Basé sur l'incontournable YBR 125, un modèle de robustesse, de fiabilité et de qualité, l'YBR 125 custom en reprend le cadre, le moteur, mais délaisse la carrosserie pour adopter un look plus « biker ». Ce changement de carénages permet d'adopter une position de conduite plus typé ballade, avec une assise plus basse (moins 2 cms), et des poignées haut placées.
Nouvelle venue dans la catégorie des sportives de la marque au trident, l'YZF-R125 est revêtue d'un habillage agressif du style des « R series ». On la confondrait presque avec une grosse cylindrée. Double optique, profil bas du nez et coque arrière minimaliste, tout y est !
Entrée de gamme des scooters 125cc, le Vity est le scooter « pas cher » de la marque Yamaha. Il offre un bon rapport qualité/prix (moins de 2000 euros) pour un scooter compact. Son design au style classique lui permet de passer inaperçu dans la jungle urbaine, son domaine de prédilection.
Né en 2001, le TMAX 500 est le premier scooter sportif du marché. Six ans plus tard, Yamaha enfonce le clou avec le nouveau TMAX 500 2008. Le design s'est radicalisé, accentuant son image de scooter « musclé », avec une face avant en forme de boomerang et un arrière encore plus agressif, souligné par un pot d'échappement placé plus verticalement.
Le meeting Superbike de Vallelunga a commencé. Sur le sol romain les légions de la catégorie se sont ébrouées, un terrain de jeu que la grande majorité découvrait, le tracé étant inscrit pour la première fois au calendrier.
Coté hypersport peu de changement pour le R6. En effet, les principaux changements se font uniquement au niveau de la couleur de la robe. Les grandes lignes sont tout de même respectées puisque les couleurs dominantes restent le blanc, le bleu et le noir.
Il n'y a maintenant aucun doute, nous y sommes … il y a quelques instants, Yamaha nous présentait 8 nouveautés en avant première. C'est sans conteste la XT 660Z ténéré qui s'annonce comme la grande surprise de la rentrée 2008 chez Yamaha.
A l'arrivée du Grand Prix du Japon, c'est un Hervé Poncharal aux sentiments mitigés qui s'exprimait. Heureux et fier de la prestation de son poulain Sylvain Guintoli, il ne pouvait néanmoins s'empêcher de ressentir une pointe d'amertume. Car le probant quatrième de Motegi partira, quoi qu'il arrive de Tech'3, à la fin de la saison.
Il avait mené sous la pluie quelques instants son Grand Prix national, étonnant tous les observateurs non avertis. A cette occasion, il avait frappé les esprits du paddock, se drapant d'une légitimité que beaucoup ne lui reconnaissaient pas encore.
Au cours de cette saison 2007, Michelin a été tancé plus souvent qu'à son tour sur son incapacité devenue presque chronique à contrer la furia Bridgestone. Lors du Grand Prix du Japon, tout allait pour le mieux jusqu'aux changements de motos, qui ont sonné le glas des espoirs de Rossi et titré de facto Stoner.
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