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Commentaires - Le conseil d’administration de Nissan ne comptera plus Jean-Dominique Sénard

Julien Bertaux

Le conseil d’administration de Nissan ne comptera plus Jean-Dominique Sénard

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Mais Nissan n'était pas redevenu indépendant ? Je suis perdu ..

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Qu'est ce que de Meo a à voir dans la nomination d'Espinosa ?

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Chez Michelin, le départ de Senard était dans les tuyaux depuis au moins 2017. Après il faut voir les statuts de Michelin, il était peut-être aussi limite au niveau âge il me semble que François Michelin avait du demandé une dérogation pour rester plus longtemps (même si cela n'a été qu'une formalité). Pour Senard, sur Clermont en 2017, le bruit circulait que Macron l'aurait bien pris au gouvernement à l'économie sauf qu'il représentait trop la Finance pour ses soutiens. Cela avait aussi permis a Michelin d'avoir un PSE intéressant avec le soutient de Macron (visite Ladoux). Avec l'affaire Carlos, Macron avait un proche quasi libre pour Renault.

Par

En réponse à Pause Café

Mais Nissan n'était pas redevenu indépendant ? Je suis perdu ..

   

"Conseil d'administration" en gros quelques voyages au Japon et de la bonnes bouffes payés avant de dormir en suivant les discours des responsables sur la politique de l'entreprise.

Par

jean dominique sénile...

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Par

En réponse à Pause Café

Mais Nissan n'était pas redevenu indépendant ? Je suis perdu ..

   

Renault est toujours l'actionnaire numéro 1 de Nissan (+ de 30%), ce qui est convenu c'est qu'il n'interfère pas dans la gestion de l'entreprise, mais ça n'empêche pas d'avoir des sièges au conseil d'administration pour au moins une fois dans l'année approuver ou pas cette gestion, donné un avis ...:bien:

Ensuite, plutôt que des personnes de la direction de Renault, renault a nommé chez Nissan des profiles 'financier" pour marquer le fait qu'il ne veut pas faire d'ingérence ... et surtout favoriser des rapprochements avec d'autres partenaires si cela peut sauver Nissan .... :voyons:

Par

En réponse à totoecolo

Renault est toujours l'actionnaire numéro 1 de Nissan (+ de 30%), ce qui est convenu c'est qu'il n'interfère pas dans la gestion de l'entreprise, mais ça n'empêche pas d'avoir des sièges au conseil d'administration pour au moins une fois dans l'année approuver ou pas cette gestion, donné un avis ...:bien:

Ensuite, plutôt que des personnes de la direction de Renault, renault a nommé chez Nissan des profiles 'financier" pour marquer le fait qu'il ne veut pas faire d'ingérence ... et surtout favoriser des rapprochements avec d'autres partenaires si cela peut sauver Nissan .... :voyons:

   

Merci pour ces précisions :bien:

Par

En réponse à Danton63

"Conseil d'administration" en gros quelques voyages au Japon et de la bonnes bouffes payés avant de dormir en suivant les discours des responsables sur la politique de l'entreprise.

   

Vu son extrême maigreur, Monsieur le Comte Senard n'a pas dû souvent se resservir...

Un homme élégant, calme, excellent représentant des entreprises dont il a assuré et assure encore la gestion.

Par

En réponse à roc et gravillon

Vu son extrême maigreur, Monsieur le Comte Senard n'a pas dû souvent se resservir...

Un homme élégant, calme, excellent représentant des entreprises dont il a assuré et assure encore la gestion.

   

Actuellement, je ne sais pas s'il gère encore beaucoup d'entreprise par contre il doit être présent dans d'autres conseils d'administrations ou de surveillances. Abordable, courtois avec tous (je ne parle pas de réunion syndicat patronat) mais autour d'une tasse de café lors de présentation ou il était invité, il côtoyait et parlait à tous sans rester avec les pontes

Par

Je ne comprends rien au scénar' de cette série Netflix! Même en regardant le 'previously', je suis perdu!

Par

En réponse à Danton63

Actuellement, je ne sais pas s'il gère encore beaucoup d'entreprise par contre il doit être présent dans d'autres conseils d'administrations ou de surveillances. Abordable, courtois avec tous (je ne parle pas de réunion syndicat patronat) mais autour d'une tasse de café lors de présentation ou il était invité, il côtoyait et parlait à tous sans rester avec les pontes

   

Président du groupe d'administration Rîno... rien que ça !

Par

En réponse à roc et gravillon

Président du groupe d'administration Rîno... rien que ça !

   

En dehors de de Meo peut à mettre les main dans le cambouis (pour rester correct). Senard est un bon facilitateur, conciliateur, cela à du faire du bien après le départ de Carlos et il connait les Japonais par son passage cher Michelin (avec un centre de recherche au Japon)

Le Conseil d’administration compte actuellement 16 membres, répartis comme suit :

- 12 administrateurs nommés par l'Assemblée Générale des actionnaires, dont 2 administrateurs nommés sur proposition de Nissan, 1 sur proposition des salariés actionnaires et 1 sur proposition de l'Etat français

- 1 administrateur désigné par arrêté en qualité de représentant de l'Etat français

- 3 administrateurs élus par les salariés

pas vraiment une vrai instance décisionnaire

d'ailleurs sa mission le montre

"Pour mener à bien ses objectifs et se situer au meilleur niveau en termes de gouvernance, Renault Group veille à l’application des principes éthiques et au respect de l’équilibre entre les instances de direction, les instances de contrôle et les actionnaires".

Par

Senard, j'ai jamais compris à quoi il servait à part dire que les relations avec Nissan se passent bien, que l'alliance vit bien, que Tout va bien dans le meilleur des mondes.

Ce type n'utilise que la langue de bois, il n'a jamais su taper du poing sur la table, les japonais faisaient ce qu'ils voulaient dans l'alliance, décider du sort de l'alliance et des conséquences sur le groupe Renault sans aucune consultation.

Ils préparent une fusion avec Honda sans avertir Renault, dans le dos de leur actionnaire majoritaire.

Renault essaie de négocier avec Foxconn sans pouvoir vraiment décider car Nissan s'est déjà mis d'accord avec Honda.

Et Senard ce type qui sert à rien était président du conseil d'administration de l'alliance et membre du conseil de Nissan et n'était jamais au courant de rien ni ne faisait le moindre esclandre ou préparer la moindre réaction.

Pire président que j'ai jamais vu d'un grand groupe. Michelin a eu raison de s'en séparer. Plus mou et inerte que Senard je ne connais pas

Par

En réponse à n1cool

Senard, j'ai jamais compris à quoi il servait à part dire que les relations avec Nissan se passent bien, que l'alliance vit bien, que Tout va bien dans le meilleur des mondes.

Ce type n'utilise que la langue de bois, il n'a jamais su taper du poing sur la table, les japonais faisaient ce qu'ils voulaient dans l'alliance, décider du sort de l'alliance et des conséquences sur le groupe Renault sans aucune consultation.

Ils préparent une fusion avec Honda sans avertir Renault, dans le dos de leur actionnaire majoritaire.

Renault essaie de négocier avec Foxconn sans pouvoir vraiment décider car Nissan s'est déjà mis d'accord avec Honda.

Et Senard ce type qui sert à rien était président du conseil d'administration de l'alliance et membre du conseil de Nissan et n'était jamais au courant de rien ni ne faisait le moindre esclandre ou préparer la moindre réaction.

Pire président que j'ai jamais vu d'un grand groupe. Michelin a eu raison de s'en séparer. Plus mou et inerte que Senard je ne connais pas

   

Senard a quitté Michelin volontairement, il était Gérant et Associé Commandité un statut juridique qui fait que l'on pouvait difficilement s'en séparer comme cela et il a lui même nommé son remplaçant Ménégaux avant de partir, si le statut ne change pas devra faire de même

Par

En réponse à n1cool

Senard, j'ai jamais compris à quoi il servait à part dire que les relations avec Nissan se passent bien, que l'alliance vit bien, que Tout va bien dans le meilleur des mondes.

Ce type n'utilise que la langue de bois, il n'a jamais su taper du poing sur la table, les japonais faisaient ce qu'ils voulaient dans l'alliance, décider du sort de l'alliance et des conséquences sur le groupe Renault sans aucune consultation.

Ils préparent une fusion avec Honda sans avertir Renault, dans le dos de leur actionnaire majoritaire.

Renault essaie de négocier avec Foxconn sans pouvoir vraiment décider car Nissan s'est déjà mis d'accord avec Honda.

Et Senard ce type qui sert à rien était président du conseil d'administration de l'alliance et membre du conseil de Nissan et n'était jamais au courant de rien ni ne faisait le moindre esclandre ou préparer la moindre réaction.

Pire président que j'ai jamais vu d'un grand groupe. Michelin a eu raison de s'en séparer. Plus mou et inerte que Senard je ne connais pas

   

Senard a été pris car extérieur à Renault, tout en restant Français, car Renault restait majoritaire dans l'Alliance, mais son job n'a jamais été de diriger le groupe comme Ghosn, mais bien de faire cohabiter les différentes parties, jouer les médiateurs après la guerre Renault/Nissan et les laisser chacune mener leur barque, même Mitsubishi a pris ses distances avec Nissan ...

Bref, sa mission est plus ou moins fini, et sans doute qu'en restant à l'extérieur du conseil d'administration de Nissan, il sera plus facile de faciliter l'arrivée d'un nouveau partenaire, là-dessus renault a tout intérêt à ce que Nissan se trouve de nouveaux investisseurs en leur laissant la voie libre, mais pour cela il faut que ce soit un choix interne à Nissan, pas une solution forcée, ce qui était le cas avec Honda et une pression Japonaise ... :voyons:

Par

Nicole n'a de toute façon jamais compris grand chose à grand chose....

Par

En réponse à n1cool

Senard, j'ai jamais compris à quoi il servait à part dire que les relations avec Nissan se passent bien, que l'alliance vit bien, que Tout va bien dans le meilleur des mondes.

Ce type n'utilise que la langue de bois, il n'a jamais su taper du poing sur la table, les japonais faisaient ce qu'ils voulaient dans l'alliance, décider du sort de l'alliance et des conséquences sur le groupe Renault sans aucune consultation.

Ils préparent une fusion avec Honda sans avertir Renault, dans le dos de leur actionnaire majoritaire.

Renault essaie de négocier avec Foxconn sans pouvoir vraiment décider car Nissan s'est déjà mis d'accord avec Honda.

Et Senard ce type qui sert à rien était président du conseil d'administration de l'alliance et membre du conseil de Nissan et n'était jamais au courant de rien ni ne faisait le moindre esclandre ou préparer la moindre réaction.

Pire président que j'ai jamais vu d'un grand groupe. Michelin a eu raison de s'en séparer. Plus mou et inerte que Senard je ne connais pas

   

Pour Carlos, sûr qu'il était écouté du moins il le pensait. A une pose café (en France), il y a quelques années un ingénieur responsable recherche d'un équipementier Français au Japon a présenté leurs nouveaux produits en présence de Carlos et de responsables Japonais de Nissan. Il est français mais il comprend bien le japonais, il nous racontait que lors de cette réunion les propos des japonais entre eux n'étaient pas en accord avec ce que disait Carlos!!! Et pas vraiment étonné de ce qui s'est passé.

Par

En réponse à roc et gravillon

Nicole n'a de toute façon jamais compris grand chose à grand chose....

   

Mais bien sur. Je comprends largement plus de choses que toi et les trolls réunis.

Vous avez beau partager un cerveau pour vous tous, ca ne vous pas plus intelligent qu'un insecte.

Toc qui ose me reprendre sur Sénard alors que je dis la vérité.

Le type n'a jamais servi à rien à part dresser la table de l'Alliance et nettoyer la table de Nissan.

Il a été payé pour diriger l'alliance, pour prendre des décisions, pour agir et pour défendre les interets de Renault. Il n'a jamais rien fait de cela. Nissan a pris le controle de l'Alliance et de sa propre société Nissan Motor et lui comme un incapable a laissé les choses se passer comme les japonais le désiraient. Zéro initiative. Zéro contre-offensive. Zéro stratégie. Renault a avalé toutes les couleuvres possible car ce type était un zombie à la tete de l'alliance alors qu'il en était pourtant le président.

Mais bon, toi Toc&Gravecon c'est normal que ca ne t'étonne pas ou te semble normal car tu es comme lui, un type qui comprends rien, qui laisse les choses se déroulaient et qui n'a pas la moindre esprit de révolte. Quand on a pas de jugeotte, on ne peut pas être révolté, tout te convient sauf ce qui est français evidemment. T'as passé ton temps à critiquer le puretech tous les jours sur tous les articles donc évidemment t'as pas le temps pour penser à autre chose ni faire quelquechose d'autre d'ailleurs

Par

En réponse à Danton63

Senard a quitté Michelin volontairement, il était Gérant et Associé Commandité un statut juridique qui fait que l'on pouvait difficilement s'en séparer comme cela et il a lui même nommé son remplaçant Ménégaux avant de partir, si le statut ne change pas devra faire de même

   

je suis d'accord qu'il est parti de sa propre initiative. J'ai dis que Michelin l'avait viré par méchanceté mais il me semblait bien que ce n'était pas du tout le cas.

Mais bon, ca fait les affaires de Michelin de ne plus l'avoir car quand tu vois son travail dans l'Alliance qui est équivalent à Zéro voire pire que zéro tellement il est inutile et a laissé la capitalisation boursière de Renault etre saccagée par son propre partenaire dont il est le président du conseil d'administration, c'est incroyable.

Nissan a fait ce qu'il voulait de Renault alors que Renault était l'actionnaire majoritaire et Sénard en est le principal responsable.

La valeur de Renault a chuté comme la valeur des actions Nissan Motors que détient Renault.

Ca fait 3 ou 4 ans qu'il est à la tete du conseil d'admnistration de l'Alliance et hormis dire 'Tout va bien, avec NIssan tout se passe bien, nous avons de nouveaux projets en cours' le gars n'a fait que rouler les investisseurs et les actionnaires de Renault dans la farine au profit des japonais.

Par

En réponse à totoecolo

Senard a été pris car extérieur à Renault, tout en restant Français, car Renault restait majoritaire dans l'Alliance, mais son job n'a jamais été de diriger le groupe comme Ghosn, mais bien de faire cohabiter les différentes parties, jouer les médiateurs après la guerre Renault/Nissan et les laisser chacune mener leur barque, même Mitsubishi a pris ses distances avec Nissan ...

Bref, sa mission est plus ou moins fini, et sans doute qu'en restant à l'extérieur du conseil d'administration de Nissan, il sera plus facile de faciliter l'arrivée d'un nouveau partenaire, là-dessus renault a tout intérêt à ce que Nissan se trouve de nouveaux investisseurs en leur laissant la voie libre, mais pour cela il faut que ce soit un choix interne à Nissan, pas une solution forcée, ce qui était le cas avec Honda et une pression Japonaise ... :voyons:

   

Il y a plein de choses possible mais dans aucun cas je n'aurais fais ce que Sénard a fait dans l'Alliance c'est à dire rien.

Sa mission est finie compte tenue de sa nullité mais il y a plein de choses permises qui sont encore possible mais dont Sénard n'a meme pas envisagé ni meem tenté car le moindre effort le fatigue.

Quand tu vois Mercedes qui avait pris le controle de Mitsubishi Corp. Ca n'a pas marché ils ont revendu leur parts mais ils ont gardé le controle à 100% de la division Truck (camions) de Mitsubishi.

Apres cela, Mitsubishi était redevenu indépendant mais sans sa filiale des poids lourds.

Renault a de nombreuses possibilités de sortie sans se faire amener par la main là où les japonais veulent que Renault aille.

Renault peut faire des propositions pour décider de prendre sous sa direction des filiales de Nissan par exemple Nissan US, Nissan China, Nissan marine, Nissan credit, Nissan properties etc...

Il y a quantité de filiales que détient Nissan et que Renault peut troquer contre ses actions.

Et si Nissan n'est pas d'accord, Renault peut taper du poing sur la table et compliqué toutes les discussions contractuelles avec de partenaires.

Mais bon avec le bon Sénard, il y a zéro possibilité pour Renault si ce n'est est à la merci des japonais. Il laisse faire. Il tente rien. Il réfléchit à rien. Il est pourtant le président de l'alliance et le mandataire de l'actionnaire majoritaire, Renault SA.

Par

En réponse à n1cool

je suis d'accord qu'il est parti de sa propre initiative. J'ai dis que Michelin l'avait viré par méchanceté mais il me semblait bien que ce n'était pas du tout le cas.

Mais bon, ca fait les affaires de Michelin de ne plus l'avoir car quand tu vois son travail dans l'Alliance qui est équivalent à Zéro voire pire que zéro tellement il est inutile et a laissé la capitalisation boursière de Renault etre saccagée par son propre partenaire dont il est le président du conseil d'administration, c'est incroyable.

Nissan a fait ce qu'il voulait de Renault alors que Renault était l'actionnaire majoritaire et Sénard en est le principal responsable.

La valeur de Renault a chuté comme la valeur des actions Nissan Motors que détient Renault.

Ca fait 3 ou 4 ans qu'il est à la tete du conseil d'admnistration de l'Alliance et hormis dire 'Tout va bien, avec NIssan tout se passe bien, nous avons de nouveaux projets en cours' le gars n'a fait que rouler les investisseurs et les actionnaires de Renault dans la farine au profit des japonais.

   

Je ne parlerais pas de l'alliance je n'ai pas d'info pertinente, mais par contre je peux dire que chez Michelin ils ne trouvaient pas qu'il était mauvais bien au contraire et je doute que du jour au lendemain il est devenu mauvais. Et pourtant n'étant pas du sérail sa nomination à la gérance de Michelin n'a pas été facile surtout comme Associé Commandité, il y a eu des tiraillements, départ de Didier Miraton qui lui restait gérant non-commandité.

Par

En réponse à Danton63

Je ne parlerais pas de l'alliance je n'ai pas d'info pertinente, mais par contre je peux dire que chez Michelin ils ne trouvaient pas qu'il était mauvais bien au contraire et je doute que du jour au lendemain il est devenu mauvais. Et pourtant n'étant pas du sérail sa nomination à la gérance de Michelin n'a pas été facile surtout comme Associé Commandité, il y a eu des tiraillements, départ de Didier Miraton qui lui restait gérant non-commandité.

   

là aussi je suis d'accord avec toi. Il a meme été très bon chez Michelin mais il est parti (ou ils l'ont fait partir) à temps car sincèrement chez Renault-Nissan, c'est pas du tout un dirigeant qui apporte quelquechose au groupe industriel auquel il appartient comme il le faisait avec Michelin.

Pour Renault, il ne fait qu'acte de présence, il touche ses cachets avec ses jetons de présence au conseil d'administration chez Renault et chez Nissan et rien de plus. Les japonais s'occupent de Nissan mais aussi de Renault en agissant comme s'ils étaient les actionnaire majoritaires des deux groupes.

Chez Michelin, il était un excellent CEO mais comme dans le monde du sport où il y a un déclin de performances qui poussent les sportifs à prendre leur retraite sportive, pour Sénard, il aurait du prendre sa retraite professionnelle apres son départ de Michelin car il n'a plus aucune aptitude comme dirigeant. Il avait un poste de dirigeant chez Renault-Nissan, chez Renault SA et chez Nissan Motors, il en a rien fait hormis touché sa confortable rémunération et dire que tout se passe bien dans l'alliance.

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Mettre des financiers pour gérer une entreprise industrielle,’avec des profils qui ne connaissent rien à l’automobile probablement je trouve cela dangereux et hasardeux, on a bien vu ce que cela donne si on met un financier pour gérer un pays !!! Fiasco assuré .... généralement les financiers soignent le bilan afin de pouvoir vendre plus facilement,pour Macron c’est raté

Par

En réponse à Plam22

Mettre des financiers pour gérer une entreprise industrielle,’avec des profils qui ne connaissent rien à l’automobile probablement je trouve cela dangereux et hasardeux, on a bien vu ce que cela donne si on met un financier pour gérer un pays !!! Fiasco assuré .... généralement les financiers soignent le bilan afin de pouvoir vendre plus facilement,pour Macron c’est raté

   

Il me semble que Macron, je reste prudent la dessus, n'a jamais été un financier, il était gérant d'une banque d'affaire. Il faisait l'entremetteur entre une chef d'entreprise qui voulait la vendre et un autre prêt à acheter, avec peut-être un crédit à l'appuis et un % dans la poche de la banque. entremetteur mais pas tradeur.

 

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