Commentaires - Dix ans avant la Bugatti Veyron, la Jimenez Novia ose un moteur W16

Pas facile de se faire une place parmi les grands.

Michel Hommell et sa berlinette, Claude Poiraud et Gérard Godfroy avec MVS en savent quelque chose.

Reste les voitures, pur produits de l'acharnement de passionnés.

Pas facile car concevoir, mettre au point une voiture n'est qu'une étape. Même si on met de côté l'aspect financier avec un prix de vrnte final monstrueux si on doit repartir la R&D sur quelques exemplaires seulement, il y a l'aspect juridique avec l'obligation de se conformer aux règles de sécurité et de pollution. variables suivants les continents. Encore quelques centaines de milliers de billets.

Et enfin le réseau qui doit pouvoir être rentable, ou tout au moins une équipe de techniciens aptes à maintenir et réparer la voiture, ce qui suppose la production et stockage de pieces détachées.

Bref difficile de rester au stade de l'artisan, même dans les micro niches

Il existe en ce moment des répliques de Porsche 917 à vendre motorisées par… un flat6.

Celle là avec un 16 cylindres d’un tel rendement ça aurait été autre chose!

Dans les années 70-80 il y avait même des "répliques" avec un flat 4, avec un châssis de base Cox .

Sauf erreur, j'ai vu une fois cette voiture et en même temps rencontré son créateur au salon de Genève, elle était exposé dans un corridor un peu à l'écart

"Sauf que 10 ans avant l’italo-Alsaco-allemand"

Français tout court, ce sera suffisant.

Le W16 était un assemblage de moteurs de motos, Yamaha qui plus est.

Bugatti est une marque française, mais le développement du w16 est tout sauf français. Je me permets de répéter ici qu'il est directement issu du bloc w12 (phaeton, touareg, a8 notamment) lui même issu de la fusion de 2 blocs vr6 (golf...).