Le Superbike est passé entre les gouttes pour sa première qualification du meeting de Monza. Un exercice que s'est approprié Cal Crutchlow qui confirme donc son meilleur temps de la séance libre, devant un Rea qui l'accompagne sous la barre des 1'45 au tour.
On attendait les Ducati, on était attentif à l'Aprilia de Biaggi, mais c'est la colonie britannique qui a finalement tenu la vedette d‘entrée sur un tracé de Monza qui accueille le mondial Superbike ce week-end. Il faut dire que la météo faisait plus penser à l'Angleterre qu'à l'Italie durant cette première séance libre, ce qui a donné des ailes à Cal Crutchlow.
C'est l'homme qui monte dans cette saison du mondial Superbike. Dominé d'abord par son équipier Crutchlow, blessé dans une chute, et devant porter le fardeau du remplacement d'un Spies couronné dès sa première année avec le statut d'un ancien double Champion du Monde de la catégorie revenu d'un échec de deux ans en Moto GP, la vie de James Toseland n'a pas été facile depuis l'entame de cette campagne chez les Flammini.
Relayée par l'incontournable site GPOne, voici une des dernières réactions enregistrées à l'issue d'un Grand Prix d'Espagne qui a permis à Lorenzo de remporter sa première victoire en Moto GP sur ses terres.
Avant les tests post-Grand Prix d'Espagne à Jerez, les pilotes officiels Yamaha et Honda n'avaient pas caché le fait qu'un nouveau moteur leur serait mis à disposition à cette occasion.
Les 15 et 16 mai prochains, le circuit du Vigeant (89) accueillera une nouvelle manche du championnat de France Superbike. A cette occasion Yamaha propose, à 200 privilégiés, de venir assister à la course au frais de la princesse avec le repas inclus et ce, dans le team du GMT 94… En plus de cette belle invitation, la firme aux trois diapasons vous ouvrira l'accès à la loge du team mais aussi et surtout à son box.
On l'avait presque oublié mais si Jorge Lorenzo a déjà remporté cinq courses en Moto GP dans sa carrière, jamais il ne l'a fait sur son sol natal. A vouloir annexer les territoires étrangers, il a oublié d'être maître chez lui et il a réparé avec autorité ce paradoxe en matant dans les derniers hectomètres un compatriote nommé Dani Pedrosa.
C'est avec philosophie que Valentino Rossi faisait le bilan d'un Grand Prix d'Espagne terminé à la troisième place. Le nonuple Champion du Monde a beau affectionné ce tracé de Jerez qui le lui a bien rendu jusque là avec sept succès enregistrés, cette édition ne lui a pas permis de briller.
Le fait de ne pas avoir tous ses œufs dans le même panier permet d'avoir plusieurs opportunités pour sortir d'un Grand Prix satisfait. Chez Tech3, on vérifie l'équation depuis le début de la saison puisque si, au Qatar, c'est le Moto GP qui a tempéré un Hervé Poncharal vert de rage de la prestation de ses pilotes en Moto 2, c' est l'un d'eux, en l'occurrence Takahashi qui l'a consolé de ses déboires parmi l'élite.
Et il l'a fait au sens propre comme au figuré puisque après être allé chercher la victoire aux forceps, il a tout simplement plongé dans le bassin d'évacuation d'eau du site de Jerez combinaison sur le dos et casque sur la tête. Un geste qui en a surpris plus d'un, mais « Por Fuera » avait de quoi être survolté après une course de toute beauté.
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