanique plus simple, moins coûteuse en cas de réparation et pour l'entretien.
-Moins d'électronique donc moins de panne que chez les Renault
-Rapport qualité/prix imbattable
-Identité visuelle forte, possède un vrai design contrairement au Koléos fade à mourir et sans style.
Koléos:
-Juste plus sécurisé.
Quitte à acheter une auto coréenne autant prendre du Kia ou Hyundai bien plus fiable que les Samsung badgées losange.
Par Anonyme
les dacia rouillent (baie de pare brise ,soubassement) et bizarrement certaine planche de bord tombent juste à la fin de la garantie,
bien sur vu que renault assure le sav et que c'est du low cost ....et ben c'est un sav low cost
Par §deb007Qa
Un DUster ? Je ne vois pas pourquoi les classes basses du pays ne pourraient pas acheter un faux 4x4 discount.
Duster est là et c'est très bien. !
Par §Un-055WR
Rooh la femme qui tiens le premier "0" sur la droite, elle a l'air vraiment contente de faire des Duster
Autant j'ai compris le succès de la Logan, voire de la Sandero, autant cette immondice qu'est le Duster n'aurait jamais du voir le jour !
Sur 400 000 y en a combien de 4wd ? 3 ? 4 ?
Par matrix71
pour 15 000 euro, je trouve que cette voiture roule bien en ras campagne...
le problème s'est le décote, comment ça descend vite. on n'a vite fait de se faire piège avec un crédit. donc des voiture qu'on garde.
Par papaschulls
En réponse à abasc
"Un 4x4 pas trop cher pour la montagne !?" : Pour moi, le seul cas où le Duster est (enfin, surtout "était", car maintenant avec le malus...) une affaire correcte : le montagnard qui ne rentre pas dans une Panda 4x4 et qui ne veut pas dépenser trop (surtout en essence).
C'est surtout intéressant pour une personne qui veut quelque chose de solide et de simple qui ne bougera pas dans le temps et qui se fout royalement qu'il y ait du plastique moussé, du tissus sur les portes, du cuir sur le volant ou encore des inserts alu dans tout les coins dont l’intérêt est purement visuel .
Dans ce Duster, les panneaux de portes et le TDB sont fait d'un bloc qui ne sera pas tributaire des mouvements entre éléments, tout ceci combiné au fait que le véhicule et fait de pièces archi-rentabilisées donc peu chères et aussi la possibilité de trouver un garage Renault partout .
Par Anonyme
En réponse à §Un-055WR
Rooh la femme qui tiens le premier "0" sur la droite, elle a l'air vraiment contente de faire des Duster
Autant j'ai compris le succès de la Logan, voire de la Sandero, autant cette immondice qu'est le Duster n'aurait jamais du voir le jour !
Sur 400 000 y en a combien de 4wd ? 3 ? 4 ?
Mates aussi leurs têtes, y en a que un avec un sourire jusqu'aux oreilles. Ca les gonfle royalement on dirait. :ptdr:
Ils se disent peut être "on est payé à peine plus qu'un chinois pour fourguer notre came" :ptdr:
Par §Un-055WR
@14h39
@14h40 : Si ! Moi j'ai acheté toute la gamme Dacia !
Par Anonyme
En réponse à abasc
"Un 4x4 pas trop cher pour la montagne !?" : Pour moi, le seul cas où le Duster est (enfin, surtout "était", car maintenant avec le malus...) une affaire correcte : le montagnard qui ne rentre pas dans une Panda 4x4 et qui ne veut pas dépenser trop (surtout en essence).
j'habite en montagne et des duster 4x4 il y en a plein, plus que des panda ,trop petite.
en ville je sai pas trop j'y vais pas.
Par Anonyme
En réponse à abasc
Le Duster est une auto achetée par les gens voulant un SUV pas cher, quitte à rogner sur des éléments primordiaux telle la sécurité.
C'est dommage, surtout que les occasions récentes constituent de bien meilleurs choix, avec une sécurité nettement meilleure.
"Par abasc le 08 Février 2013 à 14h20
Le Duster est une auto achetée par les gens voulant un SUV pas cher, quitte à rogner sur des éléments primordiaux telle la sécurité."
Pkoi ?? Regarde donc les résultats EuroNcap pour ce qui concerne la sécurité des occupants de la voiture...à peine 4 points de différences pour les adultes ou pour les enfants par rapport à un X1...
Par Anonyme
ces un vehicule vraiment sympa
Par Anonyme
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C'est déjà les vacances pour les boutonneux du collège ou quoi ?
Par Anonyme
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Tiens les futurs frustrés qui se voient en X 1et autre Q3 quand ils auront le permis sont en vacance....
Mais vu le niveau je suis pas convaincu qu'ils aient de quoi s'acheter un vieux Duster qui a tourné le compteur.
Pas grave, ils banderont toujours sur leur idoles à 04 roues en déblatérant sur des sites auto.....
Par §Vam107HD
Jamais contents les gens...
Renault fait des voitures qui se vendent mal, on rale;
Dacia fait des voitures qui se vendent bien, on rale...
Honnetement je n'ai pas eu l'occasion de l'essayer mais ca me parait etre un choix tout a fait raisonnable ce Duster, pour ceux qui n'ont pas envie de se ruiner...
Evidemment, certains me diront que ce n'est pas produit en France, mais ce seront les memes personnes qui achetent des allemandes (vous comprenez, ca fait la meme chose, mais c'est quand meme plus classe pour faire ses courses)
Par Anonyme
Franchir un trottoir en Duster ou en Cayenne ?
Telle est la question.
Si tu n'as pas ton SUV, tu ne peux survivre dans la jungle urbaine.
Par abasc
En réponse à Anonyme
"Par abasc le 08 Février 2013 à 14h20
Le Duster est une auto achetée par les gens voulant un SUV pas cher, quitte à rogner sur des éléments primordiaux telle la sécurité."
Pkoi ?? Regarde donc les résultats EuroNcap pour ce qui concerne la sécurité des occupants de la voiture...à peine 4 points de différences pour les adultes ou pour les enfants par rapport à un X1...
http://fr.euroncap.com/fr/results/dacia/duster/2011/421.aspx
Seulement 3 étoiles aux Crash Test 2011 ...
Par Anonyme
En réponse à abasc
"Un 4x4 pas trop cher pour la montagne !?" : Pour moi, le seul cas où le Duster est (enfin, surtout "était", car maintenant avec le malus...) une affaire correcte : le montagnard qui ne rentre pas dans une Panda 4x4 et qui ne veut pas dépenser trop (surtout en essence).
Ou le cas d'un gars simple pour qui une voiture c'est juste le moyen d'aller d'un point A à un point B sans forcément croire que parce qu'on roule dans tel ou tell modèle on acquiers un statu sociale le temps d'être au volant.
Puis il y a tellement d'ânes batés qui pense que parce qu'ils ont une Merco, BM, VW, ou une Audi qui à 6 chiffres au compteur ils ont de l'or dans les mains que franchement entre un Duster neuf et un XX de chez YY à 120 000 bornes le choix est vite fait....
Par Anonyme
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Commentaire supprimé.
Et "Koléos"?
Par §Vam107HD
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Commentaire supprimé.
ou alors c'est le plumeau de la soubrette
Par Anonyme
En réponse à abasc
http://fr.euroncap.com/fr/results/dacia/duster/2011/421.aspx
Seulement 3 étoiles aux Crash Test 2011 ...
Il est amusant de constater que ce "tombeau roulant" n'est pas si mauvais dans le détail.
Une lumière de plus au tableau de bord et hop la 4ème étoile serait de la partie....très important la lumière pour ne pas avoir la colonne vertébrale en vrac.....
Mais si "clic" sur d'autre modèle que le Duster on s'aperçoit vite que:
1/ il n'est jamais classé comme MAUVAIS....
2/ Bien des modèles à 4/5 étoiles sont également MOYEN...mais ils ont le bip de la ceinture et le voyant au tableau de bord....
En tout cas c'est bon le bourrage de crâne sur la "sécurité" que procure les étoile à fait son office. On se demande bien comment l'humanité n'a pas disparue de la surface de la terre avec toutes ces voitures qui circulaient dans les années 80/90....
Par Anonyme
Koléos: les quou..les (en grecque) !
Par §Max742yf
Le duster une bonne alternative aux autres 4x4
Par papaschulls
En réponse à Anonyme
Ou le cas d'un gars simple pour qui une voiture c'est juste le moyen d'aller d'un point A à un point B sans forcément croire que parce qu'on roule dans tel ou tell modèle on acquiers un statu sociale le temps d'être au volant.
Puis il y a tellement d'ânes batés qui pense que parce qu'ils ont une Merco, BM, VW, ou une Audi qui à 6 chiffres au compteur ils ont de l'or dans les mains que franchement entre un Duster neuf et un XX de chez YY à 120 000 bornes le choix est vite fait....
Essaye de faire comprendre ça à certains " bonobos " anonymes et non anonymes .
Par Anonyme
Bravo renault , bravo dacia , bonne stategie , contrairement a psa qui veulent de l argent des petits gens comme nous , alors qu ils ont des millions en suisse
Bravo renault au chiotte psa
Par Anonyme
Matrix71 ou l'exemple à suivre... (ironie). Un beau bonobo...
Tiens, une banane pour toi.
Par Anonyme
"Le dacia duster a reçu notamment le prix du véhicule ayant la meilleure valeur résiduelle en Allemagne en 2011".
Ca devrait faire réfléchir un certain nombre de pro-allemand dont le principal (et seul?) argument est la valeur de revente!
Par Anonyme
En réponse à abasc
http://fr.euroncap.com/fr/results/dacia/duster/2011/421.aspx
Seulement 3 étoiles aux Crash Test 2011 ...
Et c'est pour autant que ça en fait un véhicule dangeureux ???
Même avec ses 3 étoiles il est certainement bien plus sécurisant que tes poubelles de KIA dont tu nous ventes les mérites depuis des années
Par Anonyme
En réponse à
Commentaire supprimé.
Alors toi tu viens nous parler d'environnement alors que tu ne fait l'apologie que de gros V6 ou V8.
Tu es vraiment pitoyable comme mec, tu ne trouves vraiment plus rien à dire pour faire parler de toi
Par Anonyme
C'est un véhicule que je trouve sympa, mais qui n'a clairement pas sa place dans une ville ...
Après le mec qui a un coin de forêt c'est du tout bon, un 4x4 pas chère, donc s'il se prend un coup ou autre c'est moins grave que sur un Land à 40 000 ...
Par Anonyme
La vache il y en a un qui doit vraiment s'emmerder pour signaler tous les commentaires ... C'est ça la production française !!! :D
Par Anonyme
Bah c'est Kevin, 15 ans, fan de Naruto et en échec scolaire, sans copine et sans ami. Il tue le temps comme il peut le pauvre.
Par Anonyme
Excrément
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Cet article est une ébauche concernant la biologie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Les excréments sont toutes les matières naturellement évacuées par un organisme animal, sous forme solide ou liquide : matières fécales, urine, sueur, etc..
Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
Digestion, Intestin, Défécation
Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
Bibliographie[modifier]Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Lien externe[modifier]Les bousiers, biologie et rôle écologique - Insectes-net.fr
Par mozipokl
Le duster est juste devenu le panda 4x4 du 21ème siècle. A cela s'ajoute les gens qui peuvent enfin s'offrir un SUV.
Par Anonyme
Excrément
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Les excréments sont toutes les matières naturellement évacuées par un organisme animal, sous forme solide ou liquide : matières fécales, urine, sueur, etc..
Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
Digestion, Intestin, Défécation
Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
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Les excréments sont toutes les matières naturellement évacuées par un organisme animal, sous forme solide ou liquide : matières fécales, urine, sueur, etc..
Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
Digestion, Intestin, Défécation
Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
Bibliographie[modifier]Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Lien externe[modifier]Les bousiers, biologie et rôle écologique - Insectes-net.fr
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Les excréments sont toutes les matières naturellement évacuées par un organisme animal, sous forme solide ou liquide : matières fécales, urine, sueur, etc..
Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
Digestion, Intestin, Défécation
Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
Bibliographie[modifier]Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Lien externe[modifier]Les bousiers, biologie et rôle écologique - Insectes-net.fr
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Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
Digestion, Intestin, Défécation
Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
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Les excréments sont toutes les matières naturellement évacuées par un organisme animal, sous forme solide ou liquide : matières fécales, urine, sueur, etc..
Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
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Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
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Excrément
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Les excréments sont toutes les matières naturellement évacuées par un organisme animal, sous forme solide ou liquide : matières fécales, urine, sueur, etc..
Chez quelques espèces d'insectes (ici : Lilioceris lilii), les larves enveloppée d'un mélange d'excréments et de mucus translucide, dont les fonctions sont encore mal cernées ;
On ignore s'il s'agit d'un moyen de se protéger des prédateurs (par camouflage et en se rendant moins appétent), ou si ce manteau d'excretas a aussi d'autres fonctions biologiques ou écologiques, qui auraient pu être sélectionnés par sélection naturelle au cours de l'évolution de ces familles biologiquesSommaire [masquer]
1 Un processus biologique essentiel
2 Aspects éthologiques et sociaux
3 Hygiène
4 Gestion des excréments
5 Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage
6 Notes et références
7 Annexes
7.1 Articles connexes
7.2 Bibliographie
7.3 Lien externe
Un processus biologique essentiel[modifier]Processus biologique interne
Le processus physiologique de l'excrétion a pour fonction d'évacuer :
les restes (substances non-digestibles telles que les fibres alimentaires) et déchets métaboliques de la digestion hors des intestins et du milieu intérieur ;
des substances toxiques qui sans cela s'accumuleraient dangereusement dans l'organisme (urée par exemple, éliminée par l'urine grâce aux reins) ;
une partie de la flore intestinale (microbiote en croissance constante) et de ses métabolites est également évacuée de la sorte.
Ce processus participe au maintien des conditions internes et de la vie de l'organisme.
Processus écologique
Le rejet dans l'environnement extérieur et la dégradation de ces matières est un élément essentiel des cycles écologiques. L'oxygène qui est le principal « déchet » métabolique excrété par les végétaux est utilisé par la faune pour sa respiration, et le CO2 et la matière organique excrétés par la faune sont utilisés par les végétaux pour se nourrir, les champignons contribuant au recyclage de la matière organique non directement utilisée. L'humus est naturellement formé par les excréments des vers de terre, notamment à partir des déchets organiques qu'ils consomment.
Aspects éthologiques et sociaux[modifier]La nécessité d'évacuer les excréments de l'environnement immédiat, la signature chimique qu'ils constituent pour l'espèce ou l'individu, ont entraîné l'apparition de comportements plus ou moins complexes chez les vertébrés supérieurs et en particulier les mammifères.
Des stratégies sociales complexes se sont aussi développées chez certaines espèces vivant en colonies nombreuses et resserrées. Par exemple, leurs excréments sont soigneusement enfouis par la plupart des félins, alors qu'ils sont parfois exposés comme marque territoriale chez certaines espèces, ou toujours excrétés aux mêmes endroits chez d'autres espèces, qui dans le cas des herbivores ne pâtureront pas cette zone durant le temps de leur totale décomposition.
Certaines espèces herbivores comme le lapin peuvent manger leurs excréments, où une partie des matières nutritives n'ont pas pu être digérées. Quand l'hippopotame défèque sous l'eau, les poissons se précipitent pour se nourrir de ses excréments
Hygiène[modifier]L'urine d'une personne en bonne santé est théoriquement stérile, mais va rapidement s'oxyder et émettre une odeur désagréable. Les selles sont potentiellement porteuses de parasites (vers) et/ou de virus et germes de maladies dangereuses et/ou contagieuses dits « fécaux » (éventuellement thermorésistant). Le choléra et nombre de gastroentérites sont ainsi diffusés par les excréments.
Gestion des excréments[modifier]Chez l'Humain la gestion des matières fécales se pose dès l'apparition de la vie groupée et plus encore urbaine dense.
Selon les lieux et les époques, les excréments humains ont été enterrés ou dispersés dans l'eau, utilisés (compostés ou non) comme engrais pour les cultures. Depuis quelques décennies, les réseaux d'égouts et de stations d'épuration se sont multipliés, mais outre qu'ils induisent une énorme consommation d'eau potable (40 % de la consommation des foyers dans les pays riches), c'est un système coûteux, énergivore, à forte empreinte écologique, difficile à entretenir quand les réseaux vieillissent (fuites, introduction de racines d'arbres dans les égouts). Les rats peuvent contracter dans les égouts des parasites et maladies infectieuses, qu'ils peuvent véhiculer.
Le fumier de cheval connaît depuis longtemps un intérêt (on cultivait le fameux champignon de couche[1] grâce au Haras de Tarbes[2]). Un regain d'intérêt existe pour les systèmes d'assainissement autonomes (fosse septique ou mini-station d'épuration, qui restent encouragés dans les zones éloignées des réseaux d'égout)
Le « retour à la terre » des excréments humains et animaux (d'élevage cf. fientes de poulets de batterie, lisiers émis par milliers de tonnes par les porcheries, fumiers bovins et équiens, etc.) par épandage de la matière organique ainsi récupérée (sous forme de boue d'épuration pelletable, liquide ou compostée) est parfois problématique en raison de risques liés aux métaux lourds et biocides qui ont pu la contaminer tout au long de son cycle. La question de l'éventuelle présence encore active de perturbateurs endocriniens dans ces matières fait également l'objet d'études, de même que certains risques sanitaires (prion, virus de type grippe aviaire ou autre). De nombreuses expériences d'épandage en forêt ont également été faites dans le monde, généralement limitées en raison des risques sanitaires via les cueillettes de champignons, de baies ou via le gibier.
Des réglementations ont été édictées dans la plupart des pays pour plus ou moins cadrer ces problèmes.
Le cas du littoral : Les études et publications sur la qualité des eaux de baignades ont encouragé les communes littorales d'Europe à améliorer leurs collecte et épuration d'eaux usées. Les streptocoques et coliformes fécaux étaient souvent jusque dans les années 1990 les premiers facteurs de mauvaise qualité. Les communes touristiques doivent faire face à des afflux saisonniers qui nécessitent des stations d'épuration surdimensionnées.
Bio-toxicité anormale des excréments d'animaux d'élevage[modifier]La généralisation des traitements antibiotiques (dont anti-parasitaire et traitements antibiotiques préventifs) dans les élevages a rendu certains excréments (bouses de vaches et crottins de chevaux en particulier) si toxiques qu'ils tuent les bousiers et d'autres insectes ou invertébrés coprophages qui contribuaient antérieurement normalement à les rapidement réintégrer dans le sol.
Des pâtures sont ainsi localement mortes étouffées sous une couche d'excréments qui n'ont pas été enfouis et décomposés dans le sol, et ont constitué une croute empêchant la croissance des herbacées. Le même problème s'est posé là où des troupeaux de bovins ont été introduits dans des régions où ils n'avaient jamais existé (en Australie et Amérique du Sud par exemple ; sans faune locale de bousier, leurs excréments n'ont pas été dégradés et ont colmaté et stérilisé les sols) Des solutions (incluant des introductions ou réintroductions de bousiers) sont testées ou à l'étude pour un élevage compatible avec les bousiers[3], notamment au Québec avec le Bureau des nouvelles méthodes de lutte antiparasitaire (lutte intégrée, agriculture bio..).
Notes et références[modifier]↑ Les petits blancs poussent dans les entrailles de Madiran [archive] - La Dépêche du Midi, 27 juillet 2000
↑ Les 38 salariés de Champyrénées licenciés [archive] - La Dépêche du Midi, 3 septembre 2002
↑ Fiche technique : Les bousiers [archive] - Alter Agri (revue de l'ITAB) no 85, septembre-octobre 2007 [PDF]
Annexes[modifier] Articles connexes[modifier]Caca
Digestion, Intestin, Défécation
Épreinte
Lisier, purin
Sac fécal
Compostage, méthanisation
Matière organique, humus, bousier, coprophage
Bibliographie[modifier]Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Lien externe[modifier]Les bousiers, biologie et rôle écologique - Insectes-net.fr
Par Anonyme
En réponse à abasc
http://fr.euroncap.com/fr/results/dacia/duster/2011/421.aspx
Seulement 3 étoiles aux Crash Test 2011 ...
"Par abasc le 08 Février 2013 à 15h04
En réponse à : Anonyme (voir le message)
http://fr.euroncap.com/fr/results/dacia/duster/2011/421.aspx
Seulement 3 étoiles aux Crash Test 2011 ... "
Tu sais pertinemment que les 2 dernières étoiles ne sont pas en lien avec la sécurité des occupants !
Mais bon tu fais l'andouille comme tout bon vendeur de bagnole que tu es.
Si le Duster avait l'ESP de série (99,99% des dusters vendus en europe on l'option qui est achetés par les utilisateurs) il aurait 4 étoiles...
Cela changerait-il fondamentalement la sécurité des occupant en cas de carton ?
Non...
mais ça tu le sais bien...et ca t'emm....
Par Anonyme
Certains commentaires sont d'une débilité crasse.
Un peu de tolérance à défaut d'intelligence n'enlèverait rien aux échanges d'idées !
Si le Duster vous donne de l'urticaire ayez la politesse de respecter l'avis d'autrui.
Par abasc
En réponse à Anonyme
"Par abasc le 08 Février 2013 à 15h04
En réponse à : Anonyme (voir le message)
http://fr.euroncap.com/fr/results/dacia/duster/2011/421.aspx
Seulement 3 étoiles aux Crash Test 2011 ... "
Tu sais pertinemment que les 2 dernières étoiles ne sont pas en lien avec la sécurité des occupants !
Mais bon tu fais l'andouille comme tout bon vendeur de bagnole que tu es.
Si le Duster avait l'ESP de série (99,99% des dusters vendus en europe on l'option qui est achetés par les utilisateurs) il aurait 4 étoiles...
Cela changerait-il fondamentalement la sécurité des occupant en cas de carton ?
Non...
mais ça tu le sais bien...et ca t'emm....
Le Duster ne récolte que 28% en Protection Piétons et 29% en Aide à la Conduite ... Et les 78% en Protection Enfant et 74% en Protection Adulte sont plus que moyens ...
Des scores vraiment mauvais donc pour ce Duster ...
A titre de comparaison, le Nouveau Subaru Forester, un SUV assez rustique et pas tres haut de gamme, récolte plus de 90% dans les Protection Enfant & Adulte, 73% en Pietons, et 86% en Aide à la Conduite ...
D'ailleurs je tiens à souligner que le Duster essayé à l'EuroNCAP est un Duster 1.5 dCi Laureate, équipé d'airbags latéraux, d'alerte de non bouclage des ceintures AV et de ceintures reglables en hauteur (tous absents en base), à 16000€ minimum ...
Par Anonyme
"D'ailleurs je tiens à souligner que le Duster essayé à l'EuroNCAP est un Duster 1.5 dCi Laureate, équipé d'airbags latéraux, d'alerte de non bouclage des ceintures AV et de ceintures reglables en hauteur (tous absents en base), à 16000€ minimum ... "
Cela fait peur, jamais je ne confierai la vie de ma femme et mes gosses à pareil cercueil.
Par abasc
En réponse à Anonyme
"D'ailleurs je tiens à souligner que le Duster essayé à l'EuroNCAP est un Duster 1.5 dCi Laureate, équipé d'airbags latéraux, d'alerte de non bouclage des ceintures AV et de ceintures reglables en hauteur (tous absents en base), à 16000€ minimum ... "
Cela fait peur, jamais je ne confierai la vie de ma femme et mes gosses à pareil cercueil.
Quelqu'un de responsable et non-suicidaire ne mettrait jamais sa famille dedans, c'est clair.
Par §saa452RJ
C'est dinge, y a plus de Duster que d'éléphants dans la nature !
Par Anonyme
En réponse à abasc
Quelqu'un de responsable et non-suicidaire ne mettrait jamais sa famille dedans, c'est clair.
Sûr et c'est pour ça qu'on laisse nos enfants rouler dans des voitures de 20 ans d'âge quand ils ont le permis. Avec un beau A derrière ils sont plus en sécurité que quelqu'un d'expérience dans un Duster.
Crétin !
Par abasc
En réponse à Anonyme
Sûr et c'est pour ça qu'on laisse nos enfants rouler dans des voitures de 20 ans d'âge quand ils ont le permis. Avec un beau A derrière ils sont plus en sécurité que quelqu'un d'expérience dans un Duster.
Crétin !
TU laisses TES enfants dans des autos de 20 ans d'âge.
Les gens sérieux, eux, préfèrent investir quelques centaines d'euros en plus et garantir une sécurité à leus enfants.
Par exemple, plutôt qu'une Sandero 75ch de base de 2008 (seulement 3 étoiles aux CrashTest) avec 75000km au compteur (cotée dans les 4500€), je préfère largement investir 500€ de plus dans une Kia Ceed essence 105ch de 2007 avec 80000km, qui sera garantie encore jusqu'en 2014, et avec 5 étoiles aux crash test.
Ne prends pas ton cas pour une généralité.
Par Anonyme
En réponse à abasc
TU laisses TES enfants dans des autos de 20 ans d'âge.
Les gens sérieux, eux, préfèrent investir quelques centaines d'euros en plus et garantir une sécurité à leus enfants.
Par exemple, plutôt qu'une Sandero 75ch de base de 2008 (seulement 3 étoiles aux CrashTest) avec 75000km au compteur (cotée dans les 4500€), je préfère largement investir 500€ de plus dans une Kia Ceed essence 105ch de 2007 avec 80000km, qui sera garantie encore jusqu'en 2014, et avec 5 étoiles aux crash test.
Ne prends pas ton cas pour une généralité.
Dans ton exemple je prend la Sandero pour mon enfant. Châssis de la Clio 2 très sécurisant pour les conneries de jeunesse. Faut bien qu'elle se fasse cette jeunesse. Ta Ceed avec son châssis digne des années 80 au premier faux pas c'est le fossé. 5 étoiles ? Pour les crash seulement et des crash normalisés c'est à dire pas tout les crash. Pas 5 étoiles pour rouler.
Après ça dépend ce que t'attends d'une voiture. Rouler en sécurité ou se crasher ? Moi j'ai fais mon choix et je te conseilles d'acheter un portable à tes gosses qu'ils puissent téléphoner depuis le fossé.
Sur la neige vaut mieux quoi ? Un 4x4 Duster 3 étoiles ou ta savonette qui tient déjà rien sur le sec ? 5 étoiles qui vont encore se justifier dans le fossé ...
Par Anonyme
En réponse à abasc
Par contre, le Koleos se situe nettement au dessus en catégorie ... bien qu'il soit tout aussi moche.
400 000 mer....de dans la nature !!
Par Anonyme
En réponse à abasc
TU laisses TES enfants dans des autos de 20 ans d'âge.
Les gens sérieux, eux, préfèrent investir quelques centaines d'euros en plus et garantir une sécurité à leus enfants.
Par exemple, plutôt qu'une Sandero 75ch de base de 2008 (seulement 3 étoiles aux CrashTest) avec 75000km au compteur (cotée dans les 4500€), je préfère largement investir 500€ de plus dans une Kia Ceed essence 105ch de 2007 avec 80000km, qui sera garantie encore jusqu'en 2014, et avec 5 étoiles aux crash test.
Ne prends pas ton cas pour une généralité.
"Ne prends pas ton cas pour une généralité."
Pas foutu de voir plus loin que le bout de son nez mais fait la morale. Pauvre abasc
Par Anonyme
Abasc déjà ... avec toi ça fait 2 et 399 998 autres dont un bon paquet sur ce site. Vive la France !
Par Anonyme
C'est bien "Abasc" ; la comparaison entre une Ceed et une Sandero est judicieuse ...
2 marques Low Cost ,2 modèles bas de gamme , mais moi je préfèrerai voir mes enfants dans une Sandero ; plus fiable et qui tiend ieux la route .
Par Anonyme
@Abasc
Sur la centrale, la côte brute pour une Sandero 75ch de base de 2008 est de 4400€ et celle pour une Kia Ceed 105ch la moins chère est de 5400€.
http://www.lacentrale.fr/cote-auto-dacia-sandero-1.4+mpi+75-2008.html
http://www.lacentrale.fr/cote-auto-kia-cee+d-1.4+105+motion-2007.html
Et si l'on affine ces côte, en supposant que la Sandero affiche 75000km, qu'elle ait été achetée au mois de Décembre 2008 et qu'elle soit une première main, la côte passe à 4300€ contre 5270€ pour une Kia Ceed avec 80000km, achetée en Janvier 2007 et n'étant pas une première main.
Là, on parle de 1000€ d'écart, ce n'est plus le même calcul. Et tous les parents n'ont pas forcément les moyens de mettre 4 ou 5000€ dans le véhicule de leur gosse, doit-on forcément en déduire qu’ils ne sont pas sérieux ?
Pour ce qui est de rouler en Duster ou en Forester, les prix catalogue du Forester est de 29900€ malus compris pour la plus petite motorisation disponible (Diesel 147ch tout de même).
http://voiture.autoplus.fr/technique/94363-Subaru-Forester-2.0D-X-Tout-Terrain-
Le Duster en finition Lauréate avec le moteur le plus puissant de la gamme (le 1.5dCi 110ch), est affiché pour un tarif de 16350€ en 4x2 et 18350€ en 4x4.
http://voiture.autoplus.fr/technique/99568-Dacia-Duster-1.5-dCi-110-4x2-Laureate2-Tout-Terrain-
http://voiture.autoplus.fr/technique/99571-Dacia-Duster-1.5-dCi-110-4x4-Laureate2-Tout-Terrain-
La cible n'est pas du tout la même, tout le monde vie pas avec les mêmes moyens, mais apparemment tu n'as pas l'air de t'en rendre compte. Je ne vois pas en quoi tu peux qualifier l’acquéreur d'un modèle Dacia d'irresponsable, à t'écouter, on devrait punir les gens de ne pas avoir suffisamment de moyens.
Par Anonyme
En réponse à
Commentaire supprimé.
Et en +, ils ont dû en chié pour l'avoir.
Par §Scr047Uh
Le Duster est conçu pour ne pas être onéreux et cela a des conséquences sur la suite c'est normal. Quoiqu'il en soit, aujourd'hui les auto ne sont plus fait pour durer. Elles sont devenue des produits jetables.
Toutefois en version 4x4, il peut se targuer de passer mieux que la plupart des SUV concurrents, et parfois d'offrir une meilleure adhérence que des 4x4 pur et dur.
Maintenant je reste allergique à la production française et assimilée. Même si le duster est une bonne voiture, je ne mettrai pas seul euro dedans.
Par §LeF407ZD
J'aimerais corriger le titre de l'article. Au vu de la fiabilité TRES TRES TRES relative des Duster, on est TRES loin des 400.000. Il ne faut pas oublier que c'est un véhicule avec une espérance de vie très limitée qui est conçu pour tomber en panne 2 jours après la fin de la garantie...
Par abasc
En réponse à Anonyme
Dans ton exemple je prend la Sandero pour mon enfant. Châssis de la Clio 2 très sécurisant pour les conneries de jeunesse. Faut bien qu'elle se fasse cette jeunesse. Ta Ceed avec son châssis digne des années 80 au premier faux pas c'est le fossé. 5 étoiles ? Pour les crash seulement et des crash normalisés c'est à dire pas tout les crash. Pas 5 étoiles pour rouler.
Après ça dépend ce que t'attends d'une voiture. Rouler en sécurité ou se crasher ? Moi j'ai fais mon choix et je te conseilles d'acheter un portable à tes gosses qu'ils puissent téléphoner depuis le fossé.
Sur la neige vaut mieux quoi ? Un 4x4 Duster 3 étoiles ou ta savonette qui tient déjà rien sur le sec ? 5 étoiles qui vont encore se justifier dans le fossé ...
Un Duster 4x2 ou n'importe quelle voiture 4x2, c'est fossé directement sur la neige.
1000€ de différence ? Admettons ... Et alors ?? Il revend son iPhone dernier cri et puis voilà ... Car c'est ça aussi la réalité ...
Par §ren724nO
En réponse à abasc
Un Duster 4x2 ou n'importe quelle voiture 4x2, c'est fossé directement sur la neige.
1000€ de différence ? Admettons ... Et alors ?? Il revend son iPhone dernier cri et puis voilà ... Car c'est ça aussi la réalité ...
bah voyons...! donc pour toi, dès qu'il neige, tous ceux qui roulent avec une 4x2 finissent au fossé...!
mais t'es vraiment un guignol...! si t'es pas foutu de rester sur la route sous la neige avec une traction... mais arrête de conduire! ou alors tu demandes à ton assureur de te payer un stage de pilotage sur glace...! j'en ai fait un, et crois c'est très instructif...! et je suis sans doute beaucoup moins dangereux sur la neige que le gros con de service dans son ML (au hasard...) qui se croit invincible dans son veau parce que c'est un 4x4...!
Par Anonyme
Bonjour "renault72", voila longtemps que je vous croise sur Caradisiac et je désirerai savoir quel véhicule vous possédez actuellement.
Très cordialement.
Pascal
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Bonjour "renault72", voila longtemps que je vous croise sur Caradisiac et je désirerai savoir quel véhicule vous possédez actuellement.
Très cordialement.
Pascal
Troll spotted
Par Anonyme
En réponse à abasc
Quelqu'un de responsable et non-suicidaire ne mettrait jamais sa famille dedans, c'est clair.
commentaire irresponsable
Par Anonyme
En réponse à abasc
Un Duster 4x2 ou n'importe quelle voiture 4x2, c'est fossé directement sur la neige.
1000€ de différence ? Admettons ... Et alors ?? Il revend son iPhone dernier cri et puis voilà ... Car c'est ça aussi la réalité ...
"Par abasc le 09 Février 2013 à 04h40
En réponse à : Anonyme (voir le message)
Un Duster 4x2 ou n'importe quelle voiture 4x2, c'est fossé directement sur la neige.
1000€ de différence ? Admettons ... Et alors ?? Il revend son iPhone dernier cri et puis voilà ... Car c'est ça aussi la réalité ... "
Mais bien sur...tu crois que ceux qui prennent un Duster de base ont un i-phone, un écran plat de 1m de diag, des Church au pied, et du smalto sur le dos ?? Tocard !
Tiens un Duster ça fait cela :
http://www.youtube.com/watch?v=DIB3lwVVKSs
Et crois moi (ou va voir par toi même) des coins qui nécessitent des 4x4 pour passer en toute saison il y en a des tas en France.
Rien que dans le pied-mont Pyrénéen je connais des tas de personnes qui seraient totalement isolées 4 mois de l'année sans un Niva ou un Duster.
Quant à la sécurité...encore une fois en ce qui concerne les occupants, ils sont pratiquement dans les mêmes conditions de sécurité que dans un X1 ou d'autres bidules du genre...
Sinon tu crois que certains gardent des voitures de plus de 200 000 km juste pour le plaisir ?
Pour un vendeur de bagnole tu es mauvais psychologue!
Par Anonyme
Quand Renault nous vend un Duster fabriqué en Roumanie et que sur l'étiquette c'est écrit "quatre-vingts chevaux", il y a quoi dedans, des chevaux ou des bœufs ?
Par Anonyme
cool abasc tu viens de nous demontrer qu'une ceed 1.4 ess de 2007 avec un prix de 15.000 € neuf(oui catalogue,car en concession c'est plus 13.000 €) se retrouve a la meme cote qu'une sandero "donc Low-cost" de 2008 au prix de 11.000 € neuf.
Abasc bravo !!!! tu viens de nous prouver que kia malgré sa "garantie 7 ans sois-disant,(oui je suis le fameux client avec sa vanne EGR non prise en charge par kia france,suite a une révision effectué chez Norauto)bref....
donc en fait un ceed essence de 2007 acheté 15.000 € cote aujourd'hui 5000 € en 2013 et une sandero de 2008 acheté 11.000 € cote aujopurd'hui 4500 €
Moralité ta KIA la cote s'effondre et la dacia bah tu la revends en 1 semaine.
vu que tu es commercial je te conseille de changer de métier,et en éspérant que ton employeur KIA France ne voit les conneries que tu écrit.
Chapeau Abasc !!!!!!!!! mais Electropast reste devant toi
Par Anonyme
je vais défendre un peu abasc a l'autre qui raconte que le chassis d'une ceed 1 c'est antique comparée a une sandero 1.
bah j'ai une kia ceed 1 Crdi (oui,je me suis fait avoir par la garantie 7 ans)actuellement et avant j'avais une Megane 2 DCI 105 bah la tenue de route est presque identique a la ceed,juste une meilleure précision dans la mégane mais c'est pas non plus flagrant et les gars KIA ne vend plus de clarus,Cerato sur base Mazda il y a 20 ans faut evoluer les mecs
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
cool abasc tu viens de nous demontrer qu'une ceed 1.4 ess de 2007 avec un prix de 15.000 € neuf(oui catalogue,car en concession c'est plus 13.000 €) se retrouve a la meme cote qu'une sandero "donc Low-cost" de 2008 au prix de 11.000 € neuf.
Abasc bravo !!!! tu viens de nous prouver que kia malgré sa "garantie 7 ans sois-disant,(oui je suis le fameux client avec sa vanne EGR non prise en charge par kia france,suite a une révision effectué chez Norauto)bref....
donc en fait un ceed essence de 2007 acheté 15.000 € cote aujourd'hui 5000 € en 2013 et une sandero de 2008 acheté 11.000 € cote aujopurd'hui 4500 €
Moralité ta KIA la cote s'effondre et la dacia bah tu la revends en 1 semaine.
vu que tu es commercial je te conseille de changer de métier,et en éspérant que ton employeur KIA France ne voit les conneries que tu écrit.
Chapeau Abasc !!!!!!!!! mais Electropast reste devant toi
sans oublier que la sandero c'est le segment CLIO/RIO et ta Ceed segment 308/Megane/Golf donc
Par Anonyme
abbasc la burne en chef....
Ce type est un gland pitoyable qui pense que parce que tu roules dans une voiture avec 03 étoiles au crash test t'es un irresponsable et pire si tu met tes gosses dedans...mais quel guignol.
Cela suppose donc donc que dans les années 80 toutes les Mercedes était des tombeaux roulant...
Non mais sérieux, son attitude démontre que c'est un pauvre Kevin qui bande sur des caisses comme Merco parce que jamais il pourra les avoir et Kia parce que papa en a une et que dans 03 ans il va pouvoir espérer la conduire...
Malheureusement c'est a ce prix qu'on a la liberté du net...faut se fader des abbasc, electroplast et autres crétins prépubère.......
Par Anonyme
Il y a pourtant une recette toute simple.
Ne pas causer avec Abasc.
Jamais!
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
je vais défendre un peu abasc a l'autre qui raconte que le chassis d'une ceed 1 c'est antique comparée a une sandero 1.
bah j'ai une kia ceed 1 Crdi (oui,je me suis fait avoir par la garantie 7 ans)actuellement et avant j'avais une Megane 2 DCI 105 bah la tenue de route est presque identique a la ceed,juste une meilleure précision dans la mégane mais c'est pas non plus flagrant et les gars KIA ne vend plus de clarus,Cerato sur base Mazda il y a 20 ans faut evoluer les mecs
"bah la tenue de route est presque identique a la ceed,juste une meilleure précision dans la mégane mais c'est pas non plus flagrant"
En condition de roulage normales, n'importe quelle voiture moderne avec ses béquilles électroniques est "presque identique" (ce qui a mangé l'avantage des châssis Peugeot/Citroën).
En revanche si tu dois te sortir d'une situation scabreuse ou dans des conditions particulières, là tu verras la différence.
Tu veux t'en convaincre ? Prends les deux voiture et files sur un circuit lors d'une journée grand public (tous ou presque en ont une par mois).
Prend un virage spécifique et regarde comment se comporte les voitures en les poussant de plus en plus...et là tu comprendras la différence.
Sinon oui....les tenues de route sont pratiquement identiques...pratiquement...
Par abasc
En réponse à Anonyme
"bah la tenue de route est presque identique a la ceed,juste une meilleure précision dans la mégane mais c'est pas non plus flagrant"
En condition de roulage normales, n'importe quelle voiture moderne avec ses béquilles électroniques est "presque identique" (ce qui a mangé l'avantage des châssis Peugeot/Citroën).
En revanche si tu dois te sortir d'une situation scabreuse ou dans des conditions particulières, là tu verras la différence.
Tu veux t'en convaincre ? Prends les deux voiture et files sur un circuit lors d'une journée grand public (tous ou presque en ont une par mois).
Prend un virage spécifique et regarde comment se comporte les voitures en les poussant de plus en plus...et là tu comprendras la différence.
Sinon oui....les tenues de route sont pratiquement identiques...pratiquement...
Attends, tu veux emmener une malheureuse Ceed sur un circuit ? C'est quoi la prochaine étape ? Le Twizy sur les pistes de Chamonix ? Le Hummer H1 sur les routes de Corse ? Ou la R8 dans le Sahara ?
Par §jpm434Mx
Bonjour , je viens de m'inscrire pour vous donner mon avis : je suis scotché de voir à quel point le Düster déchaîne les passions : grosse daube pour les uns ....voiture géniale pour les autres !!! Depuis 6 mois j'écume tous les forums sur le sujet ... ouillle ...aïe aie Ca va TRES TRES FORT !
Je me présente : 52 ans , possesseur d'un Opel Zafira 2.2 dti de 2003 toutes options . Pensant à le remplacer , j'ai essayé le Düster pendant 25 km .
Je n'avais aucun a priori pour ou contre , mais de la simple curiosité . Je m'attendais en fait à une Lada des année 80 ...Rien à voir : moteur souple , silencieux , roulis bien contenu ... Que du bon donc . Bonne solidité apparente . Bonne ergonomie J'ai été bluffé par ce véhicule ( Modèle privilège 4 X 2 DCI 110 CV boite 6 ) .
Au retour , reprenant mon Opel .... j'avais l'impression très nette de retourner vers le moyen -âge automobile .
Seulement voilà ma question : Mon Opel est en état neuf après 10 ans et 90000 km , elle tourne comme une montre suisse !. ( entretien maniaque , d'accord ... ) Qu'en sera t -il de la Düster dans 10 ans et le même kilométrage ???
Le Düster est bien dans l'air du temps .... La 2CV , la 4L , la Rancho ... le Kangoo ...le berlingo l'ont précédé , en bousculant aussi l'ordre des choses à leur sortie !
Pour résumer , ça peut plaire ou déplaire mais je pense très franchement que vues les conditions actuelles de circulations, on en a vraiment pour son argent . ( surtout s'il traverse les années sans problèmes ) . Cordialement .
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