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Par §bon606qh
La croissance... c'est ce qui nous tue. Plus exactement l'économie de croissance infinie dans un monde fini (avec des ressources limitées).
http://www.partipourladecroissance.net/?page_id=4764
http://www.le-message.org/
Commentaires - Revue de presse du 5 juillet 2014 - Les pays d'Asie du Sud-Est source de croissance...
Revue de presse du 5 juillet 2014 - Les pays d'Asie du Sud-Est source de croissance...
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Par Anonyme
totalement d'accord,...que restera t'il de la race humaine dans 100 ans............................................
Par Anonyme
En réponse à §bon606qh
La croissance... c'est ce qui nous tue. Plus exactement l'économie de croissance infinie dans un monde fini (avec des ressources limitées).
http://www.partipourladecroissance.net/?page_id=4764
http://www.le-message.org/
cette réflexion dénote une méconnaissance totale de la chose économique et du Libéralisme
Par §bon606qh
En réponse à Anonyme
cette réflexion dénote une méconnaissance totale de la chose économique et du Libéralisme
Très bien, dans ce cas éclaire nous stp.
Par §bon606qh
Notre économie c'est le productivisme/consumérisme. Si nous achetons moins que l'année précédente, le PIB diminue, il n'y a pas de croissance et donc le système s'enraille...complètement débile. On veut produire toujours plus mais on ne sait pas pourquoi. Les gains en productivité ne sont pas utilisés pour libérer du temps aux travailleurs mais pour produire toujours plus. Nous passons notre vie à produire des choses inutiles pour les vendre à des gens qui n'en ont pas besoin... et qui eux mêmes doivent passer leur vie à produire d'autres choses inutiles afin de financer leur consommation (qui est aguichée par le bras armé du capitalisme : la publicité).
La Décroissance ça n'est pas un retour à la bougie, c'est juste faire un pas de côté vers une société acroissante où on se pose les questions : Qu'est ce qu'on produit ? Comment le produit-on? Pour quel usage ?
Ha et un dernier truc : la croissance ça n'est pas l'emploi. Demandez aux italiens: Entre 1960 et 1990 leur PIB est passé de 420 000 à 1 400 000 milliard de lires (à prix constant). Entre temps, la population totale est passé de 49 à 57 millions et pourtant le pourcentage d'actif par rapport à la population totale a diminué passant de 40 à 35%.
(je ne m'attarde même pas sur les conséquences environnementales et l'augmentation des inégalités sociales qu'apporte la croissance)
La croissance infinie du PIB n'est pas la solution, c'est le PROBLEME.
Par Anonyme
En réponse à §bon606qh
Notre économie c'est le productivisme/consumérisme. Si nous achetons moins que l'année précédente, le PIB diminue, il n'y a pas de croissance et donc le système s'enraille...complètement débile. On veut produire toujours plus mais on ne sait pas pourquoi. Les gains en productivité ne sont pas utilisés pour libérer du temps aux travailleurs mais pour produire toujours plus. Nous passons notre vie à produire des choses inutiles pour les vendre à des gens qui n'en ont pas besoin... et qui eux mêmes doivent passer leur vie à produire d'autres choses inutiles afin de financer leur consommation (qui est aguichée par le bras armé du capitalisme : la publicité).
La Décroissance ça n'est pas un retour à la bougie, c'est juste faire un pas de côté vers une société acroissante où on se pose les questions : Qu'est ce qu'on produit ? Comment le produit-on? Pour quel usage ?
Ha et un dernier truc : la croissance ça n'est pas l'emploi. Demandez aux italiens: Entre 1960 et 1990 leur PIB est passé de 420 000 à 1 400 000 milliard de lires (à prix constant). Entre temps, la population totale est passé de 49 à 57 millions et pourtant le pourcentage d'actif par rapport à la population totale a diminué passant de 40 à 35%.
(je ne m'attarde même pas sur les conséquences environnementales et l'augmentation des inégalités sociales qu'apporte la croissance)
La croissance infinie du PIB n'est pas la solution, c'est le PROBLEME.
... Surtout lorsque la Croissance est sous perfusion constante d'aides et de systèmes plus farfelus les uns les autres et qui continuent de nous enfoncer dans un marasme de plus en plus insurmontable économiquement si nous ne changeons rien, radicalement.
