L'auto des voisins spécial Caradisiac. Alain a choisi la version SUV de la Honda Jazz, pour la couleur de sa planche de bord
Celui qui tourne, monte et réalise cette série depuis deux ans, passe aujourd'hui devant la caméra. L'arroseur arrosé en profite pour dévoiler sa récente acquisition : une Honda Jazz Crosstar. Mais s'il a choisi la version quelque peu SUV de la Japonaise hybride, ce n'est pas pour barouder.
Durant l'été, l'auto des voisins prend des congés, mais pas tout à fait. La série se transforme le temps de cinq épisodes pour répondre à la question que vous vous êtes toujours posé : quelles sont les autos personnelles des journalistes de Caradisiac. De puissantes et rutilantes voitures très récentes ? Des youngtimers ? Des autos anciennes ? Attention aux surprises. Cette semaine, Alain Daldem, l'homme à la caméra, nous présente sa toute récente acquisition et s'explique sur les raisons de son choix.
L'automobile est parfois source de discorde amoureuse. Ainsi, lorsqu'Alain Daldem, cadreur, monteur, réalisateur, journaliste et couteau suisse de Caradisiac a décidé d'acheter une voiture, l'affaire s'est compliquée au sein de son foyer. Car il avait jeté son dévolu sur une Suzuki Ignis. Mais la drôle de petite auto n'était pas au goût de son épouse. Qu’à cela ne tienne : pour préserver la paix du ménage, il change de marque, mais pas de nationalité, puisqu'il a fini par se décider pour une Honda Jazz Crosstar.
Pour lui, la Jazz répond un peu à la même philosophie que l'Ignis. "Elles sont toutes les deux fiables, modulables, et bien équipées, même si la Jazz est un peu plus routière" tranche l'homme à la caméra. Mais pourquoi diable jeter son dévolu sur la version SUV de la Jazz, le Crosstar ? "Un hasard" avance Alain dans un premier temps, avant d'avouer : "c'est aussi à cause de son intérieur noir. Ma femme ne voulait pas d'une planche de bord et de sièges clairs". Or, le Crosstar n'est disponible que dans une livrée sombre pour son habitacle. Le hasard et les choix féminins faisant bien les choses, il découvre le modèle qu'il recherche chez son concessionnaire lors d'une journée portes ouvertes il y a quelques mois.
Mais les Honda, Jazz ou pas, ne sont pas données. Et ce modèle, dans sa finition haut de gamme, est affiché à 27 900 euros. Sauf que celui que convoite Alain a déjà parcouru 13 000 km. De quoi obtenir une jolie ristourne ? "Plus de 10 000 euros en moins". L'affaire est conclue rapidement et le vidéaste, avec son épouse ravie, part au volant de l'engin à bord duquel ils ont déjà accumulé plus de 6 000 km en quelques mois.
Les voilà donc propriétaires d'une citadine. "Une citadine ?" Voilà qui a le don d'énerver notre homme. "En fait, c'est une compacte à l'ancienne. Il y a quelques années, elles mesuraient 4 m". Alors qu'aujourd'hui, c'est la taille d'une Renault Clio. Et de pester contre la surenchère en matière de taille de tous les segments automobile. En revanche, s'il n'apprécie que modérément cette inflation de centimètres, il approuve plutôt celle des équipements embarqués et juge que sa Jazz est plutôt bien dotée, et super bien pourvue en matière de rangements. Ils ne lui permettent certes pas d'y caler ses éclairages, ses pieds et ses caméras, "mais l'habitacle est suffisamment vaste et modulable pour ça".
Une auto faite pour durer, avant de passer à l'électricité
Voiture de loisirs, de travail, de ville et des champs, la Jazz est aussi économe. "Je consomme 3,8 l en ville et 5,1 l sur route", puisque l'hybride, contrairement au thermique, est plus frugal dans les rues que sur l'autoroute. Cette auto pas trop chère, pratique et peu gloutonne ne souffre donc d'aucun défaut. Du moins pour le moment, et du moins dans la tête de son propriétaire qui compte bien la conserver très longtemps. "Cette hybride, pour moi, c'est la dernière étape avant la fin du thermique". Et l'achat d'une voiture électrique ? À condition que son intérieur ne soit pas trop clair et que son design soit du goût de madame.
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