
Depuis l'entame de la saison du Moto 2 au sein d'une structure JiR qui a jeté son dévolu sur le châssis TSR, Mattia Pasini a sombré dans l'anonymat. Mal à l'aise sur cette machine, il est de ceux, venus de la 250 et élevés au deux temps, qui ne se font pas à cette catégorie, alors qu'il y a un an, même l'usine Ducati lui faisait les yeux doux pour intégrer le Moto GP.