ESSAI - En plus de l’introduction de l’inédit Aceman, Mini continue de renouveler sa gamme. Après la Mini 3 portes (électrique et thermique) et l’introduction d’un nouveau Countryman, c’est au tour de la 5 portes de bénéficier d’une cure de jouvence. Essai de la version Cooper S.
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Look épuré, prix apparemment raisonnable, puissance intéressante, cette Mini Cooper C réunit bien des ingrédients alléchants, d’autant qu’on nous promet des sensations de conduite typée karting. Mais comment tout ceci se traduit-il sur route ? Réponse avec la version Favoured.
Cette année, la plus sexy des petites anglaises fête ses 65 ans. Une occasion immanquable de lui offrir une mise à jour. Celle-ci prend la forme d’une 5e génération, la 4e depuis l’intégration au groupe BMW, tout d’abord disponible uniquement en version électrique. Parvient-elle malgré tout à conserver ce qui fait le charme de la Mini ou les ingénieurs ont-ils trop forcé sur la dose d’édulcorants ? Réponse avec l'essai de la version S.
Faire une Mini en 2021 est très compliqué parce que l'on se doit de réaliser le tour de force de conserver l'ADN du modèle original maintenant soixantenaire, que ce soit d'un point de vue esthétique ou dynamique, tout en la gardant au goût du jour dans un secteur de l'automobile où les modes se succèdent et en lui faisant bénéficier des derniers équipements. Est-ce que ce second restylage de cette troisième génération du mythe automobile britannique depuis sa résurrection y parvient ? C'est ce que nous allons déterminer en prenant le volant de sa version Cooper S.
A défaut de proposer une nouvelle génération, Mini restyle pour la deuxième fois son modèle phare. Design et technologie ont été revus pour faire patienter les clients jusqu’à la prochaine génération prévue pour 2023. Essai de la version 5 portes de 136 ch.
300 ch, c’est devenu la norme pour la plupart des compactes sportives, mais c’est extrêmement plus rare pour ne pas dire inédit sur une citadine. Impossible pour Soheil Ayari de ne pas essayer cette Mini GP forte de 300 ch. Va-t-il être séduit ? Réponse sur le circuit de la Ferté Gaucher.
Vous avez sous les yeux la toute première Mini électrique véritablement commercialisée par le constructeur britannique. Eh oui, il a fallu attendre 2020 pour voir enfin la citadine par excellence se convertir au déplacement sans émission. Heureusement, elle peut compter sur l'expérience respectable de BMW dans le domaine mais peut-elle être concentrée dans un si petit volume ? Quelle autonomie maximum peut-on en tirer ? Répondre à cette question est notre objectif du jour. Les règles, vous les connaissez déjà : aller le plus loin possible sans utiliser les équipements de bord et en déployant tous nos talents d'écoconducteur sur le circuit parfaitement calibré pour l'exercice qu'est le périphérique parisien.
Difficile de croire qu'il a fallu attendre 2020 pour voir enfin arriver une Mini 100 % électrique, citadine par excellence et produit de mode sur quatre roues. De quoi non seulement laisser le champ libre à la concurrence et générer des attentes élevées au moment d'en prendre le volant pour la première fois à Marseille.
La Mini du XXIe siècle a beau désormais faire partie du groupe BMW, elle conserve cette personnalité délurée toute britannique qui fait une grande partie de son charme, tout comme son châssis affûté. Arrivée en milieu de carrière, sa troisième génération s'octroie tout de même un léger restylage et nous sommes allés l'essayer dans sa version Cooper S en région parisienne.
Après avoir essayé la SD, la version au diesel le plus puissant, lors de sa présentation en octobre dernier, nous avons pris le volant de la Mini 5 portes Cooper, l'intermédiaire dans la gamme essence, dotée d'un trois cylindres 1,5 turbo de 136 ch.
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