Du coté de chez Harley-Davidson, c'est une ambiance plutôt sombre qui nous a accueilli. Mais il était facile de distinguer les machines qui étaient soigneusement rangées par groupe. Petit tour du stand Américain… La firme de Milwaukee était venue avec une multitude de machine toute aussi belle les unes que les autres.
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Dans un élan patriotique de bon aloi pour mettre du baume au cœur dans une période de crise, Harley-Davidson a été fidèle à sa démarche historique auprès des « Boys » engagés sur des théâtres d'opération par un Uncle Sam qui les a par le fait adoubés combattants de la liberté.
Avis aux amateurs. Ceux qui attendaient un dernier geste tarifaire d'Harley-Davidson pour écouler ses stocks d'une marque Buell passée par pertes et profits en seront pour leurs frais. Ce qui est le cas de le dire. La Dame de Milwaukee ne s'occupera pas de cette affaire.
Harley-Davidson a donc décidé de regarder la crise économique droit dans les yeux en se recroquevillant sur son nombril et rassurer ainsi les têtes pensantes de la finance qui, avec leurs petites mains, délient ou non les cordons de la bourse.
La crise économique a donc fini par faire vaciller la vielle dame de Milwaukee qui, pour assurer sa pérennité, doit réduire son train de vie. Message fort du jour, elle s'est coupée un bras en sacrifiant Buell sur l'autel d'une rentabilité qui, seule, rassure les bailleurs de fond, tandis qu'en à peine douze mois, elle jette le bébé MV Agusta avec l'eau d'un bain qui ne s'est finalement pas révélé de jouvence.
Suite à la présentation de ses résultats pour le troisième trimestre 2009, Harley-Davidson a pris plusieurs décisions afin d'assurer son futur, en se focalisant sur la croissance d'une seule et unique marque. Première à en faire les frais, Buell.
Une nouvelle fois cette année, c'est notre expert en vitesse moto qui s'y est collé et qui nous a présenté les nouveautés 2010 en provenance des Etats-Unis.
Alors me direz-vous, pourquoi cette journée est elle historique pour HONDA ? Vous l'avez compris, Dick Mann va remporter l'épreuve. Mais pourquoi sa machine a-t'elle tenu alors que les trois autres ont cassé dés le début ? C'est que Dick Mann alors âgé de 36 ans est un malin avec pas mal d'expérience.
A la fin des années 60, les 200 miles de Daytona, c'est LA course de l'année. Depuis 1937, cette épreuve a toujours été remportée par une moto anglaise (BSA, NORTON, TRIUMPH) ou une moto américaine (HARLEY DAVIDSON, INDIAN). Seulement voilà, depuis un an, une machine japonaise bouleverse le paysage motocycliste mondial : la HONDA CB 750.
Cette année là, AMF Harley Davidson décide de moderniser sa 125 qui commençait à être un peu dépassée par la concurrence, à savoir les Yamaha DTF, Honda XL, Suzuki TS, Kawasaki KS. Les principales modifications sont les suivantes : Bien que traitée à la mode trail de l'époque, cette petite machine s'avèrera beaucoup plus à l'aise en ville qu'en tout terrain où sa partie cycle avouera vite ses limites.
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