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Commentaires - Nissan discute avec Chrysler : le début de l'alliance tripartite ?

Denis Adams

Nissan discute avec Chrysler : le début de l'alliance tripartite ?

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Par Anonyme

En parlant de Nissan, allez jetter un oeil sur http://www.edmunds.com/insedeline, il y a le premier essai chronométré d'une nouvelle Nissan GT-R (R35) et c'est phénoménal!!

Par Anonyme

Daimler a encore 20% du capital de Chrysler, je doute que Nissan ait envie de se menage a 3+...

Par Anonyme

ça va venir atTG :bien: patience

Par Anonyme

c'est scandaleux, les constructeurs ne font plus rien tout seul maintenant  :cry:

Par Anonyme

Dans les années 80 RENAULT essayait en vain de devenir champion du monde de F1, de fourguer des Cherokee Td anémiques aux européns et des R9 aux américains avant de froler le dépôt de bilan et de vendre Jeep à Chrysler. Aujourd'hui les dirigeants de RENAULT, double champion du monde de F1, proprietaire de 44% de NISSAN + 100% de DACIA +75% de SAMSUNG + 25% de LADA + 25% de VOLVO TRUCKS discute avec un groupe CHRYSLER (CHRYSLER + DODGE + JEEP)... et on trouve cela crédible, presque normal vue la puissance du groupe. Ah pardon... j'avais oublié RENAULT c'est nul En tout cas, que de chemin parcouru d'un point de vue industriel !!!!

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Par Anonyme

La crédibilité était plutôt géographique pour moi. mon idée n'était pas de faire un panegyrique historique mais de parler du présent.

Par Anonyme

OK mais cela n'empêche... Et un rappel de faits n'est pas un panegyrique

Par Anonyme

c'était un rappel des faits un peu encensatoire disons... mais ne chipotons pas, sur le fond vous avez raison même si ça n'est pas l'objet de cette news. Nous dirons donc que c'est un bon complément :)

Par Anonyme

Il ne faut pas perdre un point de vue. L'automobile contient bientôt plus de technologie qu'un avion. Le éveloppement et la mise au point de chaque nouveau modèle coute de plus en plus cher (quoi qu'on veuille bien en dire). A ce rithme là il n'y a qu'une seule issue à la fuite en avant: la concertration sur secteur. Il ne serait pas étonnant que dans les 5 ans qui vienne 2 ou 3 des principaux constructeurs disparraissent. Certains tentent une autre approche pour résister à cette tendance:  - Renault mise sur le low cost pour faire baisser le contenu technologique des véhicules et se rapprocher d'un prix de marché qui permette de soutenir le niveau de vente  - Peugeot mise sur les alliances à tout va pour mutualiser les coûts de développement. Ce qui est sur c'est que cela ne suffira pas, quelques uns vont y laisser des plumes. La question qu'il faut se poser est la suivante. Vaut il mieux remettre ce l'argent pour reculer l'échéance, ou garder cet argent pour financer la reconversion. Souvenons nous du secteur minier puis sidérurgique en france ces 25 dernières années. Plus personne ne regrètte aujourd'hui d'y avoir mis un terme. A méditer

 

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