Par Anonyme
They can't wait !
Barack Obama prône un soutien immédiat à l’industrie automobile américaine
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Par Anonyme
They can't wait !
Par Anonyme
C'est fou car tout l'monde demande des aides, visiblement certains l'obtiennent et d'autres non mais finalement y a rien qui avance....au contraire...ah ah ah. C'est mondial: ils veulent ralentir la croissance. Aveugle ou naîf celui qui pensera que tout n'est dû qu'à une "crise".
Par Anonyme
du super rechauffé cette news !
Par Anonyme
On nous rabâche depuis plusieurs mois que les centaines de milliards de crédits accordés aux banquiers, c'est pour sauver le système financier, l'argent des épargnants et, par là, l'économie tout entière. On disait aux États-Unis, dans le temps, que ce qui était bon pour General Motors était bon pour l'Amérique. L'adage est élargi aujourd'hui pour nous convaincre que ce qui est bon pour le patronat et pour les banquiers est bon pour la société. C'est un mensonge grossier. Les intérêts des patrons et des actionnaires de l'automobile ne se confondent pas avec ceux des travailleurs. Ils sont même rigoureusement opposés. Pendant des années, toutes les grandes entreprises de l'automobile ont tiré des profits considérables de l'exploitation des travailleurs. Pour financer le maintien des emplois, il faut puiser dans ces profits accumulés par les entreprises elles-mêmes ou par leurs actionnaires. Il n'y a pas de raison que les entreprises et leurs actionnaires gardent la main sur les profits accumulés qui, avec la spéculation, n'ont servi qu'à apporter la crise, et que les travailleurs perdent leur emploi, la seule chose qui leur permet de survivre dans l'économie capitaliste. Répartir les emplois entre tous sans diminution de salaire et interdire les licenciements collectifs, il n'y a pas d'autre moyen de préserver les conditions d'existence des travailleurs en cette période de crise.On nous rabâche depuis plusieurs mois que les centaines de milliards de crédits accordés aux banquiers, c'est pour sauver le système financier, l'argent des épargnants et, par là, l'économie tout entière. On disait aux États-Unis, dans le temps, que ce qui était bon pour General Motors était bon pour l'Amérique. L'adage est élargi aujourd'hui pour nous convaincre que ce qui est bon pour le patronat et pour les banquiers est bon pour la société. C'est un mensonge grossier. Les intérêts des patrons et des actionnaires de l'automobile ne se confondent pas avec ceux des travailleurs. Ils sont même rigoureusement opposés. Pendant des années, toutes les grandes entreprises de l'automobile ont tiré des profits considérables de l'exploitation des travailleurs. Pour financer le maintien des emplois, il faut puiser dans ces profits accumulés par les entreprises elles-mêmes ou par leurs actionnaires. Il n'y a pas de raison que les entreprises et leurs actionnaires gardent la main sur les profits accumulés qui, avec la spéculation, n'ont servi qu'à apporter la crise, et que les travailleurs perdent leur emploi, la seule chose qui leur permet de survivre dans l'économie capitaliste. Répartir les emplois entre tous sans diminution de salaire et interdire les licenciements collectifs, il n'y a pas d'autre moyen de préserver les conditions d'existence des travailleurs en cette période de crise.
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