Commentaires - Maserati Quattroporte III (1979-1990) : un moteur de course dans un écrin de cuir, dès 19 000 €

Faut vraiment aimer les problèmes pour désirer ça

La Mercedes 450 sel 6.9 était beaucoup plus fiable son succès a travers le monde présidentielle et du show bizz l'ont confirmé comme Claude François qui adorait sa 450 sel, malheureusement cette Maserati n'a pas été un grand succès.

Face à une Mercedes Classe S de la même époque, elle n' est pas ridicule. Et elle est bien plus rare, plus encore de nos jours...

La fiabilité des 450 SEL 6.9, c'est une horreur. Pourquoi ? A cause de la suspension pneumatique...

Non cette Maserati est vraiment superbe à son époque un ovni ! Son prestige c'est son non succès mais revers de la médaille les pièces très chers normal peu de vente

Le système pneumatiques de Mercedes était le plus fiable pour l'époque, après ça n'empêche pas d'avoir des enmerdes en tout cas bien plus fiable que le système pneumatiques de chez Rolls qui était du Citroën ou ça pissait vert pour rien.

Superbe voiture, mais ma préférence ira à la De Tomaso Deauville plus fine avec un intérieur aussi sportif que luxueux et un V8 plus rustique mais nécessitant moins d'entretien ; la cote est totalement différente. Ne pas oublier que pour ce genre de voiture les entretiens réglages et autres réparations par des spécialistes des sportives anciennes demandent un solide budget sans rapport avec le prix d'achat.

C'était les Rolls Shafow a liquide rouge qui pissaient, donc rouge, et le liquide était corrosif. Sur les dernières Shadow et les Spirit, Rolls se met enfin au liquide vert en vigueur depuis longtemps chez Citroën, et tout redevient (à peu près) normal.

Le must, comme d'habitude chez les italiennes bien loin devant les antiques teutonnes

C'est pour ça que ça ne s'est pas vendu et que la plupart sont à la poubelle

Non, pas plus qu'avec la plupart des autos de cette époque. Il est évident que ce genre d'de voitures demande un entretien rigoureux et régulier. Autant qu'une Jaguar XJ. Aujourd'hui, on achète ces voitures pour se faire plaisir pas pour aller au boulot. Pour avoir eu l'occasion de voyager dedans étant enfant, j'ai le souvenir d'une voiture vaste et confortable. Le père de mon copain l'a remplacée par une Cadillac Séville, qui consommait moins, un comble. Cependant, la Séville avait un moteur qui fonctionnait sur 4 cylindres à bas régime. Les italiennes ne sont pas forcément des nids à ennuis.

Le seul problème que l'on voit ici c'est celui que t'as visiblement avec les italiennes.

"C'est pour ça que ça ne s'est pas vendu et que la plupart sont à la poubelle "

C'est vrai que l'on en voit beaucoup de teutonnes de l'époque de nos jours.

"malheureusement cette Maserati n'a pas été un grand succès."

En même temps, Maserati était à cette époque un constructeur artisanal, donc c'est un peu plus dur pour la marque de faire du volume. 2 141 exemplaires tout de même.

oh le défenseur des voitures italiennes! tellement amoureux que ca en devient ridicule.

achètes toi en une déjà pour commencer et fais ta propre expérience.

mon mécano qui est spécialiste Ferrari-Porsche-Lambo depuis plus de 40 ans appelle les Ferrari, des Fiat de sport, ca veut tout dire.

Le fait est que la Quattroporte n'est composée que d'éléments éprouvés, moteur, boîte, suspension, coque. Elle est donc bien plus robuste qu'on ne l'imagine ! Je pense surtout que certains l'amalgament avec la Biturbo qui, elle, a été d'une fiabilité épouvantable à ses débuts.

La Cadillac Séville que vous décrivez avait peut-être le bloc V8 à désactivation des cylindres, appelé aussi V8-6-4. Il était d' une cylindrée totale de 6 litres, et se réduisait à 4,5 ou 3 litres selon le régime et la vitesse. Au démarrage, pour lancer la voiture, les 8 cylindres étaient activés. Puis on tournait sur 6 et enfin sur 4 à vitesse stabilisée.

"oh le défenseur des voitures italiennes! tellement amoureux que ca en devient ridicule."

Venant d'un panzériste réputé troll de compétition et palme d'or de la mauvaise foi, qui se prétends fan d'Alfa Romeo mais qui passe son temps à cracher dessus (et sur tout ce qui est italien), c'est l'hôpital qui se moque de la charité.

"achètes toi en une déjà pour commencer et fais ta propre expérience."

Vu que tu bosses en Suisse, prêtes moi le pognon, je me ferai un plaisir d'en acheter une.

"mon mécano qui est spécialiste Ferrari-Porsche-Lambo depuis plus de 40 ans appelle les Ferrari, des Fiat de sport, ca veut tout dire."

Oui le mécano spécialiste depuis quarante ans (ça lui fait quel âge au faite? soixante ans? soixante dix? il est pas encore en retraite ton mécano?)... le voisin qui en avait acheté une en 1940 avant J-C... le chien de ma grand-mère. La phrase habituelle quoi. Je te renvoie à ta phrase précédente : achètes toi en une et fais toi ton expérience et après on discutera.

Bref, tes commentaires sont à ton image : complètement inutiles. Next.

M'ouais, l'article parle d'une voiture "abordable", à l'achat peut-être, mais l'entretien est juste hors de prix.

À réserver aux collectionneurs qui espèrent réaliser une plus-value, mais dans ce cas les perfs et le confort n'ont pas grand intérêt...

"M'ouais, l'article parle d'une voiture "abordable", à l'achat peut-être, mais l'entretien est juste hors de prix. "

En même temps, c'est une voiture de luxe donc c'est un peu logique.

il faut dire qu'a l'epoque la concurrence etait âpre et les grosses berlines avaient la cote sur le réseau autoroutier en pleine expension. Mais la quattro porte a toujours eu sa place, moins froide qu'une allemande (BM ou Mercedes), plus sexy q"une jag, plus fun q'une cadillac ... seule l'histoire chaotique de Maserati pendant les année 80 lui a fait beaucoup de tord, et il faut dire aussi que la mercedes Classe S 560 est vraiment tres tres reussi (la meilleur des "S" pour moi) , mais face a une Jag ou une des premiere serie 7 elle est dans le coup (en perf, confort, tenu de route, fiailité etc ... )

Je poussoir à ton commentaire.

Plussoie, pardon.

Justement, ça n'a juste rien d'abordable.

En face il y avait la série 7 avec un V12 non?

J'en suis pas sur

En effet, durant ses dernières années, la Maserati Quattroporte III a côtoyé la BMW E32 (1986-94) qui faisait la même longueur que l'italienne (4,91m) et, en version 750i, disposait d'un V12.

Concernant le style de cette Maserati, je la trouve jolie et ma foi désirable quoique légèrement massive. J'avoue préférer (légèrement) la finesse de la Jaguar XJ mais cette italienne a un exotisme que n'a pas la certes très belle Mercedes-Benz W126. Après, je n'en serai pas client. J'ai bien les sous pour l'acheter mais pas pour son entretien à long terme.