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Commentaires - Opel : 11.000 suppressions d'emplois ?

Patrick Garcia

Opel : 11.000 suppressions d'emplois ?

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Par Anonyme

Angela Merkel risque d'avoir mal au cul, elle qui etait si pressée d'annoncer un avenir prospère pour tous les salariés en cette veille d'election. A coup sûr, quand les politiques se mêlent de ce qu'ils ne connaissent pas et font dans le populisme, ca donne ça. Pas grave, en plus des quelques 4000 licenciés allemands, A.M aura certainement également Bruxelles sur le dos, rien que ça. Tant mieux pour sa gueule.

Par Anonyme

La survie d'Opel passera par une réduction obligatoire d'effectif. Top de personnel nuit à la gestion efficace d'une industrie. Tout est à repenser. La fonction managériale, le plan de développment, le coût de fonctionnement, l'automatisation des tâches...

Par Anonyme

@ A.M. je te... >> vraiment intelligent ce que vous dites. Qu'y peut Angela Merkel ? Voulez-vous me le dire ? Devrait-elle donner du fric fédéral à une marque automobile en perdition, lâchée par un américain en perdition, pour maintenir artificiellement en activité des ouvriers devenus inutiles ? Mieux vaut procéder le plus rapidement possible à un reclassement, une requalification du personnel, plutôt que de donner de faux espoirs à des ouvriers déjà minés par la médiocrité d'Opel. Vous devez certainement être socialiste.

 

Par Anonyme

@Un Mot Parti: "L'Allemagne a promis 4,5 milliards d'euros d'aides publiques pour aider à sauvegarder Opel qui doit être vendu par General Motors à la firme canadienne Magna, associée à la banque russe Sberbank." Que ca vous plaise ou non, l'Allemagne va investir de l'argent publique, et pas une mince somme. Enfin, vous n'avez pas l'impression d'être en contradiction avec les actes ? Si ces ouvriers sont devenus si inutiles, pourquoi insister pour en garder le maximum en Allemagne ? Parce que si Magna a été choisi, c'est parce qu'ils comptaient conserver 4 des 4 sites allemands, contrairement à Fiat qui comptait n'en garder que 3 (ce qui va plutôt dans votre sens) mais en en licenciant moins sur la totalité du groupe. Merkel ne pense pas à la rentabilité sur le long terme, simplement à la conservation des emplois dans l'immédiat. Si Magna se casse la gueule, que se passera-t-il ? On réinjectera de l'argent ? Êtes-vous seulement au courant des exigences de GM quant à la prise de pouvoir "temporaire et soumise à conditions" de Magna ? Renseignez-vous... Il n'est pas dit que ce groupe pourra en faire une marque rentable en Russie comme il le souhaite, et à ce moment le problème de la rentabilité ressurgira. Et si Opel devient rentable, Gm a déja affirmé pouvoir en reprendre possession. La même mais en mieux ? Je vous pose la question monsieur l'analyste: qu'a dit Angela Merkel à ce propos ? Rien...Juste qu'elle était bonne à balancer du fric comme je le dis dans mon premier commentaire. Ca valait le coup de faire pression. Pour ce qui concerne le groupe en perdition, c'est surtout aux US, car les ventes de GM en chine ont progressé de 40%. Si GM souhaite se séparer de ses marques européennes, c'est surtout dû au fait du recul de ses parts de marché en Europe (1996: 12.5 %, aujourd'hui: 9%). Ce serait dû à la médiocrité de la marque ? il n'y a que vous pour l'affirmer. Concurrence, image de marque, préférence européenne ... Cela ne vous parle pas ? Enfin je ne suis pas socialiste, je ne sais pas si c'est l'emploi du mot "populisme" ou mon opposition au choix de Merkel qui vous fait dire ça, mais je vous suggère de foutre au feu votre intégrale de "Sociologie pour les Nuls".

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