Le Grand C4 Picasso a fait ses premiers tours de roues en octobre 2006, quelques mois avant sa version raccourcie 5 places le... C4 Picasso (mars 2007). Il inaugure chez Citroën le concept des deux variantes de carrosserie différentes selon le nombre de place, afin de mieux imiter Renault et ses Scenic et Grand Scenic.Il est d'ailleurs le seul à avoir pu faire concurrence au monospace compact frappé du losange, en le devançant largement en terme de ventes, tant que le Grand Scénic 3 n'était pas encore arrivé...Le Grand C4 Picasso a immédiatement plu au public pour son esthétique affirmée (on était bien loin de la fadeur du Xsara Picasso). Il a séduit également pour ses aspects pratiques, ses 7 places très bien intégrées, sa très bonne luminosité à bord, grâce au pare-brise zénith qui remonte très haut, et sa présentation agréable doublé d'un équipement généreux.Au chapitre grief maintenant, il faut citer son prix élevé en neuf, qui a refroidi les ardeurs de certains (mais on n'a rien sans rien) et un comportement pataud sur la route. Mais nous le verrons, il souffre aussi en occasion de maux récurrents, encore plus nombreux que pour le C4 Picasso 5 places déjà étudié, qui ont eu le don d'agacer au plus haut point les propriétaires. Le vieillissement de l'habitacle pose par exemple problème pour certains modèles. Sa cote en occasion est par conséquent assez basse, ce qui annule les prix élevés en neuf. Les problèmes sont pour la plupart bien traîtés en service après-vente mais certains perdurent tout de même ou reviennent.Tout cela nous fait vous conseiller d'être prudent lors d'un achat d'occasion, et de bien vérifier avant de foncer tête baissée tous les points qui seront développés dans cette maxi-fiche fiabilité.
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A sa sortie en octobre 2008, la Golf 6 ressemble plus à un gros restylage de la Golf 5 plutôt qu'à un modèle inédit. Pourtant tout est nouveau : face avant, poupe, intérieur. Mais ces évolutions se sont faites dans la continuité, comme toujours chez Volkswagen, et plus encore avec son best-seller la Golf.Avec la sixième génération, VW s'est efforcé de retenir le meilleur de la 5, et de revenir aux standards de qualité de fabrication et de matériaux en vigueur à l'époque de la 4ème génération. Et c'est mission accomplie. La 6 se hisse au niveau d'une Audi A3, qui n'est autre qu'une référence... Ses prestations globales s'en rapprochent d'ailleurs sérieusement, pour un prix en neuf moindre, même s'il reste supérieur à ceux des compactes françaises par exemple (quoique la C4 actuelle s'échange aussi contre un gros chèque).On retiendra une qualité de fabrication et une sélection des matériaux plus que rigoureuse, une insonorisation soignée, des motorisations sobres et performantes, aussi bien en diesel qu'en essence, et des boîtes DSG toujours aussi agréables à l'usage.En occasion, la Golf 6 est bien représentée sur le marché. L'offre est abondante, bien plus fournie en diesel qu'en essence bien sûr, mais pour une fois les adeptes du sans-plomb trouveront quand même de quoi se mettre sous la dent, avec grosso modo 8/9 % des annonces en essence. Les cotes sont comme souvent avec la Golf relativement soutenues, bien plus que celles de la Golf 5, qui restera la "Golf qui n'a pas eu le succès escompté".
Le C4 Picasso, lancé en mars 2007, quelques mois après le Grand C4 Picasso (octobre 2006), avait vocation a remplacer le Xsara Picasso, qui a toutefois continué sa carrière en parallèle. Depuis l'arrêt de commercialisation de ce dernier en 2010, il reste le seul monospace compact 5 places de la gamme du constructeur aux chevrons.Il est également le seul à avoir pu faire de l'ombre au monospace compact frappé du losange, à savoir le Renault Scénic. Il l'a régulièrement devancé en terme de ventes dans l'hexagone, avant que le Scénic ne reprenne la tête avec la sortie de la 3ème génération.Reste que le C4 Picasso a immédiatement plu au public pour son esthétique affirmée et bien plus audacieuse que celle du Xsara Picasso. Il a séduit également pour ses aspects pratiques, sa très bonne luminosité à bord, grâce au pare-brise zénith qui remonte très haut, et sa présentation agréable doublé d'un équipement généreux.Au chapitre grief maintenant, il faut citer son prix élevé en neuf, qui a refroidi les ardeurs de certains (mais on n'a rien sans rien) et un comportement pataud sur la route. Mais nous le verrons, il souffre aussi en occasion de maux récurrents qui ont eu le don d'agacer au plus haut point les propriétaires, et le vieillissement de l'habitacle pose problème pour certains modèles. Sa cote en occasion est par conséquent assez basse, ce qui annule les prix élevés en neuf.Tout cela nous fait vous conseiller d'être prudent lors d'un achat d'occasion, et de bien vérifier avant de foncer tête baissée tous les points qui seront développés dans cette maxi-fiche fiabilité.
C'est grâce au Nissan Qashqai que la catégorie des Crossover compact a littéralement explosé. Avant lui, cette "nouvelle" catégorie de véhicule n'avait pour seuls représentants que le Honda HR-V ou le Subaru Forester.En mélangeant les genres (berline compacte, 4x4, monospace compact), le Qashqai s'est taillé la part du lion, avant l'arrivée plus tardive de sérieux concurrents, comme le Peugeot 3008, le dernier Kia Sportage, ou encore le Volkswagen Tiguan. Le Nissan existe en 4 roues motrices ou 2 roues motrices et c'est cette dernière déclinaison qui a les faveurs du public, car plus abordable. Une répartition logique vu l'utilisation qu'en font la plupart des propriétaires, à savoir strictement routière.Son succès se retrouve en seconde main. Il faut dire que ses prestaions sont convaincantes, et surtout son prix extrêmement attractif. C'est une vraie star qui trouve assez facilement preneur. On le trouve majoritairement en diesel. Des blocs d'origine Renault, efficaces et sobre, mais qui pour certains ont connu quelques soucis épars.La fiabilité globale du Qashqai peut d'ailleurs être considérée comme bonne, même si quelques incidents et rappels ont émaillé sa carrière. Les versions plus récentes, restylées ou +2, échappent d'ailleurs à certains aléas. En tous les cas, le crossover japonais reste un très bon choix en seconde main, si l'on n'oublie pas de négocier les prix.
La Nissan Almera, deuxième du nom, n'a jamais fait partie des stars du marché, et sa carrière a été pour le moins discrète. La faute à une esthétique pour le moins fade et à un manque d'image flagrant, qui lui ont valu de ne pas faire le poids face aux divas des compactes qu'étaient à l'époque la Peugeot 307, la Renault Mégane, ou encore la VW Golf ou l'Opel Astra. Il faut aussi reconnaître que ses prestations, si elles n'avaient rien de ridicules, n'étaient pas foncièrement à la hauteur. Les gros points forts de l'Almera étaient le niveau d'équipement fourni dès la version de base, et la tenue de route, qui n'appelait aucun reproche. Pour le reste, confort, insonorisation, et surtout, finition, elle était un cran en dessous. La fiabilité a connu quant à elle des soubresauts, surtout en diesel, mais reste de bon niveau. Par contre les prix en occasion sont carrément bradés.
La série 3 de BMW est une véritable success story depuis sa première génération sortie en 1975. Elle a invariablement représenté la familiale premium type. Depuis la première génération, elle a évidemment considérablement évolué, et cette génération, la "E 46", est l'avant dernière. Elle est de l'avis unanime celle qui était la mieux construite et la mieux finie. Ses prestations sont réellement de haut niveau. Et elle les fait chèrement payer, aussi bien en neuf qu'en occasion, malgré parfois un déficit d'équipement étonnant et une liste d'options longue comme un jour sans pain… La fiabilité des diesels est également à pointer du doigt, du moins jusqu'en 2002. Il faut donc se montrer vigilant, ce sont les plus courus !
Lors de sa sortie fin 2002, la Mégane 2 a fait sensation. D'une part parce qu'elle s'éloignait des canons du biodesign de sa devancière, pour adopter des lignes très personnelles, qui ont pu déplaire à certains, d'autre part parce qu'elle progressait dans tous les domaines par rapport à la Mégane 1, habitabilité et volume de coffre exceptés.
Très abondamment répandue sur le marché, cette berline de milieu de gamme fabriquée par Peugeot jouit d'une bonne réputation. A juste titre, d'ailleurs : elle rassemble tout un lot de qualités qui rendent sa fréquentation et sa conduite des plus séduisantes. A vrai dire, peu de griefs peuvent lui être reprochés. A ceci près toutefois que les premières séries, qui inauguraient bon nombre d'équipements électroniques en tous genres, ont enregistré un nombre largement excessifs d'aléas et de caprices bizarres. Le tir a été progressivement rectifié.
Une icône sur le marché de l'occasion. Suivant en cela une tradition solidement établie par les trois générations précédente, cette Golf 4, certes très agréable à conduire et bien finie, se revend vraiment cher. Mieux vaut le savoir d'emblée. Mais attention, en plus : ce qui se sait moins, c'est que la fiabilité n'a pas toujours été au rendez-vous. Au point de rendre l'achat de certaines versions carrément à déconseiller. Opérez donc un tri puissamment sélectif avant de vous plonger aveuglément dans le mythe "Golf".
Vedette incontestée du marché de l'occasion, cette deuxième génération de Clio est aussi le modèle le plus répandu sur le marché. Son potentiel de séduction demeure élevé et sa cote se tient bien, autant de faits qui ne facilitent pas les négociations pour les acheteurs. Au demeurant, cette petite voiture a été fort bien pensée et s'avère incontestablement la meilleure de sa classe pour sa durée de commercialisation. Et elle est également très bien placée dans un domaine qui n'a pas toujours été favorable pour les Renault : la fiabilité. Son achat est donc mérité, et procure d'incontestables avantages de confort, de sobriété et d'agrément général.
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