Par Anonyme
mad max soulève là des principes forts et qui devraient être établis à jamais : la liberté, l'indépendance de la justice, la clarté des choix, la stabilité, le refus des compromissions. A t'il soudainement trouvé la voie de la pureté, lavé dans l'ignominie, le combat, la défaite, la sourde malédiction qui ne faisait de lui que le fils d'un nazi, pour devenir sur le tard le parangon des vertues, le défenseur des petits, des opprimés par les grosses industries ? Ou, est il, brisé en on fort intérieur par trop d'expositions et de malheurs, en train de perdre définitivement la raison? Même le plus blindé craquerait dans ce telles circonstances, voyant ou croyant voir le mépris, les ricanements, les réjouissances de ses ennemis à le voir désavoué et déchu. Du spectacle comique d'un vieil autocrate abandonné, il devient le Roi Lear pathétique et sordide dans ses paroles, triste et pitoyable dans ses actes. La vieillesse est un naufrage disait Charles de Gaule. Plus personne ne rit plus, en attendant que l'orchestre soit noyé. Est ce là ce que le temps nous réserve tous ? :(