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Commentaires - Rappel : problème de corrosion sur les Ferrari 296

Grégory Martineau

Rappel : problème de corrosion sur les Ferrari 296

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Par

Pas très sérieux à ce niveau de prix ... :blague:

À >300.000€: on ne s'attend pas à de la corrosion et à encore moins à des risques d'incendies :buzz:

Par

Décidément le groupe Exor… :coolfuck:

Par

c'est que du Fiat , faut pas oublier.

C'est bien de conserver des choses du passé.

Ça crée une filiation légitime.

Et puis c'est beau la dentelle de rouille, certaines se vendent dans des musées très chères .

C'est même devenu une mode, la rouille patinée.

Par

En réponse à Baylelom

Pas très sérieux à ce niveau de prix ... :blague:

À >300.000€: on ne s'attend pas à de la corrosion et à encore moins à des risques d'incendies :buzz:

   

A 120 000 000 € on ne s'attend pas à ce qu'une pseudo porte s'arrache en plein vol.

Par

En réponse à Baylelom

Pas très sérieux à ce niveau de prix ... :blague:

À >300.000€: on ne s'attend pas à de la corrosion et à encore moins à des risques d'incendies :buzz:

   

Le sérieux c'est de faire un rappel lorsqu'un problème est identifié. Le pas sérieux c'est de continuer à vendre des 3 cylindres avec des casses prévisibles...

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Par

Un petit coucou de blackson et du papier journal puis c'est réglé

Par

En réponse à Benoit356

Le sérieux c'est de faire un rappel lorsqu'un problème est identifié. Le pas sérieux c'est de continuer à vendre des 3 cylindres avec des casses prévisibles...

   

Le sérieux, c'est surtout de protéger les éléments de carrosserie / châssis dès la conception au lieu de vouloir gratter 3 litres de peinture sur des bagnoles à 250K€ comme si tu vendais des tromblons à l'époque de l'URSS.

Par

Décevant pour un déplaçoir à ce prix !!!

En plus, je ne la trouve pas belle, surtout à l'arrière :voyons:

Par

En réponse à hotcar

c'est que du Fiat , faut pas oublier.

C'est bien de conserver des choses du passé.

Ça crée une filiation légitime.

Et puis c'est beau la dentelle de rouille, certaines se vendent dans des musées très chères .

C'est même devenu une mode, la rouille patinée.

   

Hallucinant de voir la connerie de certains com:bah:

FCA et Ferrari sont séparés depuis 2016. A cette date il y avait déjà un bail que les Fiat n'étaient pas plus sujettes a la rouille que n'importe quelle autre marque

Ca n'excuse pas l'erreur qui a créé ce problème. Mais comme pour la colle inflammable des revêtements anti bruit des passages de roues on peut penser que Fef corrigera vite et bien. C'est leur intérêt, aujourd'hui ils vendent de l'image avant tout

Par

Article intéressant sur Stellantis, même si cela n’a rien avoir directement avec Ferrari, puisque Ferrari ne fait pas partie de Stellantis, mais fait partie de la Holding Exor de la famille Agnelli.

Voilà ce que l’on peut trouver comme article sur Stellantis et Tavares dans la presse étrangère actuellement !

Source der Standard / Autriche, article du 3 février 2024, Dominik Straub.

Titre : l’industrie automobile italienne en déclin.

https://www.derstandard.at/story/3000000205878/italiens-automobilindustrie-auf-talfahrt

Voici la traduction :

La chef du gouvernement Giorgia Meloni se dispute avec la société Stellantis, la mère de Fiat. La raison en est la rupture des promesses qu'il n'y aura pas de suppression d'emplois dans les usines Fiat.

La Fiat 500 et la Panda représentent Fiat. En Italie, on s'inquiète beaucoup que les usines en Italie soient affamées par la société mère Stellantis et que des emplois soient perdus.

Alfa Romeo, Lancia, Maserati : tous des noms sonores. Et bien sûr Fiat, l'abréviation de Fabbrica Italiana Automobili Torino. Mais les marques italiennes traditionnelles, qui ont toutes atterri au fil des ans au sein d'un seul groupe, le groupe Fiat, sont en crise depuis longtemps ; Alfa Romeo et Lancia ne sont plus qu'une ombre d'elles-mêmes, non seulement en termes de chiffres de vente.

Dans les années soixante-dix, une voiture sur deux vendue en Italie provenait encore des usines Fiat. Au début du 21e siècle, encore une sur quatre, et aujourd'hui même plus un sur dix.

Sommet de la honte : l'année dernière, le groupe VW a vendu plus de voitures en Italie que toutes les marques italiennes réunies. Au moins, la Fiat Panda est restée – de loin – la voiture la plus vendue en Italie.

Le déclin rampant de l'industrie automobile italienne n'a pas seulement commencé avec la fusion de Fiat-Chrysler (FCA) avec le groupe français PSA pour former Stellantis, mais il s'est nettement accentué depuis lors. Cela se voit également dans le nombre d’employés engagés dans les six sites de production italiens au total : le groupe Stellantis avait encore 51 000 employés en Italie lors de l'année de la fusion en Italie, il y en a plus que 43 000 aujourd'hui – et la plupart d'entre eux font du chômage partiel.

La situation est particulièrement dramatique dans l'usine Fiat de Mirafiori à Turin, un mythe industriel italien. Là où, dans les meilleurs moments, deux millions de voitures sortaient des lignes de production chaque année, ils en sortaient seulement 96 000 en 2023. Plusieurs modèles Fiat, tels que la Fiat 600 électrique récemment présentée, sont désormais construits en Europe de l'Est.

Le gouvernement de droite en Italie avec sa patronne Giorgia Meloni envisage une participation de l'État dans le groupe automobile Stellantis, sous le toit duquel se trouve également Fiat depuis un certain temps.

La chef du gouvernement Giorgia Meloni ne veut plus regarder le retrait silencieux de Stellantis d'Italie sans rien faire. Elle est depuis longtemps dans un violent différend avec Carlos Tavares, PDG du groupe Stellantis, qui avait encore assuré lors de la fusion qu'il n'y aurait pas de suppression d'emplois en Italie. "Si vous voulez vendre une voiture sur le marché mondial comme un bijou italien, alors cette voiture doit avoir été fabriquée en Italie", a souligné Meloni en ce qui concerne la Fiat 600.

Mais dans la ligne de mire de la chef du gouvernement se trouve également John Elkann, petit-fils de l'ancien patron Fiat Gianni Agnelli. La holding familiale d'Elkann, Exor, est le plus grand actionnaire individuel de Stellantis avec 14,3 pour cent. Meloni accuse Elkann d'avoir consenti à une "fausse fusion" qui n'était rien d'autre qu'une reprise de FCA par la PSA française. En fait, le siège du groupe Stellantis est situé à Paris.

La querelle s'est intensifiée.

Lors d'une réunion de Tavares avec le ministre italien de l'Industrie Adolfo Urso, les dirigeants syndicaux et les représentants des régions ayant des sites de production, le différend aurait dû être réglé ces jours-ci – au lieu de cela, il n'a fait que s'intensifier davantage. Après la réunion, Tavares a accusé le gouvernement Meloni de fournir trop peu de primes d'achat d'État pour les voitures électriques et de mettre ainsi en danger la production sur les sites de Mirafiori et Pomigliano (l'ancienne usine Alfasud près de Naples). "L'Italie devrait mieux protéger ses emplois au lieu d'attaquer Stellantis", a grondé le chef du groupe.

L'accusation selon laquelle l'Italie soutient trop peu la vente de voitures électriques semble un peu avancée : le gouvernement italien a annoncé très tôt de nouvelles primes de démolition et d'achat et les a entre-temps décidées. Ils sont échelonnés en fonction du revenu et peuvent atteindre 13 500 euros. Et parce qu'il n'est pas possible de prévoir une fin prochaine du différend, le ministre de l'Industrie Urso a déclaré après l'échec de la réunion que le gouvernement pourrait maintenant rejoindre Stellantis avec une participation publique de plusieurs milliards de dollars afin de mieux influencer les décisions du groupe. Le modèle ici est l'État français, qui détient également des parts bien connues dans Stellantis. L'idée d'une participation de l'État a été immédiatement saluée tant par les syndicats italiens que par la cheffe de l'opposition Elly Schlein.

(..)

Et après Tavares veut acheter d’autres constructeurs automobiles comme Ford, Renault ou GM…

C’est une belle diversion pour ne pas faire connaître les problèmes actuels de son groupe non?

Par

Intéressant :bien:

Je complète avec un ressenti qui n'a rien de statistique mais qu'on peut ressentir dans n'importe quel café, l'image de Tavares est déplorable en Italie il est vu comme un mendiant de subventions

Par

En réponse à Benoit356

Le sérieux c'est de faire un rappel lorsqu'un problème est identifié. Le pas sérieux c'est de continuer à vendre des 3 cylindres avec des casses prévisibles...

   

le scud... :coolfuck:

:orni:

Par

Encore 1 mois en voiture de prêt...

Par

En réponse à hotcar

c'est que du Fiat , faut pas oublier.

C'est bien de conserver des choses du passé.

Ça crée une filiation légitime.

Et puis c'est beau la dentelle de rouille, certaines se vendent dans des musées très chères .

C'est même devenu une mode, la rouille patinée.

   

"c'est que du Fiat , faut pas oublier."

Surtout que ça fait longtemps que Fiat et Ferrari sont séparés.

Par

En réponse à F18Hornet

Article intéressant sur Stellantis, même si cela n’a rien avoir directement avec Ferrari, puisque Ferrari ne fait pas partie de Stellantis, mais fait partie de la Holding Exor de la famille Agnelli.

Voilà ce que l’on peut trouver comme article sur Stellantis et Tavares dans la presse étrangère actuellement !

Source der Standard / Autriche, article du 3 février 2024, Dominik Straub.

Titre : l’industrie automobile italienne en déclin.

https://www.derstandard.at/story/3000000205878/italiens-automobilindustrie-auf-talfahrt

Voici la traduction :

La chef du gouvernement Giorgia Meloni se dispute avec la société Stellantis, la mère de Fiat. La raison en est la rupture des promesses qu'il n'y aura pas de suppression d'emplois dans les usines Fiat.

La Fiat 500 et la Panda représentent Fiat. En Italie, on s'inquiète beaucoup que les usines en Italie soient affamées par la société mère Stellantis et que des emplois soient perdus.

Alfa Romeo, Lancia, Maserati : tous des noms sonores. Et bien sûr Fiat, l'abréviation de Fabbrica Italiana Automobili Torino. Mais les marques italiennes traditionnelles, qui ont toutes atterri au fil des ans au sein d'un seul groupe, le groupe Fiat, sont en crise depuis longtemps ; Alfa Romeo et Lancia ne sont plus qu'une ombre d'elles-mêmes, non seulement en termes de chiffres de vente.

Dans les années soixante-dix, une voiture sur deux vendue en Italie provenait encore des usines Fiat. Au début du 21e siècle, encore une sur quatre, et aujourd'hui même plus un sur dix.

Sommet de la honte : l'année dernière, le groupe VW a vendu plus de voitures en Italie que toutes les marques italiennes réunies. Au moins, la Fiat Panda est restée – de loin – la voiture la plus vendue en Italie.

Le déclin rampant de l'industrie automobile italienne n'a pas seulement commencé avec la fusion de Fiat-Chrysler (FCA) avec le groupe français PSA pour former Stellantis, mais il s'est nettement accentué depuis lors. Cela se voit également dans le nombre d’employés engagés dans les six sites de production italiens au total : le groupe Stellantis avait encore 51 000 employés en Italie lors de l'année de la fusion en Italie, il y en a plus que 43 000 aujourd'hui – et la plupart d'entre eux font du chômage partiel.

La situation est particulièrement dramatique dans l'usine Fiat de Mirafiori à Turin, un mythe industriel italien. Là où, dans les meilleurs moments, deux millions de voitures sortaient des lignes de production chaque année, ils en sortaient seulement 96 000 en 2023. Plusieurs modèles Fiat, tels que la Fiat 600 électrique récemment présentée, sont désormais construits en Europe de l'Est.

Le gouvernement de droite en Italie avec sa patronne Giorgia Meloni envisage une participation de l'État dans le groupe automobile Stellantis, sous le toit duquel se trouve également Fiat depuis un certain temps.

La chef du gouvernement Giorgia Meloni ne veut plus regarder le retrait silencieux de Stellantis d'Italie sans rien faire. Elle est depuis longtemps dans un violent différend avec Carlos Tavares, PDG du groupe Stellantis, qui avait encore assuré lors de la fusion qu'il n'y aurait pas de suppression d'emplois en Italie. "Si vous voulez vendre une voiture sur le marché mondial comme un bijou italien, alors cette voiture doit avoir été fabriquée en Italie", a souligné Meloni en ce qui concerne la Fiat 600.

Mais dans la ligne de mire de la chef du gouvernement se trouve également John Elkann, petit-fils de l'ancien patron Fiat Gianni Agnelli. La holding familiale d'Elkann, Exor, est le plus grand actionnaire individuel de Stellantis avec 14,3 pour cent. Meloni accuse Elkann d'avoir consenti à une "fausse fusion" qui n'était rien d'autre qu'une reprise de FCA par la PSA française. En fait, le siège du groupe Stellantis est situé à Paris.

La querelle s'est intensifiée.

Lors d'une réunion de Tavares avec le ministre italien de l'Industrie Adolfo Urso, les dirigeants syndicaux et les représentants des régions ayant des sites de production, le différend aurait dû être réglé ces jours-ci – au lieu de cela, il n'a fait que s'intensifier davantage. Après la réunion, Tavares a accusé le gouvernement Meloni de fournir trop peu de primes d'achat d'État pour les voitures électriques et de mettre ainsi en danger la production sur les sites de Mirafiori et Pomigliano (l'ancienne usine Alfasud près de Naples). "L'Italie devrait mieux protéger ses emplois au lieu d'attaquer Stellantis", a grondé le chef du groupe.

L'accusation selon laquelle l'Italie soutient trop peu la vente de voitures électriques semble un peu avancée : le gouvernement italien a annoncé très tôt de nouvelles primes de démolition et d'achat et les a entre-temps décidées. Ils sont échelonnés en fonction du revenu et peuvent atteindre 13 500 euros. Et parce qu'il n'est pas possible de prévoir une fin prochaine du différend, le ministre de l'Industrie Urso a déclaré après l'échec de la réunion que le gouvernement pourrait maintenant rejoindre Stellantis avec une participation publique de plusieurs milliards de dollars afin de mieux influencer les décisions du groupe. Le modèle ici est l'État français, qui détient également des parts bien connues dans Stellantis. L'idée d'une participation de l'État a été immédiatement saluée tant par les syndicats italiens que par la cheffe de l'opposition Elly Schlein.

(..)

Et après Tavares veut acheter d’autres constructeurs automobiles comme Ford, Renault ou GM…

C’est une belle diversion pour ne pas faire connaître les problèmes actuels de son groupe non?

   

Tu as déjà cité cet article mot pour mot sur un autre sujet.

Par

En réponse à Critias

"c'est que du Fiat , faut pas oublier."

Surtout que ça fait longtemps que Fiat et Ferrari sont séparés.

   

2016 :good:

Par

En réponse à Franck-L

2016 :good:

   

J'ai lu un peu tardivement ton commentaire. Merci pour ces précisions.

J'ajouterai que Ferrari fait désormais partie de Ferrari N.V., holding de droit néerlandais dont l'actionnaire principal est... Exor.

Par

En réponse à Gofdolfo

Décevant pour un déplaçoir à ce prix !!!

En plus, je ne la trouve pas belle, surtout à l'arrière :voyons:

   

https://www.caradisiac.com/rappel-des-ecrans-mal-fixes-chez-bentley-205962.htm

https://www.auto123.com/fr/actualites/porsche-bentley-panamera-continental-rappel/70036/

https://www.caradisiac.com/rappel-probleme-de-pompe-a-eau-chez-bentley-205775.htm

https://www.capital.fr/auto/defauts-dairbags-rappel-massif-de-porsche-911-1484262

https://www.caradisiac.com/un-rappel-obscur-pour-les-porsche-911-et-taycan-206877.htm

Oui, décevant pour un deplaçoir à ce prix... y compris chez VW.

Par

En réponse à Critias

https://www.caradisiac.com/rappel-des-ecrans-mal-fixes-chez-bentley-205962.htm

https://www.auto123.com/fr/actualites/porsche-bentley-panamera-continental-rappel/70036/

https://www.caradisiac.com/rappel-probleme-de-pompe-a-eau-chez-bentley-205775.htm

https://www.capital.fr/auto/defauts-dairbags-rappel-massif-de-porsche-911-1484262

https://www.caradisiac.com/un-rappel-obscur-pour-les-porsche-911-et-taycan-206877.htm

Oui, décevant pour un deplaçoir à ce prix... y compris chez VW.

   

:lol::lol::lol:

Par

296 et SF 90 ont de gros problèmes de batteries, avec des prises en charge compliquées pour les clients.

Problème de boîte aussi pour certaines 296.

C’est beau toutes ces technologies pour gratter quelques grammes de co2, mais bonjour les emmerdes dans l’avenir.

Par

En réponse à Gofdolfo

Décevant pour un déplaçoir à ce prix !!!

En plus, je ne la trouve pas belle, surtout à l'arrière :voyons:

   

Y'a que sur les flancs où ça reste sexy lol !

La tronche et le popotin pour moi aussi, c'est assez déconcertant.

Elle ne restera pas dans les annales... À mon avis bien sûr (Oups ça devient porno)

C'est peut être la contre partie de vouloir faire plus de volume, le risque de corrosion prouve que un contrôle qualité négligé...

Par

En réponse à

:lol::lol::lol:

   

Gofdolfo, ou l'art de tendre le bâton pour se faire battre.:wink:

Par

En réponse à Baylelom

Pas très sérieux à ce niveau de prix ... :blague:

À >300.000€: on ne s'attend pas à de la corrosion et à encore moins à des risques d'incendies :buzz:

   

Bah, vu le niveau du SAV, c'est pris en charge par le constructeur, qui va y remédier illico presto.

Car pour Ferrari, le client est roi, c'est ce qui permet au constructeur de vendre à prix d'or ses voitures et de se permettre en plus d'en limiter la production.:bah:

Par

En réponse à F18Hornet

Article intéressant sur Stellantis, même si cela n’a rien avoir directement avec Ferrari, puisque Ferrari ne fait pas partie de Stellantis, mais fait partie de la Holding Exor de la famille Agnelli.

Voilà ce que l’on peut trouver comme article sur Stellantis et Tavares dans la presse étrangère actuellement !

Source der Standard / Autriche, article du 3 février 2024, Dominik Straub.

Titre : l’industrie automobile italienne en déclin.

https://www.derstandard.at/story/3000000205878/italiens-automobilindustrie-auf-talfahrt

Voici la traduction :

La chef du gouvernement Giorgia Meloni se dispute avec la société Stellantis, la mère de Fiat. La raison en est la rupture des promesses qu'il n'y aura pas de suppression d'emplois dans les usines Fiat.

La Fiat 500 et la Panda représentent Fiat. En Italie, on s'inquiète beaucoup que les usines en Italie soient affamées par la société mère Stellantis et que des emplois soient perdus.

Alfa Romeo, Lancia, Maserati : tous des noms sonores. Et bien sûr Fiat, l'abréviation de Fabbrica Italiana Automobili Torino. Mais les marques italiennes traditionnelles, qui ont toutes atterri au fil des ans au sein d'un seul groupe, le groupe Fiat, sont en crise depuis longtemps ; Alfa Romeo et Lancia ne sont plus qu'une ombre d'elles-mêmes, non seulement en termes de chiffres de vente.

Dans les années soixante-dix, une voiture sur deux vendue en Italie provenait encore des usines Fiat. Au début du 21e siècle, encore une sur quatre, et aujourd'hui même plus un sur dix.

Sommet de la honte : l'année dernière, le groupe VW a vendu plus de voitures en Italie que toutes les marques italiennes réunies. Au moins, la Fiat Panda est restée – de loin – la voiture la plus vendue en Italie.

Le déclin rampant de l'industrie automobile italienne n'a pas seulement commencé avec la fusion de Fiat-Chrysler (FCA) avec le groupe français PSA pour former Stellantis, mais il s'est nettement accentué depuis lors. Cela se voit également dans le nombre d’employés engagés dans les six sites de production italiens au total : le groupe Stellantis avait encore 51 000 employés en Italie lors de l'année de la fusion en Italie, il y en a plus que 43 000 aujourd'hui – et la plupart d'entre eux font du chômage partiel.

La situation est particulièrement dramatique dans l'usine Fiat de Mirafiori à Turin, un mythe industriel italien. Là où, dans les meilleurs moments, deux millions de voitures sortaient des lignes de production chaque année, ils en sortaient seulement 96 000 en 2023. Plusieurs modèles Fiat, tels que la Fiat 600 électrique récemment présentée, sont désormais construits en Europe de l'Est.

Le gouvernement de droite en Italie avec sa patronne Giorgia Meloni envisage une participation de l'État dans le groupe automobile Stellantis, sous le toit duquel se trouve également Fiat depuis un certain temps.

La chef du gouvernement Giorgia Meloni ne veut plus regarder le retrait silencieux de Stellantis d'Italie sans rien faire. Elle est depuis longtemps dans un violent différend avec Carlos Tavares, PDG du groupe Stellantis, qui avait encore assuré lors de la fusion qu'il n'y aurait pas de suppression d'emplois en Italie. "Si vous voulez vendre une voiture sur le marché mondial comme un bijou italien, alors cette voiture doit avoir été fabriquée en Italie", a souligné Meloni en ce qui concerne la Fiat 600.

Mais dans la ligne de mire de la chef du gouvernement se trouve également John Elkann, petit-fils de l'ancien patron Fiat Gianni Agnelli. La holding familiale d'Elkann, Exor, est le plus grand actionnaire individuel de Stellantis avec 14,3 pour cent. Meloni accuse Elkann d'avoir consenti à une "fausse fusion" qui n'était rien d'autre qu'une reprise de FCA par la PSA française. En fait, le siège du groupe Stellantis est situé à Paris.

La querelle s'est intensifiée.

Lors d'une réunion de Tavares avec le ministre italien de l'Industrie Adolfo Urso, les dirigeants syndicaux et les représentants des régions ayant des sites de production, le différend aurait dû être réglé ces jours-ci – au lieu de cela, il n'a fait que s'intensifier davantage. Après la réunion, Tavares a accusé le gouvernement Meloni de fournir trop peu de primes d'achat d'État pour les voitures électriques et de mettre ainsi en danger la production sur les sites de Mirafiori et Pomigliano (l'ancienne usine Alfasud près de Naples). "L'Italie devrait mieux protéger ses emplois au lieu d'attaquer Stellantis", a grondé le chef du groupe.

L'accusation selon laquelle l'Italie soutient trop peu la vente de voitures électriques semble un peu avancée : le gouvernement italien a annoncé très tôt de nouvelles primes de démolition et d'achat et les a entre-temps décidées. Ils sont échelonnés en fonction du revenu et peuvent atteindre 13 500 euros. Et parce qu'il n'est pas possible de prévoir une fin prochaine du différend, le ministre de l'Industrie Urso a déclaré après l'échec de la réunion que le gouvernement pourrait maintenant rejoindre Stellantis avec une participation publique de plusieurs milliards de dollars afin de mieux influencer les décisions du groupe. Le modèle ici est l'État français, qui détient également des parts bien connues dans Stellantis. L'idée d'une participation de l'État a été immédiatement saluée tant par les syndicats italiens que par la cheffe de l'opposition Elly Schlein.

(..)

Et après Tavares veut acheter d’autres constructeurs automobiles comme Ford, Renault ou GM…

C’est une belle diversion pour ne pas faire connaître les problèmes actuels de son groupe non?

   

Mais quels sont les problèmes du Groupe Stellantis ?

Les problèmes des constructeurs italiens sont liés à de mauvais choix de l'ancien patron, comme on le sait tous.

Qu'aura donc fait Sergio Marchionne pour relancer en son temps les marques italiennes ?

Une fiat 500 électrique et uniquement électrique sur une plateforme dédiée, non utilisée pour d'autres modèles ?

Complètement suicidaire, au vu de ce que les autres groupes ont fait. :bah:

Qu'a-t-il donc fait pour Lancia ? Ben rien. :bah:

Quid d'Alfa Roméo ? Ben pas grand chose. :bah:

Maserati ? Idem. :bah:

Quoi d'autre chez Fiat, à part la 500 électrique, ben 3 fois rien et des trucs qui ne se vendent pas. :bah:

Alors, avec la baisse des ventes, il me semble logique qu'on soit en droit d'attendre une baisse des effectifs, ça me semble normal, pour éviter que les constructeurs italiens ne soient finalement déficitaires et voués à disparaître. :bah:

Alors, certes, il y a de nouveaux modèles, peu à peu, mais on le voit: les prix sont haut perchés, décision du Groupe. A partir de là, les ventes seront très mesurées, et donc, là encore, nul besoin d'avoir des effectifs nombreux.

Pour le reste, je ne savais pas que l'Etat français avait de sparts chez Stellantis, il me semblait pourtant que l'Etat français s'était complètement désengagé.

Quant au siège social de Stellantis, il n'est pas en France, comme chacun le sait. Mais la miss Meloni est comme MLP ou Trump, c'est une populiste, donc peu importe la vérité. Et en plus, sa politique finalement pro-européenne, pro-immigration, commence à sérieusement agacer ceux qui l'ont élu. Dès lors, ça l'encourage à faire du populisme.

Mais tout ça, c'est de la flûte. :bah:

Je rajoute au passage que ce sont les constructeurs américains du Groupe qui font 60% des bénéfices, ce qu'elle a probablement oublié ou fait mine de ne pas savoir, et c'était déjà comme ça, avant la fusion entre FCA et PSA.

Par

En réponse à Franck-L

Intéressant :bien:

Je complète avec un ressenti qui n'a rien de statistique mais qu'on peut ressentir dans n'importe quel café, l'image de Tavares est déplorable en Italie il est vu comme un mendiant de subventions

   

Et quand Tavares sera remplacé, son remplaçant sera lui-même fustigé, car obligé de suivre les désidératas du véritable chef d'orchestre, alias John Elkann.

En fait, Tavares est à John Elkann ce qu'Attal est à Macron.

Par

En réponse à Critias

https://www.caradisiac.com/rappel-des-ecrans-mal-fixes-chez-bentley-205962.htm

https://www.auto123.com/fr/actualites/porsche-bentley-panamera-continental-rappel/70036/

https://www.caradisiac.com/rappel-probleme-de-pompe-a-eau-chez-bentley-205775.htm

https://www.capital.fr/auto/defauts-dairbags-rappel-massif-de-porsche-911-1484262

https://www.caradisiac.com/un-rappel-obscur-pour-les-porsche-911-et-taycan-206877.htm

Oui, décevant pour un deplaçoir à ce prix... y compris chez VW.

   

Ce qui importe, au final, pour ces marques de luxe, c'est la qualité du SAV.

Et pour chacun d'entre elles, de manière générale, il est très bon.

Ce qui est normal, au vu des marges faites sur chaque modèle vendu, de quoi satisfaire pleinement les clients côté SAV.

Il en va de toute façon de la survie de ces marques. Et puis les clients ne sont pas à 10 € près, comme ceux qui achètent des Dacia ou MG.

Par

En réponse à fedoismyname

Mais quels sont les problèmes du Groupe Stellantis ?

Les problèmes des constructeurs italiens sont liés à de mauvais choix de l'ancien patron, comme on le sait tous.

Qu'aura donc fait Sergio Marchionne pour relancer en son temps les marques italiennes ?

Une fiat 500 électrique et uniquement électrique sur une plateforme dédiée, non utilisée pour d'autres modèles ?

Complètement suicidaire, au vu de ce que les autres groupes ont fait. :bah:

Qu'a-t-il donc fait pour Lancia ? Ben rien. :bah:

Quid d'Alfa Roméo ? Ben pas grand chose. :bah:

Maserati ? Idem. :bah:

Quoi d'autre chez Fiat, à part la 500 électrique, ben 3 fois rien et des trucs qui ne se vendent pas. :bah:

Alors, avec la baisse des ventes, il me semble logique qu'on soit en droit d'attendre une baisse des effectifs, ça me semble normal, pour éviter que les constructeurs italiens ne soient finalement déficitaires et voués à disparaître. :bah:

Alors, certes, il y a de nouveaux modèles, peu à peu, mais on le voit: les prix sont haut perchés, décision du Groupe. A partir de là, les ventes seront très mesurées, et donc, là encore, nul besoin d'avoir des effectifs nombreux.

Pour le reste, je ne savais pas que l'Etat français avait de sparts chez Stellantis, il me semblait pourtant que l'Etat français s'était complètement désengagé.

Quant au siège social de Stellantis, il n'est pas en France, comme chacun le sait. Mais la miss Meloni est comme MLP ou Trump, c'est une populiste, donc peu importe la vérité. Et en plus, sa politique finalement pro-européenne, pro-immigration, commence à sérieusement agacer ceux qui l'ont élu. Dès lors, ça l'encourage à faire du populisme.

Mais tout ça, c'est de la flûte. :bah:

Je rajoute au passage que ce sont les constructeurs américains du Groupe qui font 60% des bénéfices, ce qu'elle a probablement oublié ou fait mine de ne pas savoir, et c'était déjà comme ça, avant la fusion entre FCA et PSA.

   

Il existe également un siège social de Stellantis en France, à Poissy !

https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/entreprise/stellantis-you-france-sas-302475041

Par

En réponse à F18Hornet

Il existe également un siège social de Stellantis en France, à Poissy !

https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/entreprise/stellantis-you-france-sas-302475041

   

je cite:

(..)

En 2021, elle était catégorisée Grande Entreprise. Elle possédait 2 000 à 4 999 salariés.

(..)

site wikipedia => https://fr.wikipedia.org/wiki/Stellantis

je cite:

(..)

Effectif en diminution : 281 595 (31 décembre 2021)

(..)

Bref, ça n'a pas grand chose à voir. :bah:

je cite également:

(..)

Siège social Taurusavenue 1,

2132 LS Hoofddorp,

Hollande-Septentrionale1,

Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas

Direction Carlos Tavares (depuis le 16 janvier 2021)

Président John Elkann (depuis le 21 janvier 2021)

(..)

:bah:

Par

en fait, si j'ai bien compris, ce sont les effectifs des concessionnaires français.

Par

En réponse à F18Hornet

Il existe également un siège social de Stellantis en France, à Poissy !

https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/entreprise/stellantis-you-france-sas-302475041

   

Ne confonds pas siège social et siège opérationnel. Dans le cas de Stellantis il s'agit de Rueil-Malmaison - et non Poissy -, Turin et Auburn's Hill. Et comme l'a dit l'ami Fedo, le siè dege social de Stellantis est à Hoofddorp... aux Pays-Bas.

Par

En réponse à fedoismyname

Et quand Tavares sera remplacé, son remplaçant sera lui-même fustigé, car obligé de suivre les désidératas du véritable chef d'orchestre, alias John Elkann.

En fait, Tavares est à John Elkann ce qu'Attal est à Macron.

   

Tu as tout résumé.:bien:

Par

En réponse à fedoismyname

Mais quels sont les problèmes du Groupe Stellantis ?

Les problèmes des constructeurs italiens sont liés à de mauvais choix de l'ancien patron, comme on le sait tous.

Qu'aura donc fait Sergio Marchionne pour relancer en son temps les marques italiennes ?

Une fiat 500 électrique et uniquement électrique sur une plateforme dédiée, non utilisée pour d'autres modèles ?

Complètement suicidaire, au vu de ce que les autres groupes ont fait. :bah:

Qu'a-t-il donc fait pour Lancia ? Ben rien. :bah:

Quid d'Alfa Roméo ? Ben pas grand chose. :bah:

Maserati ? Idem. :bah:

Quoi d'autre chez Fiat, à part la 500 électrique, ben 3 fois rien et des trucs qui ne se vendent pas. :bah:

Alors, avec la baisse des ventes, il me semble logique qu'on soit en droit d'attendre une baisse des effectifs, ça me semble normal, pour éviter que les constructeurs italiens ne soient finalement déficitaires et voués à disparaître. :bah:

Alors, certes, il y a de nouveaux modèles, peu à peu, mais on le voit: les prix sont haut perchés, décision du Groupe. A partir de là, les ventes seront très mesurées, et donc, là encore, nul besoin d'avoir des effectifs nombreux.

Pour le reste, je ne savais pas que l'Etat français avait de sparts chez Stellantis, il me semblait pourtant que l'Etat français s'était complètement désengagé.

Quant au siège social de Stellantis, il n'est pas en France, comme chacun le sait. Mais la miss Meloni est comme MLP ou Trump, c'est une populiste, donc peu importe la vérité. Et en plus, sa politique finalement pro-européenne, pro-immigration, commence à sérieusement agacer ceux qui l'ont élu. Dès lors, ça l'encourage à faire du populisme.

Mais tout ça, c'est de la flûte. :bah:

Je rajoute au passage que ce sont les constructeurs américains du Groupe qui font 60% des bénéfices, ce qu'elle a probablement oublié ou fait mine de ne pas savoir, et c'était déjà comme ça, avant la fusion entre FCA et PSA.

   

"Une fiat 500 électrique et uniquement électrique sur une plateforme dédiée, non utilisée pour d'autres modèles ?"

La e500 est sortie peu avant la fusion et n'a donc pas pu donner sa plateforme à d'autres modèles du groupe. Il faut aussi noter que la future Panda, qui devait utiliser cette plateforme si je me souviens bien, a été complètement revue pour utiliser la plateforme e-cmp.

Sinon, le reste est tout bon.

Par

En réponse à Critias

"Une fiat 500 électrique et uniquement électrique sur une plateforme dédiée, non utilisée pour d'autres modèles ?"

La e500 est sortie peu avant la fusion et n'a donc pas pu donner sa plateforme à d'autres modèles du groupe. Il faut aussi noter que la future Panda, qui devait utiliser cette plateforme si je me souviens bien, a été complètement revue pour utiliser la plateforme e-cmp.

Sinon, le reste est tout bon.

   

(..)

La e500 est sortie peu avant la fusion et n'a donc pas pu donner sa plateforme à d'autres modèles du groupe.

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Ben vu qu'elle est sortie, je trouve simplement dommage qu'ils n'aient pas fait l'effort de proposer d'autres modèles basées sur cette plateforme, histoire de la rentabiliser et de permettre l'assemblage d'autres modèles de voitures sur la chaine dédiée aujourd'hui à la seule e500 (+ version Abarth).

En plus, si ça n'était des tarifs trop haut perchés (qui flinguent actuellement les ventes), la petite 500 reste une voiture hautement désirable pour énormément de gens. Donc, honnêtement, je vois mal comment ils pourraient se permettre de la faire disparaître ou même d'en faire une future version de 4m de long, pour pouvoir utiliser la plateforme des autres citadines du Groupe.

Même si à priori il est toujours possible d'en faire une version raccourcie.

mais en l'état, cette chaîne d'assemblage dédiée à l'e500 est une véritable épine dans le pied du groupe, du constructeur et des ouvriers qui travaillent dessus, obligés de se mettre au chômage technique, quand les ventes ne suivent plus, avec un gros risque de diminution des effectifs, liés à cela. :bah:

 

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