Par Anonyme
La F1 sans Ron Denis se serait comme Ottelo sans Yago ou Bip-bip sans le coyotte. Briatore est assez drôle mais il lui manque la vraie dimension tragique que seuls les grands clowns apportent. :up:
F1 : Ron Dennis ne partira pas !
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Par Anonyme
La F1 sans Ron Denis se serait comme Ottelo sans Yago ou Bip-bip sans le coyotte. Briatore est assez drôle mais il lui manque la vraie dimension tragique que seuls les grands clowns apportent. :up:
Par Anonyme
Il y a des "irremplaçables" en F1 : Ron Dennis, Franck Williams et Ferrari.. Bon, d'accord, avant il y avait Ken Tyrell, Colin Chapman et quelques autres plus ou moins disparus depuis.. Les cimetières (vrais ou imagés) sont peuplés d'irremplaçables.. Mais j'ose espérer que notre duo d'anglais (Ron et Franck) ne les rejoindra pas trop vite. Par contre, je doute que Briatore fera date de la même manière : le "people" suit la mode et les modes sont périssables chaque saison..
Par Anonyme
Briatore est une mode qui commence à durer...
Par Anonyme
en tout cas , je serai assez curieux de connaitre le vrai rapport relationnelle qui existe en Ron et Flavio. Je veux dire celui qui existe en dehors du champ des caméras et des poignées de mains qui vont avec. Du pont point de vue , quelques choses me dis que depuis la signature d´Alonso chez McLaren fin 2005 , ca doit assez folklorique entre les 2 , et comme par enchantement une affaire d´espionnage explose chez Mclaren courant 2007 et pour finir une autre affaire d ´espionnage chez Renault fin 2007 quand Alonso était en grande voix pour revenir chez Renault. Alors une coincidence , soit , mais quand elles commencent à s´accumuler , petit á petit je trouve ca , euh ... comment dire ................. ETRANGE. Bon je vous laisse débattre !
Par Anonyme
Pourquoi on ne parle que de Briatore et si peu de Denis ? Dans mon premier post je ne faisais qu'une comparaison sur leur "vis comica" respectives. Leurs mauvaises relations datent de plus loin dans le temps, lorsque Renault à commencer à gagner et que Briatore avait indiqué qu'il visait Ferrari à une époque, récent où cette ambition était la chasse gardée de Mac Laren. Il ne faut pas oublier non plus les affaires du système de départ puis du mass damper. Mais il semble que par sa personnalité, Flavio soit redevenu un vrai sujet de discussion. Dans un sens, il est un manager "charnière" entre l'époque des mécanos directeurs et des financiers directeurs. Je pense qu'il mérite une place de choix : il a ramené Renault en F1 après avoir fait vaincre un tricoteur ! Et en plus il est amusant. Franchement, que demander de mieux ? Quelques couronnes de plus. Sûr qu'il s'en occupe, car c'est un très grand travailleur, sous ses côtés show-off. :fier:
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