Lexus ES : ne l'appelez plus GS - Vidéo en direct du Mondial de Paris 2018

Pierre Desjardins Le 03/10/2018 à 21:30

Ne l'appelez plus GS, la grande berline de Lexus change de plateforme mais aussi de nom et s'appelle désormais ES, un nom déjà outre-Atlantique puisque le modèle y a été lancé en 1989 et qu'elle en est à sa septième génération, mais elle est inédite sur le vieux continent.

Lexus ES : ne l'appelez plus GS - Vidéo en direct du Mondial de Paris 2018

Tutoyant les 5 mètres, l'ES ferait presque timide esthétiquement dans la gamme Lexus normalement connue pour s'affranchir d'un certain nombre de conventions mais on peut comprendre que la division Lexus préfère jouer la sécurité pour ce modèle qui est amené à être un de ses plus vendus dans le monde.

La Lexus ES en direct du Mondial de Paris

On retrouve cependant quelques détails visuels typiques de la marque comme la signature lumineuse de ses optiques avant ou encore la calandre en forme de sablier. Et si vous voulez un peu plus de singularité, une finition F-Sport aux lignes plus dynamiques existe aussi.

Signature lumineuse des optiques avant et calandre en sablier, l'ES se montre esthétiquement très raisonnable pour une Lexus.

Mécaniquement, c'est par contre du Lexus tout craché puisque l'ES sera disponible au moins dans un premier temps dans une seule version 300h hybride avec un 4 cylindres 2.5 à cycle Atkinson et un moteur électrique offre une puissance combinée de 218 ch et une consommation mixte annoncée de seulement 4,7 l/100 km.

À l’intérieur, la planche de bord est dominée par un écran central absolument énorme de 12,3 pouces et son dessin ne manque pas d'originalité, avec notamment cette ligne diagonale, ces commodos circulaires et cette instrumentation.

L'écran central est un véritable home cinéma de 12,3 pouces.

Il faudra attendre jusqu'à décembre pour voir cette ES faire son entrée dans les concessions Lexus pour des tarifs démarrant à 47 490 €.

Futuriste et originale, la planche de bord de la Lexus ES est une réussite.

L'aileron arrière semble être un choix de dernière minute tant il paraît ajouté.

L'instant Caradisiac : un stand déserté

On ne peut pas nier que de nombreux journalistes présents il y a deux ans ne sont pas revenus cette année au Mondial de l'Auto, ce qui se voit plus ou moins selon les stands. Et disons que chez Lexus, on pouvait travailler confortablement.

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